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à l'hôpital

Publié par : aurige le 08/07/2020

A l’hôpital

Ayant une maladie chronique, je dois aller régulièrement à l’hôpital pour un suivi.

A la première consultation, je suis reçu par un médecin aux cheveux mi- longs, yeux bleus, visage fin et avenant.

Dans son cabinet, il me pose les questions d’usages, me fait mettre en sous-vêtements pour m’ausculter. A la fin de l’auscultation, il me dit que nous devrons nous revoir régulièrement. Après plusieurs consultations, un jour il me tutoie. Sans gêne, je lui dis

- nous nous tutoyons ?
- si tu veux.
-
Au moment de partir il m’embrasse sur les joues comme si nous nous connaissions. Surpris, je me suis laissé faire. Pour lui, les choses devenaient évidentes, car comme il me dit qu’il est très tactile.

Les séances suivantes se passent comme il est d’usage pour cette pathologie. Il me demande de me mettre en sous-vêtement, me pèse, m’ausculte avec son stéthoscope, palpe mes aisselles, mon aine à travers mon boxer.

A chaque consultation les mêmes rituels, tutoiement, déshabillage, embrassade à la fin. Lors d’une séance, au lieu de palper mon aine à travers mon boxer, il glisse sa main par la jambe. Je sens sa main sur ma peau. Comme c’est un médecin, je suis surpris mais ne bouge pas. A partir de cette consultation, à chaque fois il passait sa main par la jambe, s’aventurant même jusqu’à toucher mon pubis rasé. Je ne bronche pas. Je ne sais pourquoi un jour il a passé une main dans chaque jambe qui se rejoignirent en soulevant le tissus du boxer et toucher ma verge toujours au repos. A la fin, il dit que tout était parfait avec un sourire.

Cela fait plusieurs mois que je suis le traitement médical qui me convient, sauf comme tout médicament, il peut y avoir des effets secondaires.

Des plaques rouges sont apparues sur mes fesses et à l’intérieur des cuisses. A la consultation suivante je lui en fis part. Il me dit qu’il regarderait. Debout sur la balance, il baisse mon boxer. Je suis donc nu, mais c’est un médecin, c’est normal. Il me demande de me pencher. Je m’exécute. Il regarde mes fesses, les écarte pour voir jusqu’où allaient mes démangeaisons. Bien qu’il ait une vue sur ma rondelle, mon sexe et mes boules étaient pendants.

Il me demanda d’aller m’installer sur la table d’auscultation qui était dans une alcôve ce qui la rendait invisible si quelqu’un ouvrait la porte du cabinet.

J’étais allongé sur le dos, ma queue toujours au repos, les boules molles Il commence son auscultation rituelle, poumons, cœur, aisselles, aine. Sa position faisait qu’il était au niveau de ma main au bord de la table d’auscultation. Il avait appuyé sa braguette sur ma main. J’ai sentais la bosse de son sexe. Comme il ne bougeait pas, j’ai commencé à fantasmer. Je n’ai pas pu retenir un début d’érection qu’il remarqua. . Il me dit qu’il allait regarder si je n’avais pas de plaque sur les cuisses. Il les écarta largement. Il les inspectait, ainsi que mes testicules qu’il souleva pour regarder mon périnée, puis glisser un doigt dans mon sillon jusqu’à atteindre mon anus.


Il me regarda en souriant. Le signal était donné. Ma bite s’est redressée au fur et à mesure que je caressais sa braguette. Il a saisi ma verge pour me décalotter et commencer un va et vient pendant que j’ouvrais sa braguette pour y glisser ma main. Son boxer humide et tendu cachait un gros paquet.

Je me suis mis sur le côté pour ouvrir son jean pendant qu’il avait pris mon sexe dans sa bouche avec toujours un doigt à l’entrée de mon trou. Je ne fus pas déçu de voir ce que cachait son boxer. Une queue moyenne mais épaisse au prépuce aussi charnu que ses boules l’ensemble garni de poils noirs et denses.

Il s’est déplacé pour que ma tête soit au niveau de son sexe. J’ai tiré sur la peau pour dégager au maximum son gland humide de mouille. Mon sexe devenait de plus en plus dur au fur et à mesure qu’il me suçait. J’ai aussi commencé à le sucer avec difficulté pour entrer un tel engin dans ma bouche.

Je me suis raidi lorsque son doigt est entré dans mon anus et qu’il a commencé des vas et vient. Le deuxième doigt me fit tressaillir. Il en profita pour enfoncer son sexe un peu plus dans ma bouche. J’ai cru qu’il allait me déchirer les lèvres.

Il me fit signe avec ma main que j’allais jouir. Il retira ses doigts, finit de me masturber jusqu’à ce que plusieurs jets de sperme atterrissent sur mon torse. Il se retira de ma bouche pour se masturber et ajouter son sperme au mien. Il fallut une bonne quantité d’essuie tout pour m’essuyer.


En attendant le prochain rendez-vous, je m’enduisais ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay