Salut.
Merci encore pour votre fidélité et vos points généreusement offert !Younes était déjà là, prêt à partir, quand j’arrivai devant la maison, garé près de la porte en bois bleue. En m’apercevant, son visage s’illumina. Il bondit à mes côtés, l’excitation marquant chaque pas. Je coupai le moteur du side-car, et le silence soudain du véhicule contraste avec l’agitation ambiante du douar. Quelques voisins nous regardaient, intrigués, alors que Younes montait avec agilité derrière moi, me lançant un sourire plein d’anticipation.
Nous quittâmes le village doucement, le son sourd de la moto résonnant faiblement à travers les chemins poussiéreux. Younes était émerveillé, absorbé par la sensation de liberté que lui procurait ce court trajet. Ses yeux parcouraient le paysage qui défilait, ses cheveux virevoltant dans le vent chaud de la matinée. Le chemin jusqu’à la villa n’était pas long, mais suffisamment pour que Younes savoure chaque instant. Il avait posé, comme la dernière fois, ses mains presque sur mon pubis. Je me demandais à nouveau s’il se rendait compte de leur position… Mais comme pendant tout le trajet elles restèrent fixes, j’en concluais qu’il faisait cela tout naturellement.
Arrivés devant le portail imposant de la villa, je stoppai la moto en douceur. Younes, encore grisé par l’expérience, me supplia de faire un autre tour.
- Juste un petit tour supplémentaire, s’il te plaît, Pierre ! dit-il, les yeux pétillants d’espoir. Je ne pus résister à son enthousiasme juvénile et, avec un sourire complice, nous repartîmes pour une autre boucle à travers les routes sinueuses.
De retour à la villa, il descendit du side-car avec une grâce d’un chat. Il m’invita alors à entrer dans la propriété. Le jardin était vaste et luxuriant, rempli de plantes exotiques et de fleurs éclatantes. Mais ce qui attira immédiatement mon attention fut la piscine, magnifiquement intégrée au décor. Elle s’étendait sur plusieurs mètres, d’un bleu profond qui captait le reflet du ciel clair. J’étais stupéfait par l’élégance, la beauté et le calme de ce lieu, un contraste frappant avec le douar humble d’où nous venions.
- C’est magnifique, Younes, dis-je, incapable de cacher mon admiration. Le propriétaire doit être un homme de goût.
Younes hocha la tête avec fierté.
- Oui, Monsieur Ahmed a beaucoup voyagé. Il a fait construire cette piscine comme un souvenir de ses voyages en Europe.
Je le suivis à travers le jardin, observant les détails architecturaux de la villa, les arches délicates, les mosaïques colorées. Younes me conduisit à l’intérieur, où l’élégance du décor se poursuivait, mélangeant le style traditionnel marocain à des touches modernes. Chaque pièce était soigneusement aménagée, témoignant de la richesse et du raffinement de son propriétaire.
Il me fit visiter le rez-de-chaussée, expliquant avec enthousiasme son travail quotidien, le soin qu’il apportait à chaque tâche. Je compris alors l’importance de ce lieu pour lui, un symbole d’espoir et de progrès. Après la visite, nous retournâmes à l’extérieur, où je pris un moment pour apprécier de nouveau la vue sur la piscine, le soleil reflétant des éclats de lumière sur l’eau calme.
- Tu veux te baigner avec moi ? Je le fais à chaque fois que j’arrive ! Enfin… Quand il n’est pas là.
- Ca me tente, mais j’ai pas de maillot.
- Moi, quand je suis seul, je me baigne tout nu. Mais on peut rester en slip, si tu veux ...
- Je veux bien.
J’ôtai dans la foulée mes vêtements que je déposais sur un banc et m’immergeais dans une eau encore délicieusement fraiche de la nuit.
- Il me lança un :
- J’arrive, je vérifie avant le filtre de la pompe.
Je ne me rendis pas compte de son arrivé dans l’eau, tout près de moi, émergeant tel un phoque après une apnée de toute la piscine. Nous nageâmes quelques instants ensemble, instants d’amitié bien agréable.
- Le thé doit être chaud, je vais le chercher.
- Mais… Tu as fait du thé quand ?
- C’est très moderne ici, ils ont une théière électrique.
J’eu le contentement de le voir alors s’extirper du bord du bassin, par un rétablissement puissant de ses bras, m’offrant la contemplation de son dos magnifique et de ses fesses musclées, ressemblant à deux petits melons que vend son frère Karim.
Quand il revint, avec son plateau sur les bras, je ne pus m’empêcher de fixer son énorme sexe ballotant, qui ne pouvait que transparaître à travers son slip encore mouillé et très lâche. Cela me fit réagir immédiatement et je sentis mon slip se gonfler.
Il s’immergea dans une gerbe d’eau puis me rejoint, côte à côte, dans cette partie du bassin où nous avions pied, accoudés à la margelle, face au plateau.
Nous passâmes alors de délicieux instants à papoter. Bien sûr, il en vint à l’aventure de son frère qui semblait mobiliser son esprit, et ses sens, je n’en doutais pas.
Il m’abreuvait de questions sur ka façon de faire l’amour à une femme, après que je lui avais confié que j’étais déjà sorti avec plusieurs filles.
Il le confia, en me surprenant quand même, qu’il était maintenant rassuré, depuis que son frère lui avait confié que Karim l’avait pénétrée sans trop de problème.
- Et comme j’ai un zob un peu plus gros que mon frère, je crois que ça ira.
- Mais oui, ça ira, ne t’inquiète pas.
- Je t’ai montré comme il était gros, l’autre fois !
J’éclatais de rire.
- Oui, j’ai vu… Enfin, j’ai palpé.
Très fier de lui, il jugea bon d’ajouter :
- Et encore, je bandais pas !
- Tu seras un terrible niqueur , Younes, j’en suis sûr !
Il me surprit un peu quand de lui-même, et sans me prévenir il me prit mon sexe à pleine main, par le slip, comme pour le jauger :
- Il est gros le tien aussi ?
Je demeurai impassible :
- Ben, tu t’en rends compte non ?
- Oui, mais là tu bandes pas encore…
- Tu le sens bien, non ?
- Je peux voir ?
Et sans demander son reste, il plongea sa tête dans l’eau pour me tirer l’élastique du slip et prendre mon chibre, qui n’avait pas réagi encore à sa pleine mesure, à pleine main comme pour le soupeser.
- Oui, mais là tu bandes pas encore.
- Tu vois bien…
- Moi, si, regarde.
Et d’autorité, il me prit une main pour la plonger dans son slip afin de me faire constater, en la plaquant contre son vit en belle érection.
- Ben dis donc, tu es gâté, mon gaillard ! Tu vas faire des heureuses !
- C’est vrai ? me lança-t-il dans une intonation un peu naïve.
- J’en suis sûr !
- Et je bande très dur, regarde, touche.
L’invite était trop tentante et je laissais là tout mon calme et mes promesses.
Je m’en emparais pour le palper et constater la véracité de ses dires.
- Ah oui, elle est très très dure, bien raide et bien droite ! Mais je ne lâchais pas néanmoins ma main, tout à mon plaisir.
- Et toi ? Il replongea sa main dans mon slip pour commencer à me tripoter. Ma réaction fut vive.
- Ah oui, elle est bien grosse et bien dure, la tienne aussi.
De fait, nous nous retrouvions face à face, en train carrément de nous peloter, sans avoir vu rien venir.
Je lui demandais :
- Tu aimes bien ?
- J’adore, j’ai quelques copains avec q ...
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