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Piège à quatre bites à Annecy

Publié par : gaypourmecs le 25/11/2025
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J’ai servi d’appât et j’ai adoré me faire démonter !! Il y a quelques années, j’avais un amant dominant, appelons le Serge, 54 ans, sec comme un vieux loup, barbe poivre et sel, et une queue de 22 cm ultra-veineuse qui pulsait tellement fort que, quand il était en moi, je sentais littéralement le sperme passer dans l’urètre avant qu’il gicle.

C’était le seul mec capable de me faire deviner sa jouissance rien qu’à la sensation. Un truc de dingue. Un week-end prolongé, il me propose : « Je t’emmène trois jours à Annecy et autour, tu poses tes congés. » J’accepte direct. On part en voiture depuis le Sud, et évidemment il me baise sur le capot à une aire d’autoroute, je le pompe en conduisant, on est en chaleur permanente. On pose nos valises dans un petit appart loué au bord du lac.

Le deuxième soir, Serge me dit : « J’ai des amis qui habitent à la Visitation, on va prendre l’apéro chez eux demain après-midi. » Je fronce les sourcils : il ne m’en a jamais parlé. Il hausse les épaules : « Je voulais pas que tu croies que c’est un plan cul organisé… » Je sens le piège, mais je dis rien. Le lendemain, 17 h, on monte à la Visitation, , appartement immense avec terrasse qui donne sur le lac et les montagnes. Deux mecs nous accueillent :Patrick, 48 ans, ancien banquier, costume sur mesure, regard de prédateur, barbe de trois jours argentée.
Léo, 31 ans, bombe absolue : 1m90, muscu sèche, tatouages, cul rebondi moulé dans un jean blanc qui laisse rien à l’imagination et une bosse monstrueuse devant.

Champagne, discussion polie, zéro allusion. On passe à table, traiteur, tout est parfait. Moi je sens leurs regards qui me scannent le paquet et les fesses à chaque fois que je me lève. Je bande déjà sous la table. Au milieu du repas, envie de pisser. Je reviens des chiottes… et là : les quatre sont complètement à poil autour de la table, queues à moitié dures, verres à la main, comme si c’était normal. Patrick me regarde avec un sourire carnassier : « Si quelqu’un doit rester habillé, c’est pas toi. Déshabille-toi. »Je regarde Serge : il se branle doucement en me fixant. Je comprends que j’ai été vendu comme appât, mais je suis déjà trop chaud.

J’obéis. En deux secondes je suis nu, bite au garde-à-vous. Patrick s’approche, me chope la nuque : « Pompe-moi, salope, je sais que t’adores ça. » Je m’agenouille, prends sa queue (19 cm, épaisse, pré-sperme salé). Pendant que je l’avale, je lui glisse un doigt dans le cul : il gémit, s’empale tout seul sur deux doigts. À côté, Serge et Léo se branlent mutuellement en me matant. Léo vient me sucer la queue pendant que j’ai Patrick dans la gorge. Puis ils me traînent sur la terrasse où trône un grand lit d’extérieur. Ils me bouffent partout : tétons, couilles, trou. Je bande comme jamais.

Patrick s’empale sur moi comme une chienne en chaleur, il gémit en chevauchant mon 20 cm, tétons durs comme des cailloux, je les lui bouffe. À côté, Serge défonce Léo en missionnaire, on s’embrasse à pleine bouche par-dessus, langues et gémissements. Puis Léo me chope : « Suce-moi, pute. » 23 cm × 6,5, courbée, gland énorme.

Je galère mais je l’avale jusqu’au fond, il m’insulte, me gifle doucement la joue avec sa bite, plus il me traite de salope plus je mouille du cul.Après, c’est la fête : trois queues dans ma bouche en même temps, je bave, je tousse, je kiffe. Ils me mettent en levrette sur le lit. Serge me prend le premier, me remplit direct avec sa sensation magique, je jouis anal sans me toucher, je hurle comme un animal, le corps qui tremble ...

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