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Mon beau-père 2

Publié par : bonboule77 le 12/12/2019

Depuis l'épisode de la cuisine, je ne savais plus quoi faire. J'errais dans la maison essayant de retrouver mes marques. Mais je n'avais d'autre choix que de me faire petit. À part pour les quelques entretiens que j'avais, j'étais la plupart du temps seul dans la maison avec Roland.

Il ne parlait pas beaucoup, mais il imposait sa présence. Quand il était dans la même pièce que moi je le regardais, hypnotisé.
S
Un soir j'entends dans la salle de musculation une fois encore Roland crier sur Samuel. Je me suis approché de la porte j'ai vu par la serrure qu'ils se battaient et comme les bruits s'amplifiaient j'ai surgit, énervé j'ai commencé à les séparer.
J'ai envoyé un coup de poing à mon beau-père.

La mon fils est devenu enrage et m'a soulevé en me disant que j'aillais le regretter et il m'a foutu une énorme claque.

Je suis tombé et j'ai perdu connaissance.

Je me suis réveillé j'étais par terre attache contre un des piliers du salon.

Je voyais mon fils à quatre pattes et mon beau-père Roland derrière lui en train de l'enfiler.

Je ne pouvais que regarder le spectacle de mon beau père énorme monstre enfilant mon fils devenu une extension de sa bite. Celui-ci donnait de plus en plus de la voix. Il était certainement incapable en ce moment de faire autre chose que, de penser à sa jouissance. Puis mon fils a éjaculé d'un coup. Rolland a râlé et déchargé dans le cul de mon fils.

Roland s'est ensuite retiré de Samuel, s'est assis dans le canapé et a vu que je regardais.

Il a alors commencé à me parler.

" Tu vois c'est ton fils.....Tu veux toujours lui demander s'il veut passer moins de temps avec moi? "

" Tu sais ça fait un moment que tout a commencé. Cet été quand vous êtes venus vous installer à la maison. Il a voulu commencer à faire de la muscu dans le garage avec moi.

Je voyais qu'il était impressionné par moi. Puis je lui ai fait prendre de la masse musculaire et il est devenu plus sûr de lui. J'ai vu son regard changer, son envie de rester près de moi.

Puis quand nos femmes sont décédées il a encore passé plus de temps avec moi. Puis un jour il a voulu chahuter, tester sa force sur moi, nous nous sommes gentiment battus. Bien sur je l'ai remis à sa place de petit con. Je l'ai plaqué au sol et je l'ai écrase de tout mon poids. C'est à ce moment que j'ai senti son sexe très dur ....

J'étais moi-même en manque de sexe depuis qu'il n'y a plus de femme à la maison. Ça m'a donné des idées. Je l ' ai fait attendre encore une semaine, en lui montrant mon corps de plus en plus près puis un soir je lui ai laissé toucher mon sexe. Et le soir d'après je l'ai défoncé. Il est devenu acco à ma bite.

" Samuel, dis à ton père pourquoi tu fais ça "

" Roland est un monstre de muscle, de sexe ....Il est un dominateur né. -Il me fait jouir... Dès que je pense à lui, mon cul s'ouvre et je deviens humide. Je voudrais arrêter, mais c'est une drogue je n'arrive pas à m'en passer. Si je décide de résister, cela fonctionne un ou deux jours, mais ensuite je suis en manque. "

En souriant, Roland ajoute,

" Ton fils est fou de moi et de ma bite. Regarde ! "

Roland venait de se lève. Imposant, d'énormes épaules, pecs impressionnants, avec son ventre proéminent. Ses bras, ses cuisses et ses mollets son d'un autre monde, le double des miens qui suis rugbyman. Entre ses jambes, je vis alors un morceau formidable, un zob qui, bien que mou, offrait une impressionnante sensation de puissance. Sans avoir de compas dans l'oeil, sa colonne était aussi longue que mon sexe en érection. Celui-ci offrait un fier 22 cm. À l'instar de son corps, son sexe était épais, large, gras, veineux et luisant. Je voyais des reflets faire scintiller un fil qui le reliait encore à mon fils. Enfin, ses couilles étaient énormes, de grosses boules très noires au moins trois fois plus grosses que les miennes.

Il me laissa le temps d'admirer son corps. Il s'approcha de moi et dit en souriant.

" Je vais devenir ton cauchemar, j'ai baisé ta mère ta femme et maintenant ton fils.....Ton fils est le plus accros lol. "

Ses paroles m'ont mis la rage, d'un coup je me suis énervé, j'ai gueulé.

" - Enculé ! Connard ! Espèce d'enfoiré, je vais te défoncer la gueule ! Je vais te faire payer ce que tu fais. "

Je n'eus pas le temps de finir. Une grande claque me fit fermer la bouche. Une seconde. Une troisième. Bien fortes. J'avais mal.

" Ferme ta bouche. Tu ne vas pas me casser la gueule tu vois bien que tu es ridicule par rapport à moi. Moi, je suis gentil, je fais du bien à ton fils et c'est comme ça que tu me remercies ? Comment je dois le prendre, hein ? "

" C'est moi le boss ici "

Il s'était détendu. Il me donnait des petites claques. Je ne pouvais rien faire.

" Baisse les yeux ! "

Je baissais les yeux. Je sentais des larmes chaudes courir sur mes joues. J'entendis un claquement de doigts, puis vis mon fils venir à moi.

Il mit sa main dans son cul. Sa main était pleine de sperme. Il l'étala sur mon visage.

" Lèches papa c'est le sperme d'un vrai mec. T'es ridicule papa. T'as vu, te n'as rien entre les jambes ! "

Je ne reconnaissais pas mon fils.

Rolland posa son pied nu sur mes parties génitales recroquevillées, comme si elles voulaient se cacher. Je sentais ses orteils à l'intérieur de mes cuisses. Je regardais son pied comme s'il était le centre du monde. Mon sexe avait disparu dessous.

Je poussai un sanglot.

" Lève les yeux ! "

Mon regard s'arrêta à hauteur de sa bite. Elle était dressée, fièrement. Elle était effectivement plus longue, plus épaisse que la mienne, sans commune mesure.

"Samuel ajouta " 23 cm papa.... 23 cm et grosse comme une canette de bière. Il s'agenouilla et commença à sucer Roland ".

Les lèvres de mon fils couraient sur le gros zob de mon beau-père.

Il levait ses yeux vers Roland

Sa voix descendit doucement jusqu'à moi :

" T'as vu comme il aime ça ?... C'est foutu mec, ton fils ne sera plus jamais comme avant... Il faut que t'acceptes, maintenant... "

Je sentais sa main caresser mes cheveux. Il ramassa quelques larmes sur son index, qu'il plaça devant moi. Je baissais les yeux en l'acceptant en bouche. Mon corps était entièrement relâché. J'avais abandonné, devant l'évidence. J'avais beau être prisonnier, je me sentais lâche, faible. Je me sentais peu de choses. Je pleurais de nouveau, en regardant le pied de mon beau-père qui, lentement, me caressait la queue tantôt avec sa plante de pied, tantôt avec son talon. Je commençais à bander. Il prit mon sexe entre son gros orteil et le suivant pour le soulever, et faire quelques vas et viens. Il m'écrasait légèrement les testicules, la douleur irradiait peu à peu mon cerveau, mais une moite chaleur montait également de mon bas-ventre.

" Tu sais, si tu n'es pas content tu peux partir de la maison. Enfin sans revenu je ne sais pas comment tu vas faire. Mais si tu restes, ce sera à mes conditions. "

Il parlait calmement, doucement. Je l'écoutais et relevais un regard humide vers lui. Il se mit à genoux, après avoir écarté mon fils de son sexe. Il approcha son sexe du mien. Il était très épais. Ma gorge se nouait, mes sanglots reprirent et je devenais un peu mou.

" Regarde. Tu vois la différence ? C'est moi le vrai papa ici ".

Il avait raison.

Il dit -

" Viens ici, Samuel "

Mon fils se plaça à ma gauche, à genoux. Il le repoussa gentiment pour qu'il bascule en arrière, les jambes écartées, sur le dos. Je vis le cul de mon fils s'ouvrir pour laisser s'échapper sur le carrelage un flot de sperme épais.

Je pleurais.

Il mit sa main dans le trou de mon fils et y remua lentement les doigts. Puis il les retira, luisant de son épaisse crème. Il les plaça devant mes yeux.

" Regarde... "

Il avait littéralement rempli mon fils. Il lui faisait faire ce qu'il voulait.

" Tiens. On partage ".

Il dirigea lentement ses doigts vers ma bouche entrouverte, et les lava sur ma langue. Je goutais pour la première fois du sperme, et non seulement, ce n'était pas le mien, mais c'était celui de l'homme qui avait conquis ma femme ma mère et maintenant mon fils. Je ne faisais rien. J'étais humilié, car j'étais devenu incapable d'agir. J'avais abandonné. Mon sexe reprit du volume. Ses phalanges allaient et venaient sur ma langue, dessus, sur les côtés, dessous. Il replongea ensuite sa main dans mon fils, en retira encore une belle coulée, et revins à ma bouche. Cette fois-ci, il badigeonna mes dents. Il défit en même temps les liens qui m'enserraient les bras. Ceux-ci tombèrent, ballants.

" Tiens, c'est du dentifrice, c'est pour l'haleine... Attends, il te faut une brosse à dents aussi ".

Mon gros black de beau-père se releva. J'avais son sexe, dur, en face de moi. Je pris peur, mais il m'attrapa la tête entre ses deux mains puissantes et enfonça d'un coup sa puissance virile au fond de ma gorge. Mes dents s'écartaient seules sur son passage, ma mâchoire se distendit. J'eus un haut-le-coeur. Il avait d'un coup pris possession de ma bouche vierge ! Un homme m'utilisait pour ...

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