Été 2021, je décide de lâcher la pression.
Direction la Plage de Port-Galland dans l’Ain, au bord de l'ain ( lieu connu et reconnu ) près de Lyon, où tous les Lyonnais bobos à deux balles vont se faire dorer le cul en se croyant irrésistible .
Oh, les pauvres choux, ils quittent leurs appart hors de prix pour jouer les naturistes libérés, mais finissent juste à se tripoter la nouille en matant leurs reflets dans l’eau – pathétique, non ?
Bref, sac de plage en main, je file dès le matin pour un footing , dix bornes à mater ce décor de carte postale pour hipsters en manque de sensations. À 11h, je récupère mes affaires à la bagnole, le soleil cogne, et je descends vers cette plage soi-disant coquine, réputée pour ses mecs à poil et ses plans cul sauvages. Le sentier est cool , j’arrive enfin, cœur battant comme un marteau-piqueur. Quelques gars traînent entre les rochers, la bite à l’air, me scannant de haut en bas avec des regards de vieux vicelards affamés. Moi, encore en short, je fais tache au milieu de ces culs nus.

J’explore la plage jusqu’au bout, derrière des rochers glissants, et là, putain, le choc : trois mecs en pleine partouze hardcore sous un abri de fortune . Un type à quatre pattes, cul béant, se fait défoncer par un gars au bassin qui claque comme une mitraillette, pendant qu’un autre lui lime la gorge, la bave coulant sur son menton. Leurs corps luisent de sueur, les couilles pendantes du baiseur tapent contre les fesses rouges du mec empalé, et les grognements résonnent comme dans un film X cheap. Ils me matent deux secondes, puis reprennent leur rodéo anal sans un mot. Je me barre en vitesse, le cerveau en vrac – c’est trop pour moi, bordel, j’avais fantasmé, mais là, c’est un porno live qui sent la pisse et la testostérone !

Sur la plage principale, je redescends en pression. Les mecs du début, avec leurs bites molles et leurs ventres flasques, me semblent presque mignons à côté. Je trouve un coin isolé, planqué derrière un rocher.
Quelques gars passent en matant, leurs sexes ballottant comme des pendules, mais je m’en fous. Jusqu’à ce qu’un jeune, 25 piges max, débarque. « Je peux m’installer là ? » qu’il me demande, l’air innocent. Je hoche la tête, sourire crispé, cœur qui cogne. Il se désape lentement, exhibant son corps viril, poils noirs qui courent sur son torse jusqu’à sa bite épaisse, pendante, ses couilles bien pleines qui oscillent à chaque pas. Il va se baigner, revient trempé, l’eau ruisselle sur ses abdos, sa queue luit sous le soleil. Moi, je bande comme un âne, je replie les jambes pour planquer ma trique. Il capte, sourit, et commence à se branler doucement, sa main glissant sur son manche qui gonfle, le gland rouge qui pointe sous ses doigts. Putain, je suis en sueur, tétanisé. Je me lève, bite raide à moitié cachée, et plonge dans l’eau froide pour calmer mes couilles en ébullition.

En sortant, il me chambre : « L’eau fraîche te va pas, hein ? » Je rougis, il rigole, et le jeu des regards repart. Sa queue est à moitié molle, les poils collés par l’eau, mais moi, je repars au quart de tour. Il s’approche, s’assoit sur un rocher, sa bite à 20 cm de ma gueule, ses couilles posées comme une offrande. Il parle de rien, puis lâche : « J’adore voir ta queue toute raide, je peux toucher ? » Pas le temps de répondre, sa main frôle mon gland, et bam ! J’explose comme un geyser, cinq jets de foutre brûlant qui giclent sur mon torse, ma gueule, sa main dégoulinante de sperme blanc et épais. Il reste con, moi aussi. « Je m’attendais à mieux », qu’il balance, moitié moqueur, moitié déçu, avant de se rincer la main dans l’eau. Moi, je plonge pour nettoyer mon torse, les filaments de sperme flottent autour de moi, et malgré la honte.

Il me chambre encore, vexé, et moi, blessé ...

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