Vanessa s’est installée à la table du jardin, elle porte la nuisette « empruntée » à Laurence..
Je suis en short vert fluo et marcel moulant, j’ai pris quelques kilos ces temps-ci. C’est la tenue idéale pour le marathon du Médoc, mais pas pour le centre-ville de Mérignac !! Sans parler de certains ptits bois. A moins que ?

« J’ai commandé trois pizzas, une grecque, une reine et une Périgord. Comme ça il y en a pour tous les goûts, et tu mettras les restes au frigo. »
Elle a un bon coup de fourchette, et cela ne me surprend pas.
« 37 minutes !! »
« Tiens va donc faire tremper la culotte que j’ai souillée ! Bassine, un peu de lessive, et eau chaude «

Elle me fait enlever mon short, et elle remonte sa nuisette.
« c’est mieux d’avoir le cul à l’air, de toute façon on a des coussins, et là au moins je te vois en cage »
En attendant on bavarde, de tout et de rien, c’est tranquille et serein.
Elle travaille vaguement, dans le design. Elle me questionne sur Laurence.
« Elle joue avec les femmes ?? »
Je veux répondre spontanément que non, mais je réalise en fait que je n’en sais rien. On en a jamais parlé.

Les pizzas arrivent, Vanessa va les chercher, en nuisette. Bon de toute façon le livreur ne la même pas remarqué, il a les yeux fixés sur sa prochaine livraison.
On s’empiffre et on picole. La nuit d’août est tombée, et on se sent bien tous les deux. C’est une soirée très douce.
De temps en temps elle joue avec ma cage, elle me tâte les couilles.. et regarde si je mouille.

On part se coucher.
« Avec la cage pas question de pisser debout ! C’est un coup à en mettre partout. Tu t’assieds, comme nous. Et encore là tu appuies pour la diriger vers le bas. »
Elle me regarde faire, c’est une humiliation.
C’est son tour de se soulager. Je dois la regarder dans les yeux, j’entends les ploufs !
Elle se relève me tend le papier et m’ordonne de lui torcher le cul. Elle écarte les fesses pour m’aider.
« Passe aussi un gant de toilette, j’aime pas être sale du cul. Et tire la chasse »
« Frotte la culotte, rince là et mets la à sécher ! Je sais bien que ta femme ne débarque pas demain matin, mais bon.. »

On est dans la cham ...

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