La première fois que j’ai rencontré ce couple bisexuel, j’avais 25 ans. Eux, la cinquantaine élégante, formaient un duo aussi séduisant que complice. Dès mon arrivée, une tension électrisante s’est installée. Le regard de monsieur était chargé d’envie, tandis que madame m’observait avec un sourire gourmand.

Un verre à la main, nous avons laissé nos désirs s’exprimer en mots, effleurant déjà nos intentions du bout des lèvres. Mais très vite, l’attente est devenue insoutenable. Monsieur s’est levé, m’a effleuré le bras, et dans un silence brûlant, m’a guidé jusqu’à la chambre.

Là, nos corps se sont trouvés, hésitants d’abord, fébriles sous les premières caresses. Sa bouche a trouvé la mienne, douce, chaude, invitante. Nos vêtements sont tombés un à un, révélant la fièvre qui nous animait. Nos mains exploraient, avides, chaque relief de chair durcie par l’excitation. Très vite, il s’est baissé devant moi, son souffle chaud effleurant ma peau avant que ses lèvres ne se referment lentement autour de mon sexe gonflé. Sa langue s’est mise à danser, sinueuse, experte, m’arrachant un frisson incontrôlable.

C’est à cet instant que madame est entrée, nue, souveraine, le regard incandescent. Elle s’est avancée, s’est penchée sur moi, et nos bouches se sont trouvées, humides et pressées. Son parfum m’a enveloppé, mélange de désir et de féminité exacerbée. Puis elle s’est agenouillée à son tour, joignant sa langue à celle de son mari. Le contraste entre leurs deux bouches, l’une plus ferme, l’autre plus veloutée, m’a transporté dans un tourbillon de plaisir brut.

Monsieur s’est relevé, son sexe palpitant tendu vers moi. Je l’ai saisi, le sentant brûlant dans ma main, puis l’ai happé entre mes lèvres, savourant la texture soyeuse de son gland. Mes mouvements lents se sont intensifiés, et ses soupirs ont rempli la pièce, attisant encore mon propre désir.

Puis il s’est retourné, s’offrant à moi, le dos cambré, son intimité frémissante d’attente. Je me suis approché, effleurant son entrée du bout de mon sexe tendu. Déjà préparé, il s’est entrouvert sous ma pression, m’invitant à m’enfoncer, centimètre après centimètre, jusqu’à la garde. Son corps s’est tendu sous l’assaut, un gémissement rauque s’échappant de ses lèvres. Face à lui, madame s’était positionnée, les cuisses grandes ouvertes, se caressant en attendant qu’il l’embrasse et la goûte.


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