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Voyage en side car au Maroc 24

Publié par : pierre49590 le 27/02/2025
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Merci à mes fidèles lecteurs.
Il sursauta au tintement de la cloche d’entrée.
- Qui, est-ce ? demandai-je ?
Affolé, il se leva d’un coup et me lança tout en sortant comme une bombe de notre chambre :
- Mais je sais pas ! Viens, viens vite !
- C’est le patron ?
- Non, lui il vient jamais comme ça. C’est un voisin ou quelqu’un d’autre.
Tout en se rhabillant en vitesse, il réfléchit et me dit :
- Non, non, toi, reste en slip et va dans la piscine, l’air de rien. Moi, je vais aller ouvrir.
Et il disparut tout en enfilant le haut de son vêtement.

Et me voilà donc allongé en slip dans cette fraîche piscine, cigarette marocaine au bec, afin de paraitre encore plus décontracté…
Si je ne suis pas inquiet pour moi (quels risques courus réellement pour moi ?), je me soucie surtout pour Younes et ne voudrais pas qu’il soit mis en défaut dans son travail.
Mais rassuré, je le vois apparaître tout au bout de l’allée, accompagnant son père, le beau Daoud. Il est habillé en fellah, mais toujours aussi magnifique, aussi viril, d’autant que le connaissant parfaitement maintenant, j’imagine les formes de son corps ondulant sous le tissu lâche.
Je vois Youssef faire de grand geste tout en me désignant. Daoud me fait alors un petit signe.
Je les regarde s’approcher. Youssef n’est que la pâle copie de son père, je dirai presque plus androgyne. Mais je devine la même démarche, le même port de tête, et je le suppute, car je le sais maintenant, presque le même sexe…)
Youssef semble parfaitement rasséréné et Daoud me sourit.
- Alors ? Tu trouves l’excuse d’accompagner mon fils pour profiter de la piscine de son patron ?
Il est maintenant contre la margelle, debout, me dominant dans le soleil, impérial !
- Bon, Papa, moi, j’ai du travail. Je te laisse ! Profite de la piscine un instant avec Pierre ! Et il retourne dans la villa. Daoud me regarde, les yeux illuminés, visiblement très tenté par la proposition. Il me sourit et se déshabille pour s’offrir à moi revêtu d’un slip loin d’être dans la gamme des plus sexy…
Puis il s’immerge et me rejoint. Un coup d’œil vers la villa par-dessus la margelle, puis s’empare de moi et viens me plaquer contre le rebord, nous rendant ainsi invisible. Il s’empare aussitôt de ma bouche furieusement pour un baiser de feu.
- Je suis passé ce matin dans ta chambre, on m’a dit que tu étais parti. Ma femme a pas voulu ni hier soir, ni ce matin ! J’ai une envie folle. Regarde.
Ce faisant, il s’empare de ma main pour la fourrer dans son slip pour constater effectivement une magnifique érection. J’ai envie terrible de te niquer !
- Ici, mais tu es fou !
- Mais je suis déjà fou à l’idée de passer une journée comme ça !
- Attends, j’ai la solution. Appuie tes deux bras sur la margelle et continue à veiller du côté de la villa…
Il s’exécute.
Je prends alors une bonne inspiration pour m’immerger, pour tirer à fond sur un élastique de slip déjà bien usé et pour m’emparer de son chibre que je commence à sucer très lentement car je sais que cela l’excite beaucoup. Je détaille son gland surgonflé et ne m’étonne plus, bizarrement, de la laideur de sa cicatrice de circoncision mal effectuée. Je m’amuse à lui léchouiller ce qui correspond pour nous à l’emplacement de notre frein, car je sais qu’il y est très sensible. De temps à autre, j’aime lui broyer de toute mes forces la verge pour mieux admirer son gland qui enfle encore plus, rougissant à l’extrême ! Cela ne semble pas le gêner outre mesure. Quelques respirations en surface pour guetter également une lueur de félicité dans ces yeux, puis je replonge, admirant au passage ses abdominaux palpitant sous la peau mate avec son noir nombril que je léchouille, pour finalement lui avaler cette fois-ci les couilles, qui occupent toute ma bouche mais que j’arrive tout de même à faire rouler. J’aime, dans le scrotum, sentir rouler sous ma langue ses deux beaux noyaux… J’en profite pour avec le doigt lui chatouiller le méat. Je sens les contractions de son sexe et son bassin totalement basculé en avant, comme s’il était en train de baiser ! Il est tétanisé de plaisir ! Je les sens bien ! Mon Daoud est maintenant tendu comme un arc ! Les fesses durcies au maximum. J’ai bien tenté une petite excursion vers sa rondelle, blocage complet, mais il se refuse encore. Je reprends donc son énorme trompe en bouche et prend plaisir à lui malaxer puissamment les fesses que je sens musclées comme j’en ai carrément tripotées. Il vibre de tout son corps, jusqu’à ses jambes que je découvre, tendues, s’agitant dans l’eau. Je sens qu’il va venir !
Pour intensifier sa jouissance, je retire mes lèvres, m’empare de son pieu que je branle très fort et très vite en tirant au maximum vers l’avant et l’arrière, le plus qu’il m’est possible ! Je voudrai voir la gueule qu’il fait par-dessus la margelle. Puis, c’est la première giclée, foudroyante, généreuse, puissante, envoyant comme une longue arabesque dans l’eau cristalline bleutée de la piscine. La deuxième, toute aussi généreuse mais à la trajectoire différente, son sexe s’étant encore plus redressé ! Enfin la troisième, moins généreuse mais par petits jets se succédant rapidement. Je vois ses couilles remonter complètement, puis c’est le relâchement complet du bassin, des jambes et du sexe, petit à petit…
J’émerge pour recueillir dans la foulée un baiser fulgurant et pour entendre :
- Tu es le Diable, Habbibi !
Pour ma part, j’ai été déjà comblé par son fils, le préféré ! Mais cela il ne s’en doute pas…. Je peux donc lui souffler :
- Allez, mon Daoud, dépêche-toi, t ...

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