Cela faisait quelques temps que je conversais avec un mec via une application de rencontre gay. On s'excitait mutuellement en dialogue graveleux et promesse de plan cul torride. Le très bien nommé "Nick" (c'est son pseudo) m'envoyait des photos de son engin surdimensionné pour m’appâter et je dois dire qu'il y réussissait plutôt bien. Moi de mon côté, je postais des clichés outrancier en m'affichant dans des positions aussi obscènes que dégradantes. Comme une bonne petite allumeuse, j'ouvrais les cuisses en écartant bien les fesses pour qu'il puisse se rincer l'œil et le mettre dans tout ses états. Assis nu dans mon fauteuil en cuir, je postais une photo de moi, la rondelle offerte en tirant la langue comme une fillette mutine. Et je dois dire que cela faisait son effet car il me proposa instantanément une rencontre ...
Il souhaitait que je le rejoigne à son travail! Tout de suite ! D'accord mais où était ce ? Quel était son métier ? Je ne savais rien de lui. Il me répondis qu'il travaillait à l'hôpital et qu'il pouvait me recevoir en toute discrétion. Mon dieu! Un médecin ! Je tombais des nues!
J'imaginais déjà la tournure des événements ; lui dans sa blouse blanche, son gros sexe sorti de son pantalon en train de "m'ausculter" sur la table habituellement réservée à ses patients. Cette image me replongea dans le souvenir d'une visite médicale plutôt particulière avec un gros médecin pervers qui profitait de sa fonction pour abuser de jeunes hommes candides (lire: Visite médicale au centre de formation). Mais cette fois, je serais au moins à quoi m'attendre ! Et ce toubib semblait super canon, rien à voir avec le gros porc du centre de formation qui avait insidieusement profité de moi. Je me léchais déjà les babines de jouer au docteur avec cet étalon. Avait-il une secrétaire ignorant ses penchants et me ferait entrer comme un patient lambda ou alors était-elle au courant de ses agissements et serait complice de ses perversions en écoutant derrière la porte tout en se caressant l'entrecuisse ?
Sur la route menant au CHU, les scénarios les plus improbables et les plus excitant se bousculaient dans ma tête. Devrais-je patienter dans une salle d'attente au milieu de vrais patients. Moi, l'imposteur qui était là pour uniquement satisfaire ma libido tandis que des gens malades attendaient leurs tours avec impatience. D'ailleurs était il vraiment médecin? Peut-être était-il simplement infirmier ou aide soignant et qu'il me baiserait dans le réduit où on stock tout ce qui n'a que peu d'importance.
Je me gare sur un parking proche de l'hôpital pour ne pas attirer l'attention sur ma venue. En m'inspectant dans le rétroviseur comme toute bonne femelle digne de ce nom avant un rendez-vous galant, je remarque que mes grosses lèvres sont un peu gercées. Je passe outrageusement un baume en stick en insistant bien sur les contours. Luisante de beurre de karité, ma bouche paraît encore plus volumineuse comme ça. Ça excitera peut-être mon toubib encore plus, qui sait ! D'après nos conversations virtuelles, il paraissait assez vicieux et j'avais hâte qu'on fasse baissé ma fièvre.
Un message privé m'indique le bâtiment où je dois me rendre. Il me dit d'attendre dans le hall, qu'il va venir me chercher. L'endroit est désert car l'heure des visites est terminée. Un peu anxieux, je patiente m'attendant à le voir débarqué en tenue blanche immaculée. Perdu et esseulé, je me demande ce que je suis venu faire ici, ce que me réserve cet endroit froid et austère. En attendant dans le hall, je graisse une fois de plus mes grosses lippes avec mon stick comme le ferait une pute avec son rouge à lèvres pour attiser le désir de son prochain client.
Sur ma gauche, je ressens une présence qui m'observe. Un mec badasse, vêtu d'un pull rouge avec un liseré bleu, d'un pantalon cargo bleu foncé et d'une paire de Rangers aux pieds, se tient sur le palier de l'escalier de service qui mène à un local privé. Il est chauve, arbore une barbe fournie mais soigneusement taillée, son regard suinte le désir pervers. Il se caresse l'entrejambe et d'un signe de tête m'invite à le rejoindre à l'étage.
Un peu déboussolé, j'hésitais à le suivre. Je m'étais totalement fourvoyé sur mon rencard; mon médecin fantasmé était en fait un agent de la sécurité incendie à l'allure peu commode. Qu'est-ce qui m'attendait là-haut ? était-il seul au moins ? Malgré mon désappointement, je décidais malgré tout de le suivre pour en avoir le cœur net.
Nick m'attendait la queue sortie hors de son pantalon en se branlant doucement. Le local réservé aux agents de sécurité était plutôt exigu avec vue sur le parking en contrebas par des fenêtres hautes et étroites, style meurtrières comme au moyen-âge.
"_A genoux et suce! Montre moi ce que tu sais faire!"
Telles ont été les premières paroles qu'il m'adressa pour me souhaiter la bienvenue.
Sans chercher à le contrarier, je m’exécutais sans discuter. Je commençais à le sucer doucement en savourant cette délicieuse matraque de chaire gonflée, lorsqu'il m'attrapa par les cheveux pour plaquer mon nez contre son pubis. Son énorme pénis rempli ma bouche et s’enfonça jusqu'à ma glotte ce qui me provoqua un haut de cœur. Je voulus me dégager mais l'agent de sécurité me tenait fermement la nuque et continuait par de brusques coups de reins à me baiser la bouche. Sa grosse bite luisante de beurre de karité et de salive m'outrageait frénétiquement allant jusqu'au fond de ma gorge jusqu'à m'étouffer. Mes larmes coulaient le long de mes joues se mêlant à la bave dégoulinant sur mon menton. L'air béat, j'ouvrais grand la bouche pour atténuer les assauts brutaux de ce sauvage, mais ce n'était pas si facile de limiter l'encombrement de cet énorme phallus avec mes grosses lèvres charnues. Voulant arrêter ce supplice, je poussais des mains contre ses cuisses pour me dégager de son emprise. Il me libéra soudainement sans crier gare ce qui me fit basculé vers l'arrière pour me retrouver sur les fesses, l'air hagard et la bouche écumante de ce traitement infligé.
Sans se départir de son aura de supériorité, l'agent de sécurité au regard sadique m'ordonna de me "mettre à poil". Ne sachant si je voulais poursuivre cette joute sexuelle, j'hésitais à prendre mes jambes à mon cou ou à rester pour subir la bestialité de ce barbare. A la fois apeuré et gêné, ...
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