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Voyage en side car au Maroc 27

Publié par : pierre49590 le 01/03/2025

Chers fidèles lecteurs. Beaucoup me demande si mes histoires sont vraies. Vous le verrez, j'ai fait finalement un long séjour sabbatique dans ce merveilleux Maroc des années 80. Toutes les histoires sont vraies et en particulier mes relations avec la famille de Daoud et de ses deux fils Karim et Younes. Les autres histoires se sont également déroulées dans ce Maroc. je n'ai fait que les recentrer en même lieu... Je ne suis pas retourner depuis longtemps au Maroc du Sud. Je ne sais si aujourd'hui on peut trouver aussi facilement autant d'opportunités. J'avais remarqué que les Marocains étaient essentiellement des actifs. Les meours ont-ils changé sur place ? Je suis preneur de toute info à ce sujet. Bien fidèlement à vous. C’est la bite en feu, tendue dans mon jean trop moulant (mais c’était la mode à l’époque), que j’attends, avec envie et anxiété à la fois, la fermeture du salon.
Sirotant un thé à la menthe dans un café situé en face du lieu, j’attends le départ des derniers clients. Je ne sais si ses deux acolytes étaient des employés ou si l’un des deux était son patron.
Je devine les derniers clients partir, puis un employé que je reconnais. Enfin l’autre. Mon coiffeur sort dehors, inspecte les alentours et m’aperçoit. Par un signe discret je comprends que je dois attendre encore. Effectivement, je le vois ressortir un balai en main pour nettoyer le devant du trottoir. J’en profite pour détailler son corps que je trouve magnifique ! Quelques instants plus tard, je le vois ressortir, tirer le rideau de fer de la devanture, passer devant moi et me souffler un « suis-moi ».
Je me lève, laissant le règlement de la consommation et le suis discrètement. Nous reprenons le boulevard, puis, une cinquantaine de mètres après, bifurquons à gauche dans une minuscule ruelle, tout étroite dans la pénombre. Je devine néanmoins sa silhouette virile. Une trentaine de mètres, et à gauche le même type de ruelle, pour arriver finalement tout au bout devant une porte bleue. Il y pénètre, m’invitant à le suivre.
Je reconnais aussitôt l'arrière du salon de coiffure qui apparaît dans une fenêtre au bout de ce couloir. Nous sommes très à l’étroit, face à face. J’ose alors le coller pour lui donner un baiser ardent.
Sa respiration s’accélère, son corps se tend légèrement contre le mien. Dans cette pénombre complice, seuls nos souffles troublent le silence. Il répond à mon élan, ses mains glissent lentement sur mes hanches, m’attirant encore plus près.
L’exiguïté du lieu ajoute une intensité nouvelle. Nous sommes là, comme suspendus hors du temps, prisonniers volontaires de ce moment volé. Mon cœur bat fort. Il murmure quelque chose d’inaudible, mais je n’ai pas besoin de comprendre : tout est dit dans l’échange brûlant de nos lèvres.
Mes mains fiévreuses explorent son corps, glissant avec une impatience contenue vers cette promesse entrevue plus tôt dans le salon. Sous mes doigts, je découvre cette réalité troublante, cette certitude qui attisait déjà mon désir. Il frissonne sous mon contact, un souffle s’échappant de ses lèvres entrouvertes.
Nos regards se croisent, sombres et brûlants. L’exiguïté du couloir amplifie chaque sensation, chaque geste devient une évidence. Son corps réagit, vibrant sous mes caresses audacieuses. Une main se pose sur ma nuque, exerçant une pression douce, un murmure à peine perceptible m’encourage à poursuivre cette danse silencieuse. Il me mordille l’oreille.
Il m’est impossible de glisser ma main par sa ceinture, bien trop haute et peu pratique à cet égard. Alors, je jette mon dévolu sur sa braguette, que je déboutonne lentement, savourant chaque pression qui cède sous mes doigts.
Son souffle se suspend, son corps se contracte imperceptiblement. Mes phalanges poursuivent leur course, pénétrant lentement vers l’objet désiré. Je découvre qu’il ne porte pas de slip et son chibre perle d’embrasement…
Il ferme les yeux un instant, comme pour mieux savourer l’instant. Son torse se soulève dans un soupir profond, tandis que mes mains s’aventurent avec une lenteur calculée, s’imprégnant de chaque frisson qu’elles provoquent.
Un bruit lointain nous rappelle la réalité du lieu, mais nous sommes ailleurs, enfermés dans cette bulle de désir suspendu, où chaque seconde attise un peu plus cette tension fiévreuse.
Ses baisers se font bizarrement tout à coup très humides, chargés de salive chaude. Il se cabre sous mes caresses, son corps tremblant sous l’effet du désir. Ses mains, devenues plus avides, me pétrissent les fesses, avec une assurance nouvelle, m’attirant fermement contre lui. Je frissonne sous ses doigts, sous la pression de ses paumes qui sculptent ma silhouette comme pour mieux s’en imprégner.
Puis, étonnamment, tout s’arrête. Son souffle encore court, il me saisit doucement par la main et m’entraîne vers le salon proprement dit. Le clair-obscur filtrant à travers le rideau baissé dessine des ombres mouvantes sur les murs, donnant à l’instant une étrange solennité.
Il me guide jusqu’à un évier, pour une toilette intime avec des gestes précis mais empreints d’une tendresse inattendue. L’eau coule en un murmure apaisant, contrastant avec la fièvre qui brûlait nos corps quelques instants plus tôt. Il m’approche du bassin, ses doigts effleurant ma peau avec une délicatesse presque rituelle.
Je frémis sous le contact de l’eau tiède, sous cette attention qu’il me porte, comme s’il voulait effacer les traces de l’impatience pour ne laisser que la pureté du moment. Ses gestes sont lents, méthodiques, presque cérémonieux. Il prend soin de moi, et, dans un écho silencieux, fait de même pour lui, mais uniquement pour son chibre, tendu à l’extrême et d’une belle taille.
La toilette terminée, c’est moi alors qui le pousse doucement vers un de ses fauteuils pour me jeter goulûment sur sa bite. Voulant profiter de cet instant, je la détaille en tout point afin de la fixer dans mon esprit. Pas la taille de celle de mon Daoud. Mais respectable tout de même, avec une forme magnifique en arc de cercle, et une très belle cicatrice de circoncision. A genoux, j’avale son gland turgescent qui devient vite violacé, gonflé à l’extrême. Lui, me malaxe le cuir chevelu avec bonheur, voulant peut-être ainsi me transme ...

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