Après des années de questionnement, de rêves et de phantasmes, je me retrouve nu dans cette chambre d'hôtel devant Abdel le veilleur de nuit avec ce désir incommensurable de profiter de cette nuit pour assouvir mes bas instincts de sexe. Il était là dressé devant moi, tenant fièrement son appendice circoncis d'une main et de l'autre m'invitant à le prendre en bouche et tout ceci sans un mot. Je m'agenouillai, me prêtant gentiment à l'invitation, en m'enivrant du parfum de ce membre dressé. J'ouvrai légèrement ma bouche, tout en regardant Abdel dans les yeux, je déposai mes lèvres sur ce gland gorgé de sang et de désirs, je commençai à saliver énormément car il s'enfonçait de plus en plus dans ma bouche avec des coups de reins de plus en plus saccadés, j'inondai ses testicules de salive avec des hauts de cœur importants et puis il me saisit sous les bras, m'obligeant à me lever et de m'agenouiller sur le bord du lit tout en m'écartant les cuisses et déposer sa salive sur ma petite rosace, je n'eus pas le temps de dire quoique ce soit, qu'il plongeait son chibre dans moi avec fougue et voracité tout en grommelant un langage que je ne connaissais pas pour ma part j'étais dans un autre monde celui du plaisir et de l'extase malgré les coups de butoir que j'encaissais, il n'y avait plus de temps plus de cadre tout était concentré sur l'orgasme jusqu'au moment de sentir un flot important de sperme, par jets successifs il m'inonda copieusement. Après quelques sursauts, il se retira lentement et fila dans la salle de bain. A son retour j'étais encore dans un état second mais comprenant ses paroles car il voulait m'emmener voir Hamid ,l'homme de la lingerie pour qui j''avais une certaine attirance, le temps de faire un brin de toilette et d'enfiler un t-shirt et un mini slip, j'étais déjà dans l'ascenseur, en route pour un nouvel épisode de baise intense. Nous nous faisions face dans cet ascenseur, je voyais qu'il avait beaucoup de choses à me dire mais nous étions déjà au deuxième sous sol et Hamid était devant moi à l'ouverture de la porte, me prenant par le poignet, il m'emmena dans un petit réduit avec une table et chaises sans parler d'une petite machine à café. Après quelques banalités de politesse, visiblement Hamid était su ...

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