J'ai fréquenté il y a quelques années des africains. Hors un jour nous fûmes mes amis Camerounais Zaïrois et moi, invité à une fête chez un particulier à Cergy-Pontoise.
Les festivités battaient sont plein quand nous arrivâmes. Alors que j'entrais dans le salon, mon regard croisa celui d'une créature superbe dont les mouvements lascifs attiraient les hommes présents.
Elle était affublée d'un chignon qui dégageait son visage : yeux couleur de jais, joues rondes et gracieuses, elle avait un nez légèrement retroussé et une bouche à la pulpe juteuse d'un rouge à lèvres carmin, dont les traits épais lui donnait un air mutin.
Sa robe mauve lui moulait son corps et laissait apparaître le haut de sa poitrine qui perlaient de gouttelettes de sueur qui tombaient dans la fente de ses seins volumineux et que l'on devinait ferme au touché.
Les bras nus ronds et menus, le dos découvert et musclé qui descendait jusqu'à une interminable chute de reins que terminait un postérieur que tout les mâles de la fête reluquaient sans vergogne.
Je me mis à danser le makossa en m'approchant d'elle. Dans mon regard elle avait compris ce que je voulais. Je lui tendis la main qu'elle pris et nous nous enlaçâmes exécutant une bacchanale.
J'inhalais l'odeur âcre de son corps en feu ce qui m'excitais d'autant plus.
Ses seins écrasés contre ma poitrine, son ventre rond épousant la forme de ma verge qui tendait mon jean. Ses mains serrant ma nuque tandis que mes bras enserraient sa taille, fit que je n'attendis pas la fin du morceau pour l'entraîner dans le jardin.
J'entendais dans l'air de cette nuit d'été son souffle de plus en plus entrecoupé et mon cœur battait la chamade.
Je la plaquais dos contre un mur, retroussa sa robe, sortis mon sexe et la pris sans ménagement...
Je regardais son visage pendant que je la taraudais. Elle avait les yeux fermés et la bouche ouverte d'où coulait sur son menton de la salive que je gobais comme une bête assoiffée.
"Je veux que tu jouis" lui dis je . A ces mots elle se dégageait de mon étreinte, me regarda d'un air de défi, se retourna se cambra pour s'offrir et tout en maintenant son regard dans le mien me dit d'un ton péremptoire : "Prends moi le petit !".
Soulevant sa robe j'eus un mome ...
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