- Salut, tu cherches quoi ?
- J’ai juste envie de me faire sucer.
Il était près d’une heure du matin. Quelques minutes plus tôt, au sortir d’une soirée avec des amis, j’avais décidé de passer au centre routier du Brézet, à Clermont-Ferrand. Des dizaines de poids lourds stationnent là chaque nuit. Pour ce routier, le message avait été clair. Alors que je passais en voiture devant le tracteur, la cabine s’était allumée et un mec à poil était apparu entre les rideaux. Le temps de me garer, et de pisser sur les roues de la remorque, le chauffeur, d’un geste rapide et décidé, m’avait invité à m’approcher.
Va pour la pipe, il faut bien commencer par quelque chose. Le mec avait remis un t-shirt, et attendait la queue raide. Une queue dans la moyenne, ni trop longue ni trop large, mais bien dure. Il était bien excité, car à peine deux minutes plus tard, il repoussait ma tête de sa queue pour gicler de longue salves de sperme.
- Désolé, j’ai pas baisé depuis plusieurs jours…
J’étais un peu déçu par la rapidité de son éjaculation, mais je décidais de poursuivre mon ouvrage sans lui demander son avis. Je continuais donc à le sucer, doucement, prenant sa queue jusqu’au fond de la gorge. Le mec n’avait pas débandé et prenait visiblement beaucoup de plaisir. En vrai macho, il avait mis ses mains derrière sa nuque, fermé les yeux et se laissait faire. Je léchais sa queue sur toute la longueur, toujours doucement, descendait sur les couilles encore lourdes, et remontait vers le gland en le caressant avec ma langue.
- Oh putain c’que c’est bon…
Je continuais à le sucer, et je bandais sérieusement. Ma queue commençait à perler. Tout en lui léchant les couilles, je commençais à descendre vers son trou. Une bonne odeur de mec qui m’excitait encore plus. Spontanément, le mec écarta les cuisses pour me laisser accéder à sa rosette. Quelques coups de langues sur son trou poilu, et je sentais le chauffeur prêt à de nouvelles e ...

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