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Le retour du maître ...

Publié par : elleetmoi75 le 23/04/2021

Il y a trois jours, je me suis comportée comme une vraie salope dans la boutique de monsieur Robert, une véritable bourgeoise dépravée accro au sexe. A la maison, avec mon mari, je joue à l’oie blanche qui a besoin d’être guidée et encouragée pour progresser sur le chemin d’une sexualité libérée. Aux paroles que prononce François chaque fois qu’il me prend au lit, je sais qu’il aimerait me faire brûler les étapes et devenir le véritable maître de cérémonie de mes longues soirées de fornication. Mais je souhaite le faire patienter, il ne faudrait pas qu’il devine trop vite que je suis déjà bien avancée vers le but qu’il s’est fixé, faire de moi une épouse bien salope dédiée aux plaisirs des mâles.

Ce matin au réveil, alors que François est déjà parti au travail, je m’aperçois que j’ai reçu un sms au cours de la nuit. Mon cœur bat la chamade alors que je le lis « Très chère Hélène, votre maître est de retour. RDV ce jour à 18h00 à mon cabinet ». Tandis que je lis et relis ces quelques mots, ma main se glisse sous ma nuisette, remonte le long de mes cuisses et mon index effleure la fente de ma chatte. Je m’allonge sur le lit et je commence à bien me caresser en écartant grand les jambes. Tout doucement au début, puis de plus en plus vite, mes doigts coulissent dans ma fente. De l’autre main, je me pince un peu les tétons qui durcissent rapidement me procurant un doux et subtil mélange de plaisir et de douleur. Je suis maintenant bien mouillée et mes doigts s’activent sur mon clitoris qui pointe fièrement comme un bourgeon au printemps. Une onde de plaisir me parcourt enfin et je reste de longues minutes sur le lit, les cuisses emprisonnant ma main toute poisseuse de mon plaisir solitaire.

Après une bonne douche, je dois faire vite car je vais être en retard au travail. Je choisis avec soin la lingerie que je vais porter pendant la journée puisque je ne pourrai pas repasser à la maison avant d’aller à ma consultation. Je suis impatiente d’être à ce soir pour prendre la direction de Pigalle et, comme si c’était fait exprès, je vais passer la journée en longues réunions aussi ennuyeuses les unes que les autres. J’écoute d’un air distrait les différents intervenants et n’accorde que peu d’intérêt aux diverses présentations qui nous sont faites. Il est 17h30 et la dernière réunion se termine enfin. Je file à mon bureau pour ranger mes affaires et me remaquiller en veillant à bien dessiner d’un rouge vif le contour de mes lèvres et à redonner du volume à mes cils d’un petit coup de mascara. Puis je quitte le bureau, rejoint à pied la place de l’Etoile qui est tout près et m’engouffre dans la station de métro pour aller attendre sur le quai de la ligne 2 le premier métro qui m’emmènera vers la station Pigalle. Puis je remonte le boulevard de Clichy et j’arrive juste à l’heure, à peine essoufflée, au cabinet de mon marabout. Maintenant que je suis dans la salle d’attente, je suis rassurée et je ne suis plus à quelques minutes près ; je le sais là dans son cabinet et dans quelques instants je serai toute à lui.

Le voici enfin, il me fixe de ses yeux sombres sans rien dire et m’invite à entrer dans son cabinet. Son assistant Ahmed prend place debout à droite de son mentor assis à son bureau tandis que je m’installe dans le fauteuil réservé aux patients. Monsieur Coulibadou me demande si je vais bien et je lui réponds que oui. Puis, avec un léger sourire, il me dit
- Hélène, comment se sont passées ces trois semaines ? Pensez-vous avoir suivi mes prescriptions avec votre mari ?
Sans trop lui donner de détails, je lui parle de ma sortie avec François au bois de Boulogne, de la petite séance avec les deux photographes et lui explique comment mon mari a pu me prendre comme il le souhaitait chaque fois qu’il le désirait.
- C’est parfait, me répond-il. Et je crois savoir que vous avez rendu visite à mon ami Robert. Je trouve personnellement que les cuissardes et le corset à lacet vous allaient très bien.
Je rougis et je fixe le sol. Ainsi monsieur Robert a tout enregistré de mon passage chez lui et s’est empressé de tout montrer à mon marabout. J’avoue alors
- Oui maître, pour vous faire honneur, j’ai souhaité oser quelque chose de moi-même sans que ce soit mon mari qui me l’impose.
- Vous avez très bien fait et je suis particulièrement fier de vos progrès. Passons à côté maintenant.
ajoute-t-il en se levant et en m’entraînant avec lui vers la pièce où je me suis faite prendre par les quatre inconnus lors de ma dernière visite.

Pour une fois, la chambre secrète est inondée de lumière car les rideaux sont grands ouverts ; cela me change des séances dans le noir ou la pénombre. Ahmed et le marabout s’approchent de moi et commencent à défaire les boutons de ma robe. Me voici debout près du lit, en escarpins à hauts talons, simplement vêtue d’une superbe guêpière noire transparente qui ne cache rien de mes seins et de ma touffe de poils pubiens. Maître Coulibadou, debout devant moi, m’attire à lui et m’embrasse à pleine bouche tout en laissant glisser une main sur mon ventre jusqu’à mon pubis. Ahmed, dans mon dos, me caresse les seins tout en m’embrassant dans le cou. Mon corps frémit un peu plus lorsque une main ouvre les boutons pression de la guêpière et se colle tout contre mon sexe. Mes jambes s’entrouvrent un peu plus lorsqu’un doigt agile se glisse en moi. Ahmed est déjà nu et sa queue bien raide se frotte à moi. Mon maître retire sa djellaba et sa queue d’ébène remplace sa main à la hauteur de mon sexe. Sans savoir comment, je me retrouve allongée nue sur le lit en train de sucer avec application ces deux belles queues. J’attendais cet instant depuis si longtemps, j’ai envie de pomper ces deux sexes jusqu’à ce qu’ils explosent dans ma bouche, je suis comme quelqu’un dans le désert qui n’a pas bu depuis de longs jours et qui a envie de s’étouffer à pleines gorgées lorsqu’il atteint enfin une oasis.

Mais mon maître en a décidé autrement semble-t-il ! Il fait allongé Ahmed sur le lit et me fait asseoir sur sa queue en lui tournant le dos. Monsieur Coulibadou vient maintenant sur le lit, se positionne face à moi et me caresse les seins de sa queue tandis que son assistant me tient bien par les hanches et donne de légers coups de bite pour m’ouvrir la chatte. Je suis de plus en plus excitée, de mes deux mains je resserre mes seins autour le sexe de mon maître qui semble apprécier cela et se penche vers moi pour me dévorer la bouche. Sa langue joue avec la mienne puis, à voix basse à l’oreille, il me murmure
- C’est parfait Hélène, donnez-vous entièrement. Ne pensez qu’à votre plaisir et à celui que vous donnez. Etre une belle salope ne vous empêche pas d’être l’une des plus distinguées bourgeoises du 16ème arrondissement, bien au contraire.
La queue d’Ahmed me fait un bien fou, je suis au bord de la jouissance et c’est entre deux gémissements que je lui réponds
- Oui maître, j’ai envie d’être une salope, une vraie. Mais j’ai encore tant à apprend ...

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