Ce lundi 16 juin 2025, en début d’après-midi, je sortais d’un rendez-vous impératif à Chalon-sur-Saône. Mais à peine la porte refermée derrière moi, une envie irrépressible m’envahit. Une pulsion brûlante. J'avais besoin de sucer. De me faire prendre. D’être une chienne offerte. Mon corps tout entier me le hurlait.

Je n’avais hélas pas le temps de repasser chez moi pour me transformer pleinement en salope… mais heureusement, j’ai toujours le strict minimum dans ma voiture : un string en vinyle, rouge et brillant, qui ne me quitte jamais, et un micro-short en jean, à peine plus grand qu’une ceinture. Juste assez pour jouer les tentatrices. Il était 17h. Le timing parfait pour une escapade improvisée.

Je retire mon pantalon, glisse le short sur mes fesses presque nues, réajuste un peu mon string qui dépasse volontairement. Mes cuisses sont nues, tendues d'excitation. Je me dirige alors vers la rue Denis Papin. Tout au bout, à l’opposé du petit rond-point, je gare ma voiture et m’enfonce dans un petit sentier discret. Je le connais bien. Il mène jusqu’à la Saône, au bord de l’eau, là où les feuillages épais dissimulent souvent des rencontres aussi brèves qu’intenses.

Je m’arrête sur une plateforme isolée. L’endroit est sale, parsemé de capotes usagées, de mouchoirs, de canettes. Ce genre de paysage me fait mouiller. Les traces des autres me rappellent que je ne suis pas seule à aimer me donner ici. Très vite, un homme s’approche. Grand, discret, il me jette un regard direct. Je me mets immédiatement à genoux. Mon rôle est évident. Ma bouche de salope se referme sur sa queue, que je suce avec gourmandise. Elle est belle. Bien dessinée. Chaude. Déjà raide.

Il me demande s’il peut voir mon cul. Je m’exécute aussitôt, ravie. Je me cambre, lui offrant une vue parfaite. Il me caresse avec lenteur, glisse ses doigts sous mon string jusqu’à ma chatte anale. Je gémis de plaisir à son contact… Je suis trempée. Offerte. Prête. Mais il ne veut pas me prendre… Alors je termine de le sucer, profondément, jusqu’à ce qu’il frissonne et me repousse doucement. Puis il s’éloigne, sans éjaculer. Déçue, je soupire.

Je me relève, remets mon micro-short sans le boutonner, et retourne vers le sentier. Je fais quelques allers-retours, les cuisses encore frémissantes. Je croise plusieurs hommes. Le troisième se retourne sur moi, l’œil attiré par ma démarche et le bout de string qui dépasse de mon short à moitié ouvert. Je m’arrête dans un renfoncement, à peine cachée, et il compre ...

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