Arthur vient me chercher au rendez-vous fixé sur Lorient et je monte derrière lui sur sa superbe moto. Je me tiens en l’entourant au niveau de sa ceinture abdominale et je peux ressentir son ventre plat et ses abdominaux en acier. Je n’ai même pas vu son visage caché dans son casque.
J’ai déjà envie de connaître le gabarit qu’il enferme dans le haut de son pantalon, en dessous de la ceinture ! Pourquoi attendre ? Il conduit sereinement jusqu’alors et sa conduite est fluide. J’ose : une de mes mains lâche son ventre et descend sur son entrejambe. Je voudrais bien lui faire un baiser dans le cou mais il y a les casques qui m’en empêchent.
Ma main effleure sa bite et je me rends bien compte qu’il le ressent puisque sa queue commence à se tendre. Il écarte les jambes pour me faciliter l’accès et j’en profite pour lui malaxer le gland avec volupté. Je sens sa bite qui se tend au point d’être trop serré dans ses habits. J’ai envie d’ouvrir sa braguette et lui mettre la quéquette à l’air à pleine vitesse sur la route en imaginant la douce sensation qu’il ressentirait mais prudence sur la route et je relâche mon affaire.
Nous arrivons chez lui, à Hennebont. Le portail se referme derrière nous. Quelques dizaines de mètres plus loin il arrête son bolide et je descends avant qu’il n’en fasse de même après avoir enclencher la béquille. Il enlève son casque, j’en fais de même et j’ai juste le temps d’admirer son magnifique visage qu’il colle ses lèvres aux miennes et entre sa langue dans ma bouche si encline à l’accueillir. Il embrasse de façon divine et je sens ma queue qui se tend. Par curiosité, je vérifie et je constate que sa pine a également la propension à se dresser vers le ciel.
Ma main s’insinue dans son pantalon et passe au travers de l’élastique de son sous-vêtement avant de toucher cette bite tendue, au gland encore recouvert de son prépuce. Je délivre la tête de ce chibre courbé vers le bas en lui dégageant l’accès vers le haut, vers la lumière. Je descends même tous ses effets qui tombent à ses chevilles et je quitte ses lèvres pour engouffrer son gland dans ma bouche. Ma langue a tôt fait de retrousser ce prépuce qui me gêne pour me délecter de l’onctuosité de ce gland au beau gabarit, à la douceur extrême et au goût exquis. Je le suce avec délectation pendant quelques minutes et quand je devine qu’il va éjaculer, je cesse.
Je me redresse et je caresse ses fesses en me relevant. Nous nous embrassons goulument de nouveau et cette fois ce sont ses mains qui se font baladeuses, me font tomber mes vêtements du bas. Chacun retire le haut de l’autre et se défait de ses chaussures et bas.
Nous sommes nus à nous caresser et nous embrasser. Ses doigts sillonnent ma raie en chatouillant particulièrement mon œillet. Il sent que j’apprécie beaucoup et il me présente son majeur pour que je le recouvre de bave afin qu’il puisse ensuite l’insérer dans mon trou. Bien entendu je suce ce doigt et bave dessus autant que je peux. Nos regards sont plantés l’un dans l’autre et il me pousse ver ...

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