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Le garçon accro aux effluves de mâle - 5 (Joyeux Noël)

Publié par : jeune48000 le 12/10/2024
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Après cette belle baise avec JC, j’avais eu tout le week-end pour me remettre de mes émotions, et pour me remettre à mes devoirs aussi ! Car je vous rappelle que j’avais une année à valider et ce n’est pas en me faisant saloper que je risquais de l’avoir…

Ma vie reprit alors son rythme, et même si je crevais d’envie de revoir JC, j’étais malheureusement obligé de me consacrer à mes études puisque les examens de fin de semestre arrivaient à grand pas. Conséquence, ma libido s’était mise en veille, mais elle n’attendait qu’une étincelle pour s’enflammer à nouveau. Évènement qui arriva aux abords de Noël.

L’école dans laquelle j’étais avait pour tradition d’organiser un grand banquet de Noël juste avant les vacances. Banquet auquel notre présence était obligatoire, et autant vous dire que j’étais ravi à l’idée d’aller partager mon vendredi soir avec toute ma promo (non). Pas que je ne les aime pas, mes chers camarades de classe, mais je suis plus du genre rat de bibliothèque plutôt qu’amuseur public. Étant en plus d’un naturel timide, je n’avais pas beaucoup d’amis au sein de cette classe, mais ce n’était pas un problème, loin de là.

Le banquet était censé se tenir à l’école, mais pour des raisons de sécurité liée aux attentats à l’époque, ce dernier avait été délocalisé dans une salle des fêtes en périphérie de la ville. Pour l’occasion les cours du vendredi aprem avaient été banalisés, et nous avions rdv à 19h.

Je passa donc mon aprèm à réfléchir à ma tenue, passer chez le coiffeur et procéder à une bonne toilette, qui sait ce que ce banquet pouvais me réserver, et 19h pétantes, j’étais devant la salle des fêtes.

Là où tout le monde s’était mis sur son 31, j’étais habillé simplement d’une chemise avec un pantalon de costume qui, je dois le dire, moulait sacrément mon petit cul. C’était ma petite fierté du soir, de voir que mon cul pouvait donner plus envie que le cul de certaines filles de ma classe.

Mais passé ce détail, le banquet était d’une horrible lenteur. Je vous passe tous les discours, les remerciements, la bouffe surgelé pas terrible, la musique tout sauf actuelle, bref, je me faisais chier. Mais vraiment chier, comme rarement dans ma vie. À ce moment-là, j’étais à deux doigts de me barrer, et puis j’étais persuadé que mon absence passerait inaperçue, j’en avais ma claque.

Je pris donc mes affaires et discrètement pendant que la musique du slow se lançait, je me faufilai vers l’arrière de la salle pour partir et profiter de ces vacances bien mérités. L’issue de secours était ouverte, et un froid glacial me cueillit brutalement en sortant. Mais ça y est j’étais dehors, ou presque :

« Eh ?! Qu’est ce que tu fais toi ?!
- Pardon mais je…
- Pardon mais je quoi ? Tu sais pas lire, c’est une issue de secours mec. »

Alors ce « Eh ?! » provenait d’un agent de sécurité, posté à côté de la porte. J’ai été assez stupide pour penser que personne ne surveillerait cette issue, et j’étais pris la main dans le sac :

« C’est le slow en plus, tu devrais être en train de danser avec une minette là, non ?
- Oui mais je suis juste fatigué, je voulais sortir sans qu’on me remarque..
- Hum, c’est vrai que ça commence à faire long, il est déjà 00h putain. Tu veux une clope ?
- Pourquoi pas. »

Une fois la clope allumée, nous commençâmes à papoter. Il s’appelait Christian et il était agent de sécurité depuis 20 ans, et aussi un sacré morceau. Malgré ses 50 ans il était musclé, grand, et très bien entretenu. Sa grosse barbe lui donnait un air sévère mais au fil de la conversation, il s’adoucit et avait l’air presque doux, presque seulement. Mais la clope s’éteint, et nos sujets de conversations finirent par s’épuiser. C’est lui-même qui embraya sur une autre idée.

« Dis Thomas, tu veux venir avec moi regarder les caméras de sécurité ?
- Pourquoi faire ? Demandais-je
- Oh tu sais dans ce genre de soirée, avec l’alcool, on peut voir de sacrées surprises, ça te dit pas ?
- Hum, ok pourquoi pas ! »

Nous partîmes donc pour le poste de sécurité, j’avais l’impression d’être en VIP, on voyait tout le monde, c’était dingue. Je voyais des mecs de ma classe se prendre des râteaux, d’autres réussir à choper, c’était génial. J’avais le sentiment d’être Big Brother.

« Tiens regarde ces deux-là.
- Ou ça ?
- Là regarde. Ils vont sortir par une autre porte et je suis sûr qu’ils vont faire des cochonneries ! »

Il avait l’œil, parce qu’en effet à peine être sorti, ce couple de fortune se laissa aller. La première année se mit à genoux pour avaler la queue de son aîné de 3ème année, et vu la manière avec laquelle elle le suçait, je pouvais dire que ce n’était pas son coup d’essai. J’étais jaloux au fond, moi aussi je voulais m’amuser..

« Putain la salope t’as vu ça ? Il fait -3 dehors mais ça ne l’empêche pas de vider les couilles de son mec.
- Il faut bien savoir se faire plaisir.. Tu vas dire quelque chose ?
- Oh tu sais je m’en fous moi, tant que ce n’est pas un acte forcé, je ferme les yeux et je laisse les jeunes s’amuser.
- Tu as bien raison. Et puis ça doit te donner envie de retrouver ta femme après ?
- Oh Thomas tu sais ma femme, ça fait bien longtemps qu’elle n’a plus approché ma queue. 20 ans de mariage, ça fait son effet, peu importe si on s’aime ou pas. »

Il avait dit ça sur un ton triste, mélancolique. J’avais de la peine pour lui, et j’avais presque envie de me mettre à genoux pour lui redonner ce plaisir.

« Et ça ne te manque pas ? Demandais-je d’une voix penaude.
- Oh si, mais bon, avec le boulot, les enfants, y’a pas forcément de place pour ça tu sais. Et puis la peur de se faire prendre avec une autre etc, ça joue aussi.
- Je peux t’aider moi si tu veux..
- Comment ça ?
- Bah si tu veux je te vide moi, tu pourras même me baiser si tu veux et ta femme n’en saura jamais rien.
- Vraiment ? »

J’en reviens pas, je venais de proposer à ce mec de prendre la place de sa femme et de lui vider les couilles. C’était irréel, et le moment d’après, je regrettais instantanément mes paroles. Le silence qui suivit me paru durer des heures, mais il se brisa lorsque Christian reprit la parole.

« C’est d’accord mais on fait ça dans le noir alors. Je suis hétéro à la base mais je t’avoue que mes couilles ont grandement besoin d’une vidange.
- Pas de problème ! »

Aussitôt dit, aussitôt fait, la lumière fut éteinte et je l’entendais se dévêtir, je fus donc de même et il me guida jusqu’à lui. Je me mis à genoux devant sa queue et je commença par lécher doucem ...

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