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Sous la Sueur des Vestiaires

Publié par : gaypourmecs le 13/05/2025
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Ce jour-là, tout a basculé. Un match de Coupe de France, un duel viril, une tension palpable. Pas juste celle du terrain, non, une autre, plus sourde, plus brute, qui s’est insinuée dans mes tripes sans crier gare. Moi, l’hétéro pur jus, élevé dans le culte du foot, sport de mecs où la testostérone cogne aussi fort que les crampons, je n’avais jamais senti ça. Pourtant, les vestiaires, les douches, les corps nus ruisselants, j’en avais vu des dizaines. Rien. Pas un frisson. Mais là, face à ce mec, Simon, un attaquant africain taillé comme un roc, tout a vrillé.
Avant le match, alignés dans le tunnel, je le toise. Concentré, prêt à le neutraliser. Mais mes yeux trahissent ma tête. Ils glissent, malgré moi, sur son short moulant. Ces foutus shorts modernes, des secondes peaux qui ne cachent rien. Le lycra épouse chaque courbe, chaque relief. Et là, plaquée contre sa cuisse musclée, je devine sa queue. Pas au repos, non, à demi-bandée, provocante, comme si elle savait que je la matais. Il le sent, ce con. D’un geste discret, il remonte son short, replace son paquet bien au centre, et son sexe se dessine encore plus nettement. Mon regard s’accroche, ma gorge se noue. « Bon, on y va ! » hurle mon capitaine, me ramenant à la réalité. Mais le mal est fait.

Sur le terrain, c’est la guerre. Simon est partout, insaisissable. À chaque tacle, je le fauche, et ma main, comme aimantée, frôle son entrejambe. Je sens son service trois pièces, lourd, chaud, à travers le tissu. Il ne dit rien, ne se plaint pas à l’arbitre. Au contraire, il me défie du regard, un sourire en coin. Lors d’un corner, je le marque serré, mes bras autour de ses hanches, mes doigts effleurant sa bite, à peine protégée par son short. « Tu le fais exprès, hein, les mains baladeuses ? » me lance-t-il, narquois. Je rougis, bafouille, relâche ma prise. Erreur fatale. Il se décale, claque un but, et mon coach me hurle : « JL, putain, à la culotte ! » S’il savait à quel point je le prends au mot.

À la mi-temps, dans le tunnel, Simon me chauffe : « À la culotte, qu’il t’a dit… T’aimes y mettre la main, avoue. » Je riposte, macho jusqu’au bout : « T’inquiète, on va revenir, et j’te la mettrai profond. » Il ricane : « Si j’marque encore, tu me suces. » Sans réfléchir, je surenchéris : « Et si on se qualifie, j’te prends le cul, gros naze. » Le pari est lancé, et avec lui, une tension qui n’a plus rien à voir avec le foot.
La seconde mi-temps est un brasier. Nos corps s’entrechoquent, mes mains s’égarent à chaque contact. À un moment, je le tacle violemment, ma tête finit entre ses cuisses, et je sens sa queue frotter contre ma joue, dure, brûlante à travers le lycra. « Pas devant tout le monde, attends que j’marque pour me sucer », se moque-t-il. Jaune pour moi, coup franc pour eux. Dans la surface, je le colle, mes hanches contre les siennes, et je jurerais que sa bite durcit contre moi.

Il marque encore, s’approche, souffle à mon oreille : « Les pipes, j’les aime baveuses, en fond de gorge, salope. » Mon cerveau disjoncte, mais mon corps, lui, répond. Une chaleur me monte au bas-ventre, traîtresse.
Le match se termine en massacre. Son équipe nous pulvérise. À vingt minutes de la fin, nos coachs nous sortent tous les deux. Dans le vestiaire, il me suit comme une ombre. « Alors, tu viens honorer ton pari ? Les chiottes, au bout du couloir. » Je devrais lui coller mon poing dans la gueule , mais cette queue, que j’ai matée tout le match, m’obsèd ,je veux la voir, la toucher, comprendre pourquoi elle me rend dingue. « Ok, j’ai pas l’habitude, mais un pari, c’est un pari. »


Le vestiaire est vide, les autres encore sur le terrain. L’odeur de sueur, de gel douche et de testostérone flotte dans l’air. Simon, torse nu, son short toujours aussi révélateur, me fait signe de le suivre. Les chiottes, un cagibi crade au bout du couloir, puent l’urine et la javel. Mais ça m’est égal. Mon cœur cogne, mes mains tremblent. Il referme la porte, se plante face à moi, et sans un mot, baisse son short. Sa queue jaillit, libre, massive. Longue, épaisse, d’un noir luisant, elle pulse légèrement, déjà à moitié dressée. Ses couilles, lourdes, pendent bas, encadrées par des cuisses sculptées, luisantes de sueur. Je déglutis, hypnotisé.
« À toi de jouer, salope », lâche-t-il, un sourire carnassier aux lèvres. Je m’agenouille, maladroit, comme si mon corps agissait sans moi. Ma main se pose sur sa bite, chaude, ferme, vivante. Elle durcit sous mes doigts, atteignant une taille qui me fait douter. Je la caresse, hésitant, puis approche ma bouc ...

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