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La belle du Bar

Publié par : gentle29 le 03/09/2025
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J’étais assis au bar, un verre tiède dans la main, fatigué mais encore alerte. La musique derrière moi résonnait doucement, mais je n’y faisais plus attention. Puis je l’ai vue. Elle est entrée comme si le monde entier s’écartait pour elle, avec cette assurance, cette sensualité qui n’a besoin d’aucun effort pour se faire remarquer. Mes yeux se sont accrochés à elle immédiatement.

Ses cheveux tombaient en cascade sur ses épaules, et son cou long semblait inviter à être effleuré. Quand elle a croisé mon regard, j’ai senti un frisson me parcourir le corps, ce genre de frisson qui te dit que la soirée va devenir intéressante. Elle s’est approchée du bar, a commandé son verre, et nos mains se sont frôlées presque accidentellement. Ce simple contact m’a électrisé.

Je l’ai observée sourire, et j’ai décidé d’être direct. « Tu as un sourire… qui dérange agréablement. » Elle a ri doucement, ce rire chaud qui te serre le ventre et te fait perdre tes repères. « Dérange agréablement… j’aime bien ça », a-t-elle répondu, son regard pétillant et insolent.

On a commencé à parler. La conversation était fluide, sans gêne. Chaque mot qu’elle prononçait, chaque rire, chaque mouvement subtil de son corps rapprochait la distance entre nous. Son genou a effleuré le mien sous le bar, et j’ai senti mon désir grimper, mes muscles se tendre, mon corps répondre sans que je contrôle quoi que ce soit.

Elle a passé un bras derrière mon dos, juste pour toucher mon épaule, et j’ai senti l’électricité passer entre nous. Mon souffle s’est accéléré, mon cœur battait plus fort. J’avais envie de tout, de sentir sa peau contre la mienne, de goûter à ce qui était encore interdit.

Quand elle s’est penchée pour parler plus près, j’ai senti son parfum, subtil mais entêtant, et j’ai compris que cette nuit ne serait pas juste une rencontre anodine. Tout dans son attitude, dans son sourire, dans ses gestes, m’incitait à franchir le pas, à abandonner toute retenue.

Après ce frôlement sous le bar, je n’arrivais plus à détacher mes yeux d’elle. Chaque mouvement, chaque rire me faisait frissonner. On a fini nos verres et elle m’a proposé de marcher un peu dehors, l’air frais de la nuit nous frappant comme une promesse. Le trottoir était silencieux, seulement ponctué du bruit de nos pas. Je sentais son parfum derrière moi à chaque respiration, chaud et entêtant.

Elle s’est rapprochée, trop près pour que ce soit innocent. Je pouvais sentir la chaleur de son corps à travers son manteau. « Tu n’as pas peur de me suivre ? » a-t-elle demandé avec un sourire en coin. J’ai secoué la tête, incapable de répondre autrement. Ses yeux brillaient d’une lueur provocante qui me donnait envie de la prendre ici même, sur ce trottoir vide.

On s’est arrêtés près d’un lampadaire. Elle a frôlé ma main avec la sienne, d’abord timidement, puis plus audacieusement, glissant ses doigts entre les miens. Mon souffle s’est coupé un instant. Elle a passé sa main derrière ma nuque et m’a tiré légèrement vers elle. Nos lèvres se sont rencontrées, d’abord en douceur, mais l’intensité a grimpé en quelques secondes. Je pouvais sentir son désir, son corps réagir au mien.

Je l’ai rapprochée contre moi, et ses mains ont exploré mon torse, glissant sous mon manteau, effleurant ma peau. Elle gémit contre mes lèvres, et ce son m’a fait perdre toute retenue. Je l’ai pressée contre moi, mes mains suivant la courbe de ses hanches, et elle s’est laissée faire, mordillant ma lèvre inférieure, cherchant mes lèvres avec avidité.

Chaque baiser, chaque frôlement faisait grimper la tension. Elle a posé sa main sur mon entrejambe par-dessus mon pantalon, et j’ai senti que ça devenait urgent, presque insoutenable. Je l’ai poussée doucement contre le mur, la tenant fermement. Son souffle était court, rapide, et son corps tremblait contre le mien. J’avais envie de sentir chaque parcelle de sa peau, d’entendre ses gémissements résonner autour de nous.

Quand elle a passé ses doigts sous ma chemise, caressant ma peau, j’ai compris que le moment n’était plus à l’hésitation. Son corps me suppliait, ses lèvres me réclamaient, et je ne pouvais plus attendre. La séduction avait atteint son paroxysme : chaque geste, chaque souffle était chargé de désir, de cette urgence animale qui nous consumait tous les deux.

Je l’ai prise par la main et l’ai entraînée vers mon appartement, incapable de supporter plus longtemps cette tension. Chaque pas était chargé d’anticipation, chaque frôlement faisait grimper le désir jusqu’au point de brûlure. Dès que la porte s’est refermée derrière nous, je l’ai attirée contre moi, nos lèvres se retrouvant avec une urgence dévorante.

Ses mains ont parcouru mon torse, descendant sur mes hanches, glissant sous ma chemise pour sentir ma peau chaude. Je l’ai poussée doucement contre le mur, mes mains agrippant ses fesses, la pressant contre moi. Son souffle était court, haletant, et son corps ondulait instinctivement contre le mien. Je sentais sa poitrine contre ma poitrine, le contact brûlant qui m’enivrait.

Elle a enlevé sa veste, puis son haut, révélant une peau douce et chaude, et je n’ai pas pu m’empêcher de la toucher partout. Ses seins étaient fermes sous mes paumes, ses tétons dressés contre mes doigts. Elle a gémi, un son chaud et profond qui m’a fait frissonner. Je l’ai soulevée légèrement, pressant son bassin contre le mien, et j’ai senti son désir contre ma taille.

Nos baisers sont devenus plus sauvages, plus avides, et je n’avais plus aucun contrôle. Je l’ai guidée vers le canapé, la faisant s’allonger sur le dos. Je l’ai suivie, mes mains explorant ses cuisses, remontant vers l’intérieur, caressant, frottant, la sentant se tendre sous mes doigts. Elle a ouver ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Pénétration vaginale