J'étais hier au bord de la rivière. Pas grand monde, le temps est mitigé. Je somnole au soleil, nu évidemment, lorsque j'entends des bruits de pas sur le gravier de la berge.

Arrive un jeune quadra, sympa et souriant, on se sourit et il me demande s'il ya du monde. Je lui réponds qu'il est le premier que je vois passer. Il est debout devant moi, il a une jolie queue large et courte.

Sans transition il me demande si je peux lui mettre de la crème solaire dans le dos. Bien évidemment, et je me lève, il me tend son tube de crème et je me mets derrière lui pour lui enduire les épaules, puis je descends sur les reins, puis je ne résiste pas à lui en mettre sur les fesses, qui sont pleines et fermes.

En lui massant les fesses, je sens que je commence à bander. Je remets un peu de crème dans le creux de ma main et je glisse mes doigts vers le sillon sombre de son cul, un doigt caresse négligemment le sillon sans s'introduire, idem en lui enduisant l'autre fesse. Il fait un léger mouvement en avant pour se cambrer un peu et ouvrir légèrement le sillon, je glisse cette fois un doigt dans la raie qui part en exploration... il se cambre davantage. Ma bite est dressée, c'est ce que j'aime dans le nudisme, on ne peut pas tricher.

Je retire mon doigt et lui prends les fesses à pleines mains pour les écarter et je lui glisse mon gland large et gonflé. Putain, t'en as une vachement grosse me souffle-t-il. Je place ma bite en long dans sa raie, gland vers le haut, et je la frotte en écartant ses fesses. Mon gland commence à mouiller. Je ne veux pas jouir tout de suite.

Je m'écarte et me mets à genoux derrière lui, j'écarte ses fesses et glisse ma langue pointue sur son trou. Il a dû se raser il y a quelques jours car quelques jeunes poils au bord du trou chatouillent ma langue. Le contraste entre la douceur de l'œillet et les petits poils dans le sillon est très excitant. Ma queue est dressée à la verticale... Il se penche impudiquement en avant et ouvre complètement son cul à l'intrusion de ma langue, qui lui lèche maintenant le sillon sans retenue.

Je descends sur ses couilles pleines et dures et je guigne vers sa bite qui est sauvagement tendue et décalottée.

Je me tourne légèrement pour me positionner sous ses cuisses face à sa bite que je prends en bouche profondément. Elle s ...

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