Je travaillais tard au supermarché, l'insatisfaction sexuelle pesant sur moi comme une chape de plomb. Mais ce soir, une rumeur avait circulé : un "glory hole" avait été installé dans les toilettes des hommes. La seule pensée de cette opportunité me fit durcir, mon sexe de 20cm se pressant contre la fermeture de mon pantalon. Je me dirigeais vers les toilettes, mon cœur battant d'excitation. L'intérieur était sombre, une faible lumière jaunâtre éclairant à peine le lieu. Je me glissais dans la cabine, mon regard se posant immédiatement sur le trou dans la cloison, bien fait, sans ébarbures, prêt à l'usage. Mon membre attendait, déjà raide, anticipant le contact chaud et humide qui allait suivre.

J'entendis le froissement de vêtements de l'autre côté, puis un sexe passa à travers le trou, long et épais, environ 22cm de pur désir. Je ne pouvais voir l'homme, mais mon imagination travaillait, ajoutant à l'excitation. Je m'agenouillais, prenant ce membre dans ma bouche, ma langue caressant le gland, goûtant le pré-sperme qui commençait déjà à perler.

Je commençais à sucer, mes lèvres s'étirant autour de cette longueur impressionnante, ma main enserrant la base de son sexe, le masturbant en rythme avec mes mouvements de tête. Les bruits de succion résonnaient dans l'espace confiné, chaque coup de langue, chaque aspiration profonde ajoutant à l'intensité du moment. Puis, désireux de plus, je me levai, baissant mon pantalon, mon propre membre maintenant prêt et dur. Je me penchai légèrement, offrant mon cul à ce sexe anonyme, sentant le gland forcer contre mon entrée. Il entra lentement, chaque centimètre de sa longueur étirant mon anus, me faisant gémir de plaisir et de douleur mêlés. Il commença à me baiser à travers le trou, chaque coup de reins me faisant sentir sa taille, nos corps séparés par la cloison, mais unis par le plaisir. J'étais complètement plié, le dos cambré, ma main sur mon propre sexe, me masturbant au rythme de ses pénétrations.

Après un moment, il se retira, et je me retournais, mon sexe passant maintenant à travers le trou, impatient de recevoir la même attention. La bouche de l'autre côté était habile, sa langue parcourant ma longueur ...

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