Depuis quelques jours , nous avions envisagé Pat et moi, de se savourer à nouveau, pour ces instants que nous avions vécus quinze jours plus tôt mais cette fois-ci , ce sera en mieux car je lui avais transmis différents écrits de mes rencontres avec différents amants. Il avait donc pu me discerner un peu plus, ma personnalité, mais surtout savoir les moments forts que j'appréciais. Donc jeudi am, vers 15h, nous avions prévu de nous retrouver chez lui. Nous étions impatients de revivre ces instants, à juste titre et nous ne manquions pas de relater cette envie de l'un pour l'autre par différents SMS et quelques émicoms chaleureux . Et comme toujours, nous confirmions le RDV bien avant pour être sur de ne décevoir personne. Comme à chaque fois je partais de chez moi vers 13H30 , toujours pour rester plausible au niveau de mon épouse. Là, l'excuse , c'était la marche. Mais j'avais quelques documents à porter de ci, de là et les heures passaient vite. 14H30, je lui disais que je partais de chez moi. Je n'avais qu'à prendre le métro comme son appartement n'était qu'à deux stations de métro de chez moi. A nouveau, un SMS en sortant du métro et un quand j'arrivais au bas de son immeuble. Il me débloquait l'entrée de sa résidence et je montais chez lui par l'ascenseur. 7ème étage, un bon présage, non?

Arrivé devant la porte de son appartement, la porte s'ouvrait discrètement et je le découvrais derrière, dans le plus simple appareil , soit nu comme un ver. Je me jetais sur lui pour lui offrir ma bouche avide de son être, de sa langue et de son corps que je savourais goulument comme un homme affamé. Il me roulait une pelle gourmande comme il sait si bien le faire . Je le caressais et le frotter contre moi sans oublier de toucher sa magnifique queue qui avait encore besoin d'être sollicitée pour adopter la position de sentinelle de son corps. Et gourmand comme je suis, j'allais jusqu'à sucer la pointe de ses seins, car je sais qu'il en est très friand. Bonjour chéri , je vais être à toi tout de suite , laisse moi le temps de me déshabiller . Et je me dirigeais vers notre chambre que je connaissais déjà où tout était installé. Sur la table de nuit, il avait disposé des jouets que tout coquin connait mais je me doutais qu'on n'en aurait pas besoin . Nous étions des habiles du sexe. Donc pas d'artifice. Je me positionnais au bord du lit pour enlever mes vêtements . Lui, était déjà étendu sur le lit, nu, où je l'admirais. Et lui tournant le dos, il me caressait avec ses pieds qui étaient froids , je l'avoue. Et j'allais les embrasser car je sais que même par là, on peut ressentir de délicieuses sensations. Son corps allait être à moi . Petit passage rapide aux WC et je venais me coucher sur lui, ma bouche rejoignant la sienne avec enthousiasme où nos langues allaient tour à tour dans chaque bouche , et nos queues se frottant l'une contre l'autre. Elles avaient adopté une certaine raideur ce qui ne pouvait que nous séduire. Et lui de me dire : mon corps t'appartient.

Après lui avoir accordé des baisers dans son cou avec toute la tendresse possible, je descendais jusqu'à le pointe de ses seins, ne négligeant aucun d'eux, les suçant avec volupté , lui faisant pousser les premiers gloussements; Hummm , j'aime quand tu me fais l'amour, me disait-il . Et j'allais continuer mon chemin jusqu'à sa queue qui s'était raidie depuis un moment, que j'allais absorber quelque peu , mes lèvres brûlantes pratiquant naturellement, le branle pour faire couler quelque peu sa première jute tant savourée . Ma langue coquine allait titiller son gland, augmentant son plaisir. Mais je voulais lui offrir plus et lui demander de m'offrir sa pétale, ce qu'il fit avec facilité. Il se retournait et écraser sa tête dans l'oreiller, levant ses fesses fermes. Il était vraiment beau et tout m'appartenait . Je lui demandais de se coucher totalement. Je n'avais pas besoin qu'il se cambre. Et ma langue allait se glisser dans sa chatte qui s'ouvrait naturellement . J'allais l'aider en écartant ses deux fesses. C'était délicieux . Ma langue s'aventurait de plus en plus profondément et j'allais lui offrir un doigt pour augmenter le plaisir. s'enfonçant au plus profond de lui. Je ressentais son désir de plus en plus. Ses soupirs en disaient long.

Mais l'envie de revenir à sa bouche était plus forte et je me couchais près de lui, le laissant revenir sur moi. Et ses baisers ardents m'étaient à nouveau offerts que je dégustais avec grand plaisir mais j'allais reprendre le dessus en revenant sur son corps pour descendre une fois de plus à son sexe que j'avalais goulument en allant mettre un doigt en même temps , puis deux dans sa chatte, après l'avoir lubrifié avec le gel qu'il avait mis à ma disposition sur sa table de chevet, en même temps que je le suçais. Je m'activais dans son corps , faisant tourner mes doigts , arrivant à le faire jouir du cul , sentant les spasmes que sa chatte déclenchait. Il était heureux . Je suçais ses couilles de temps à autre , faisant glisser ma langue le long de son sexe jusqu'à l'engloutir dans ma bouche. Et j'allais à nouveau lui proposer de se remettre sur le ventre pour lui faire gouter une fois de plus à ma langue gourmande. Il en raffolait. Sa tête s'écrasant dans son oreiller de plus en plus, et me laissant apparaitre toutefois sa tête où je voyais son plaisir décuplé. Et je n'allais pas l'en priver. Ma langue s'enfonçant de plus en plus dans son corps et mes doigts tout autant à leur tour. J'allais même chercher son sexe en glissant ma main sur son ventre pour le sucer un peu plus en même temps, n'ayant laisser dans son corps que mes doigts . Il adorait et moi donc! C'était un plaisir intense et partagé . Je faisais vraiment l'amour à un homme. Mais l'envie était plus forte qu'il me possède, ce que je lui proposais, une fois qu'il était revenu sur moi, ce qu'il acceptait avec bonheur, la lumière s'éclairant dans ses yeux. Nous nous rassurions en se disant qu'on avait fait le tests VIH dernièrement. Le plaisir total allait arriver. Et la confiance étai commune.

Il revenait sur moi et j'allais basculer mes jambes sur ses épaules. Il n'avait plus qu'à glisser son sexe dans mon corps , ce pour lequel il n'eut pas de mal, l'envie de ma part étant si grande. J'étais suffisamment lubrifié naturellement . Le bonheur s'affichait dans nos yeux respectifs. Et il allait me labourer avec douceur comme un amant délicieux . J'avais très envie de lui. Et lui de me dire : J'aime te voir en même temps que je te pénètre. Je vois le plaisir dans tes yeux . Il faut dire que je poussais en plus quelques gémissements de plaisir. Et pour me pénétrer en entier il allait me soulever un peu plu ...

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