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Vacances en side car au Maroc 2

Publié par : pierre49590 le 29/09/2024

Le large Daraa blanc flottait autour de lui, gonflé par le vent comme une voile guidant notre course à travers les gorges, commençait à remonter sur ces cuisses, découvrant une musculature magnifique...
Il me lança :
- Tiens-moi mon habit qui s’envole !
- Comment je fais ?
D’autorité, il me prit ma main gauche, qui quitta, hélas ! sa position, pour venir tenir son voile simplement au milieu de la cuisse. Ne pouvant lâcher le guidon, il m’expliqua que je devais faire pareil avec l’autre main de l’autre côté.
Sur le moment, je ne savais pas s’il s’agissait d’un subterfuge pour me faire enlever les mains de cette zone sensible ou si c’était vraiment pour tenir son voile...
La moto filait maintenant d'un bon train, slalomant entre les ombres projetées par les falaises rougeâtres. À chaque accélération, à chaque virage négocié avec succès, je sentais la confiance de mon compagnon grandir. Sa posture se relâcha progressivement, passant de la rigidité de la concentration à la souplesse de l'aisance. Le vendeur de melons s'était métamorphosé en pilote, savourant chaque seconde de cette liberté nouvelle.
Comme il augmentait la vitesse, et la moto ses pétarades, je lui criais dans l’oreille de rouler moins vite. Ce qu’il fit. Mais tout naturellement la griserie le reprenait et il accélérait naturellement.
Deuxième remarque. Il s’exécuta à nouveau. Mais le défilement du paysage et les vibrations de l’engin devant l’enivrer, il « essora » à nouveau la poignée. La vitesse, à vrai dire, ne devint pas du tout excessive, mais j’avais ma petite idée derrière la tête. A un moment, ma bouche se rapprocha de son oreille pour lui crier :
- Si t’accélères encore, je t’écrase le zob ! Et ce disant, je lui prends la bite à pleine main en la serrant un peu.
Je l’entendis rire et il décèlera.
Ma main toujours enserrant son chibre à travers le tissu, je lui soufflais :
-Si tu réaccélères, je recommence à te le pincer.
Je jubilais du fait qu’il ne me demanda pas de la retirer. Il paraissait plutôt s’en amuser.
Bien sûr la vitesse reprit naturellement. Je le repinçais, mais sans effet, la route continuant à défiler rapidement.
Devant son obstination, j’en profitais alors, maintenant plus sûr de moi à aller plus loin. Je glissais une main sous la toile fine, l’autre tenant le tissu afin qu’il ne se soulève pas par la vitesse, pour venir directement prendre sa bite à même la peau, bite qui avait déjà commencer à bien gonfler. Comme il ne ralentissait toujours pas, sans tenir une allure dangereuse toutefois, je compris que cela ne le gênait pas et entamais un véritable pelotage en règle de son chibre.
Je lui demandais alors par-dessus son épaule :
- Tu aimes bien ?
- Ah oui ! elle est géniale cette moto !
- Mais non ! Tu aimes bien que je te tienne comme ça !
- Oui, bien sûr !
Enfin totalement rassuré, je mis alors mes deux mains, l’une lui pelotant les couilles qu’il avait bien bel et bien remplies, et l’autre lui malaxant son chibre. Je regrettais que sa circoncision m’empêchât de jouer avec son prépuce, procédé que j’adore.
Visiblement très excité, il commençait à ralentir, d’autant que j’avais commencé une véritable masturbation de cette bite énorme, que je découvrais par intermittence en passant ma tête sur son épaule. Je faisais rouler ses couilles avec délice dans la main.
De temps à autre, lorsque nous apercevions de loin quelques Bédouins, il rabattait son habit de la main gauche sur mes mains. Une fois l’intrus dépassé, il lâchait le Daraa et reprenait le guidon à deux mains. Je sentais son sexe tendu à l’extrême, le gland surgonflé. Lui-même paraissait maintenant penser plus à son plaisir qu’à la conduite. Inconsciemment, il ralentit encore, me permettant ainsi d’augmenter mon action.
Puis, tout d’un coup, je vis ses épaules se raidir, son dos se cambrer en arrière, et dans un long râle de jouissance, il m’inonda la main d’un généreux sperme ! Je portais tout de suite ma main à mes lèvres pour boire et déguster ce nectar. Puis je m’empressais de reprendre sa queue, encore bien à demi gonflée.
- Tu veux qu’on rentre ? lui demandais-je ?
- Je peux conduire encore un peu ?
- Mais comme ça, mais toute la nuit si tu veux, mon beau Karim ! Et je lui déposais un doux baiser dans sa nuque qu’il sembla apprécier.
- Prends une route plus tranquille… Tu en connais ?
- Oui, laisse-moi faire !
Quelques centaines de mètres, il prit un chemin de terre carrossable sur la droite et nous nous retrouvâmes vite dans une zone encore plus déserte.
Cette fois, plus à l’aise, car avec moins de chance de se faire voir, je me collais complètement contre son dos, lui léchouillant la nuque, les oreilles et en persistant mon pelotage de son vit et de ses couilles. Le revêtement moins bon faisait un peu plus cahoter le side. Dans un cahot, j’en profitais pour encore mieux prendre ses couilles, mais plus bas presque au niveau du périnée.
Ma masturbation se poursuivit sur un gland que je sentais commencer à grossir à nouveau, je jouais avec son méat, frustré par l’absence de prépuce, puis venait racler avec mes ongles le bourrelet de son gland. Sans cesse, par réflexe ou par plaisir, je ne sais, je sentais sa protubérance se raidir par à-coups. Il me souffla alors :
- Ça me brûle !
- Ne t’inquiète pas, tu vas voir, ça va être encore meilleur !
En fait, maintenant il ne pensait qu’à son plaisir purement sexuel car il avait ralenti notoirement. Je persistais donc dans mes caresses. Ma main avait lâché ses couilles pour venir titiller son torse et ses tétons. J’y découvris avec bonheur une toison toute frisée. Il avait des tétons bien formés que je m’amusai à faire rouler dans mes doigts et à pincer de temps à autre. Il devait apprécier car j’en mesurai l’effet derechef à la réaction de sa bite. J’en profitais, de temps à autre, pour les lâcher et caresser avec bonheur ses abdominaux contractés de plaisir et venir gratouiller son pubis que je n’avais pas tout de suite remarqué complètement rasé.
Puis ce fut la deuxième éjaculation, si violente qu’elle lui fit perdre presque l’équilibre. Il arrêta de lui-même la moto. Complètement penché en arrière, le dos cambré à l’extrême, en râlant un peu, il était toute à sa jouissance pendant que je continuais à le masturber dans un flot de sperme tiède. J’en profitais pour lui happer les lèvres et l’embrasser langoureusement. Il ne se refusa pas, y participant même activement.
J’étais au paradis. Dans ce coin désert, dans un début de nuit qui nous avait surpris, sous un ciel magnifique encore un peu rosé où transparaissaient les premières étoiles, j’avais mon jeune amant marocain étendu contre mon torse, les mains inertes sur ses cuisses, goûtant mes baisers et mes caresses dont je couvrais tout son torse. Je ne sais combien de temps nous restâmes dans cette position, mais ce fut un vrai nirvana.
Puis, dans le silence de la nuit, il me demanda :
- Tu veux que je te fasse pareil ?
- J’attends que ça, Karim !
Alors, de lui-même, il se leva, se réajusta, passa derrière moi en selle et m’enserra contre lui. Sa main se faufilant par ma ceinture n’eut pas de mal à atteindre ma bite qui n’en pouvait plus ! Je dégrafais moi-même ma braguette pour plus de facilité. Il commença alors un branlage plutôt maladroit mais compensé par les délicieux baisers qu’il me prodiguait généreusement. Je ne fus pas long à venir, terriblement excité par tous ces instants partagés. Il me fit rire quand je le vis, comme un peu dégoutté, chercher à se débarrasser de mon sperme abondant collé à sa main, en la secouant fortement sur le côté.
-Tu veux qu’on rentre, Karim ?
- Oui, ramène-moi.
-Tu ne veux pas conduire encore ?
- Non, la nuit j’aurai peur…

Nous rentrâmes finalement de nuit, dans la douce atmosphère d’une terre qui se rafraîchissait, tous les deux rassasiés de plaisir, lui doublement par sa découverte du pilotage. La journée touchait à sa fin. De moi-même, je lui pris ses mains pour les poser sur mon sexe. Je les percevais néanmoins à travers le tissu de mon bermuda, se crispant de temps à autre sous l’effet d’une accélération ou d’un virage un peu trop serré. Quel bonheur !
Les ombres s’étaient allongées jusqu’à disparaître et la lumière dorée du crépuscule avait cédé la place à l’obscurité de la nuit. Nous retrouvâmes son étal de melons au bord de la route, baigné par la faible lueur de la lune.
Il était là, comme nous l'avions laissé, mais cette fois-ci, le calme du crépuscule apportait une atmosphère différente, presque magique. Les melons dorés, soigneusement disposés durant la journée, brillaient faiblement sous la lumière tamisée des lanternes. Je garais la moto à proximité et nous descendîmes, nos esprits encore emplis des paysages grandioses que nous avions traversés.
-Tu n’as pas peur de te faire voler ?
Il me répondit, l’air un peu surpris et très naturel :
- Ici, chez nous, y a pas de voleur. Tu peux laisser ta moto toute ...

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