RÊVE D’UN SOUMIS GAY OU BI
Préambule :
J’ai rencontré mon maître grâce à un site de rencontre « lieuxdedrague.fr ». Il y a plus d’un an.
Pourquoi suis-je tombé entre ses mains, ou ses douces cuisses ? Je ne sais pas…
Peut-être parce que c’était lui et parce que c’était moi !
Il m’a très rapidement fait venir chez lui, en prenant mille précautions pour que nous ne soyons pas repérés. Dès les premiers instants, il m’a couvert de mots grossiers, me traitant de chienne, de salope, d’esclave soumise, de « putain ». Il voulait me féminiser, me traiter de femelle. Je n’appréciais pas, je n’ai rien d’une femelle avec ma barbe blanche et mon gros ventre. Je ne pense pas qu’être féminin(e) soit une insulte : j’aime et je respecte trop les femmes. Chaque fois que je viens chez lui, il veut me rabaisser par le geste et la parole. Et moi, chaque fois que je venais chez lui, c’est parce que je savais que là se trouvait sa bite, une bite bien chaude, bien formée, pas trop grosse, bien dure, avec un frein bien fait qui prenait parfaitement sa place dans ma bouche, entre mes lèvres, dans le fond de ma gorge. J’aime tellement la sucer, passer ma langue sur son gland bien lisse, l’enduire de ma salive. Plus le temps passait, plus je pensais à l’aspirer, à me frotter contre lui. Plus le temps passait, plus ses insultes me pénétraient le cerveau. J’étais comme aspiré, impossible de me contrôler ; il fallait que j’aille chez lui, recevoir son foutre et ses insultes. Je fais des heures de voiture pour me jeter à ses pieds et recevoir sa bite, emballée dans les insultes.
Un soir, il a fini par me sodomiser ; vous vous rendez compte, se faire enculer pour la première fois à 78 ans !!
La première fois, ce fut douloureux, mais je voyais que tel était son bon plaisir. Je ne sais pas si c’est le plaisir de me pénétrer ou celui de me dominer. Mais cela lui plaît, donc, obligatoirement, cela me plaît.
Que je ne sois qu’un objet ou plus qu’un objet, il me baisait avec des cris de bête en rut. Il disait, comme une ritournelle, que j’étais sa chienne, que j’étais sa pute, que j’étais son esclave.
Je suis devenu de plus en plus chienne, de plus en plus esclave, j’ai accepté d’être injurié au féminin. De plus en plus « esclave obéissante ». Et j’aime de plus en plus être dominé(e), maltraité(e).
Vous voyez dans quel état d’esprit je suis devenu, dans quel état il m’a mis. Je ferai n’importe quoi pour lui, pour qu’il m’utilise.
C’est dans cette ambiance-là que j’ai fait le rêve que je vais vous conter.
J’ai rêvé qu’il exigeait que je vienne chez lui sur l’heure, donc que je me précipite pour me laver dedans et dehors. Je m’habille uniquement d’un ample jean à bretelles, d’un tee-shirt et de tongs pour que tout s’arrache instantanément.
Je rêve qu’il m’ordonne d’arriver silencieusement chez lui, de me déshabiller dès la porte d’entrée franchie et de monter sans faire de bruit, dans le noir (je connais bien son appartement maintenant).
Je me couche discrètement et j’attends.
Les bruits dans le salon me laissent supposer qu’il n’est pas seul (curieux, ce n’est pas un jour de match !) Pourquoi m’a-t-il donc fait venir sans attendre ?
Je pense qu’il est en train de recevoir une visite impromptue et qu’elle va bientôt partir. Mais j’entends des bruits de verres et de bouteilles, des rires étouffés, des murmures incompréhensibles… C’est décidément étrange.
Il m’avait demandé de venir avec un collier de chien autour du cou, d’où pendaient trois chaînes : une longue servant de laisse, deux autres plus petites terminées par des pinces dou ...
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