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Voyage en Side Car au Maroc 15

Publié par : pierre49590 le 29/11/2024

Merci à tous pour votre fidélité et vos notes excellentes ! J'espère que cet épisode vous plaira.

La journée du lendemain fut sans goût tant j’avais hâte que la nuit tombe. Je vis simplement une petite virée dans le coin. Bien sûr, je m’arrêtais à l’étal de mon beau Karim, qui avez revêtu sa nouvelle tenue. Il était magnifique !
- Et tu as vu ? J’ai bien mis le pantalon, cette fois-ci ! Il rigola.
- Moi je te préfère sans, mais ici, dans le commerce, c’est mieux tout de même...
- Je vais te confier un secret...
- Oui je t’écoute.
- Je crois que mon père sort avec une femme, une veuve, sûrement.
Je pris mon air naïf :
- Tu veux dire une autre femme... une autre femme que ta mère ? Enfin, que sa femme ?
- Oui.
- Mais comment tu le sais ?
- Il était embêté ce matin au thé. Je voyais bien que ça allait pas. ll nous a dit qu’il allait voir un ami, loin, et qu’il dormirait chez lui. Il sera là que demain matin.
Toujours l’air le plus naïf possible :
- Et alors, pourquoi tu crois que ce n’est pas vrai ?
- Parce que si je suis vraiment comme mon père, il peut pas rester trois jours sans niquer !
Je le regardais, étonné, découvrant une face que je n’avais pas soupçonnée :
- Parce que tu niques au moins une fois tous les trois jours, toi ?
- Non, tu comprends pas... Là, il y a toi maintenant, et autrement je me caresse, au moins une fois tous les jours, des fois deux ! Temps en temps, je retrouve un copain de classe, de l’autre village.
- Et tu le niques ?
- Mais tu es fou toi ! Non, on se caresse, on s’embrasse...
- Bon oui, ça ne me surprend pas. Mais pourquoi ton père ?
- Parce que... Tu vois, je te dis tout, comme à mon frère Younes... Parce que, quand on était plus petits, on entendait des choses, la nuit, derrière le mur de notre chambre, des fois deux fois en une nuit ! Et depuis au moins trois ou quatre ans, plus rien ! Mon frère ne comprenait pas ce qui se passait, c’est moi qui lui ai tout expliqué. C’est comme ça que je lui ai appris à se branler. Tu sais, entre frères, on se cache rien ! Il nous arrive de nous branler ensemble, mais chacun de notre côté, sous la couverture et on s’échange des journaux cochons...
- Oui, je ne suis pas surpris. Mais pourquoi ton père aurait une maîtresse ?
- Parce que tu crois qu’à son âge il va se branler ?
- Mais on se masturbe à tout âge, mon Karim !
- Je sais ce que je dis... Tu verras. Moi, je m’en fous, mais j’ai de la peine pour ma mère...
- Mais si ton père est malheureux sexuellement ? Enfin, je ne sais pas moi !
- Il faut que je sache qui c’est... Bon tu m’emmènes faire un tour tout à l’heure ?
- Quand ?
- À la fin du matin. J’aurai suffisamment vendu...
- Une balade simple ou autre chose...
- Je me suis pas branlé cette nuit. Tu comprends ?
J’éclatai de rire
- Je comprends ! Oui, oui. Et je suis à ta disposition. Je fais une petite virée et je passe te prendre après !

Nous voici donc, quelques heures plus tard, nous voici face à la vasque qu’il m’avait fait déjà découvrir dernièrement. Il se déshabille immédiatement, m’offrant le cadeau de son vit déjà en érection. Il plie soigneusement ses effets et les dépose à plat sur un buisson d’épineux. Pour ma part, je préfère tout de même regarder aux alentours pour voir s’il n’y a pas un berger ou un paysan qui traîne...
- Qu’est-ce que tu regardes ? Y a personne à cette heure ! Il fait trop chaud. Ne t’inquiète pas. Allez, vient ici ! fait-il en tapotant la surface de l’eau à côté de lui, comme pour me faire une place fictive. Je le contemple, à demi immergé. Quel beau jeune homme !
Déjà en forte érection, je me dévêts et le rejoins.
Il se colle à moi pour m’embrasser goulûment, me prenant immédiatement la bite des mains.
- Calme-toi !
- Et si je veux pas ?
Alors, je le prends à bras le corps et l’oblige à venir se coller dos contre mon torse. Je suis à demi assis sur une margelle de pierre lisse et douce.
- J’aime bien sentir ta force.
- Oui, et moi, j’aime bien prendre mon temps.
Il est collé à moi, les fesse directement sur ma bite, ce qui m’excite encore plus. Je le tiens avec la main droite sur le torse, que je prends un délicieux plaisir à caresser, et la main droite, je viens lui gratouiller le pubis, qu’apparemment il vient de raser très récemment. Le soleil nous assomme en dépit de nos corps à demi dans l’eau fraîche ? Je profite pour goûter sa sueur dans le cou, lui titiller les oreilles et venir l’embrasser langoureusement par instants. Chaud comme une braise, je le soulève un peu pour placer ma bite entre ses fesses, puis reprends immédiatement ma prise ferme.
Il serre immédiatement et complètement ses fesses, dans un réflexe de défense. Mais en fait, cela m’excite encore plus, enserrant mon chibre encore plus fort entre ses deux lobes !
- J’veux pas que tu me niques !
- Mais non ! Rassure-toi ! Je peux bien mettre mon zob entre tes fesses sans te niquer !
- N’en profite pas, hein ?
- Arrête, détends-toi, et pense plutôt à ton plaisir. Ce faisant, je lui prends sa queue et commence à le masturber tout lentement. Je le sens se cabrer immédiatement de plaisir. Ce mec est un vrai détonateur sexuel… j’en ai profité pour placer alors ma main entre ses fesses. J’essaie d’atteindre sa rondelle. Il rebloque, mais moins, visiblement concentré sur sa queue qui doit l’accaparer.
Je lui souffle dans l’oreille :
- Je ne vais pas te niquer, je t’ai dit. Mais je peux te caresser le cul tout de même !
- J’aime pas !
- Qu’est-ce que tu en sais ? Fais-moi confiance, mon beau Karim.
J’essaie de ma main droite de l’exciter le plus voluptueusement possible, tout en lui papouillant le cou, puisque je sais qu’il aime ça et j’en profite alors pour atteindre sa rondelle et commencer à simplement la caresser en faisant tourner mon doigt. Je le sens se détendre petit à petit, de ce côté-là du moins, car de l’autre, c’est une véritable barre à mine que je manipule. Je ralentis mon branlage pour me concentrer sur sa rondelle. Il se relâche encore plus.
- Alors ? C’est agréable ?
- Agréable, oui. Mais je préfère l’autre main ! Et il se met à rigoler, transmettant ses crispations jusqu’à son fondement.
- Tu me fais confiance ?
- Oui… Mais pourquoi.
Je le force à sortir de la vasque pour le positionner à quatre pattes.
Il se rebiffe et me ressort son « tu me niques pas ! »
- Fais-moi confiance, je te dis !
Il me regarde dubitatif, puis paraît accepter.
Je passe derrière lui pour reprendre aussitôt mon branlage de sa queue, le mieux possible. Puis je renouvelle l’action de mon doigt. Au fur et à mesure du plaisir qu’il semble percevoir cette fois-ci de deux côtés, je constate que son corps se relâche complètement. J’actionne alors ma langue pour venir, avec toute la douceur possible, lui manger le cul. Ma langue virevolte tout autour, remontant parfois sa raie, jusqu’au bas des reins ou descendant pour lécher son périnée. Il a l’anus complètement détendu et je vois que ma langue commence à pouvoir y pénétrer. Mais je ne veux pas tout gâcher aujourd’hui, ce serait trop bête, rempli d’a priori comme il est ! Je me concentre maintenant sur son vit tout en poussant encore plus avec ma langue. Il a sa rondelle complètement relâchée… Je continue, j’accélère, le sentant venir. Puis c’est le râle de jouissance, le cri même, étrangement viril pour son âge. Il vient du fond de lui-même. Tout en continuant à lui bouffer le cul je continue mon branle. Je l’entends souffler de douleur et de plaisir à la fois, d’autant que je tire un maximum sur sa peau, tout en en profitant pour faire pénétrer sa langue plus profondément. Je me vois contraint d’arrêter quand il s’effondre, visiblement assouvi, sur son torse.
- Wouah ! C’était bonnnnn !!!
- Alors, je ne t’ai pas niqué ?
- Non, mais j’ai bien senti ta langue qui allait bien profond…
- Et… Tu as aimé.
- Plutôt, oui. enfin... je crois...Tu veux que je m’occupe de toi, maintenant ?
- Tu me fais pareil ?
- Euh… Je sais pas, ça va peut-être me dégoûter ?
- Tu ne risques rien d’essayer. Si ça te dégoûtes, tu arrêtes et viens me sucer le zob simplement
- Si tu veux.
Car, si la sodomie par son père ne m’avait pas fait monter au plafond, en revanche, j’adorais me faire bouffer le cul.
Je me positionnais. Il se plaça et l’exercice commença. Si son branle commença rapidement, il fallut tout de même un bon moment avant que sa langue se pose sur ma rondelle. Il essaya de m’imiter, très maladroitement. Ce ne fut pas le Nirvana, mais ses efforts en étaient d’autant plus louables. Heureusement pour lui, ma jouissance vint rapidement, chauffé comme je l’avais été auparavant.
- C’était bon, alors ? J’ai bien fait ?
Ne vo ...

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