Ballade d’été

Depuis, quelques temps, je préfère la marche à pieds au VTT, moins dangereux pour moi et plus le temps de profiter de la nature.
En ce mois d’Août, je suis seul, Martine a repris son travail, c’est le problème d’avoir eu nos congés en Juillet. L’avantage est d’être bronzé pour le reste de l’été et l’arrière saison qui promet d’être belle et chaude !

Pour moi l’autre avantage et d’être seul et de pouvoir faire ce qui me plaît ! Tous les jours, je pars me balader à pied jusqu’au bois de Belbeuf.
J’enfile un short large, je ne mets pas de slip au cas ou je ferai une belle rencontre ( homme ou femme ) Une chemisette ouverte sur mon bronzage et un petit sac à dos ou je peux y mettre mon portable, une serviette et une bouteille d’eau.
Un peu de goudron au départ sur une petite route avec accotements, puis au bout de 5 kilomètres, j’arrive au bois. Il m’arrive que lorsque la vue est dégagée je marche dans le bois le sexe à l’air, ça me fait bander, bien sur je fais gaffe !
Dans une petite cuvette, il y a sur la droite un bûcheron auprès d’un camion. Là, je me fais le pari de continuer en prenant le risque qu’il me voit. Cela m’excite, je roule du cul comme une petite salope ! je regarde droit devant moi comme si je ne l’avais pas vu, mais j’ai eu le temps de l’observer.
Âgé de la cinquantaine, il est costaud, avec un Tee-shirt Marcel kaki.
Ma ballade se poursuit, je trique comme un malade, mais je dois rentrer mon sexe, car il peut y avoir du monde dans ce secteur. Je vais jusqu’au point de vue. Je trouve un endroit tranquille et m’allonge sur l’herbe tranquille.
Une demi heure se passe, malgré quelques passages de couples et d’homme seul, rien ça ne mord pas !
Déçu, je reprends la ballade avec un autre chemin pour le retour. Ce petit chemin forestier me ramène à l’arrière de l’endroit ou travaille le bûcheron. A proximité du camion, une tente est montée, avec une table dans l’avancé.
Je descends tranquillement sur cette allée boisée, quant soudain je suis interpellé par une voix viril d’homme.
« Bonjour, on se promène ? T’as rangé ton matériel ! «
« Bonjour, quel matériel ? «
« Oh, tu sais, je t’ai bien vu marcher la bite à l’air, par contre j’étais loin j’aimerai la revoir de plus prêt ! «
« Vous devez vous tromper ou avoir mal vu ! «
Tout en me regardant, l’homme se rapproche de moi. Le crane rasé il est bien bronzé et musclé.
Face à moi maintenant, il baisse son bermuda en jeans et exhibe son gros sexe.
Je suis émerveillé par son membre, comme hypnotisé !
« Tu peux le toucher si tu en as envie, fais voir le tien ! «
Sans réfléchir, je baisse mon short et lui présente mon sexe bandé. Machinalement, je caresse sa bite et ses couilles. Il m’offre sa bouche et après un long baiser me propose :
« Viens sous la tente, on sera plus tranquille ! «
Sans sourciller, je le suis, n’ayant qu’une envie, de le lécher !
Sous la tente, il me pousse vers le fond ou un matelas est au sol. Là, il baisse son bermuda et enlève son polo, le voilà nu, juste avec ses chaussures de travail. Son ventre comme son sexe sont imberbe.
Comme lui, je me déshabille et me retrouve nu, juste en chaussettes.
Il commence par me prendre la bouche, enfonçant sa grosse langue en moi. Je frisonne déjà de plaisir. Ses mains courent sur mon corps, l’une d’elle me masturbe alors que l’autre après m’avoir peloté les fesses cherche mon anus.
Je me cambre pour l’aider, il ne tarde pas à trouver mon œillet fripé, et après l’avoir flatté y enfonce son majeur. Doucement, il me branle mon anus, mes jambes fléchissent , j’ai en vie de le sucer mais c’est lui qui mène la danse !
Mon bassin ondule pour l’aider à pénétrer au plus loin son doigt. Sa bouche quitte la mienne, il se recule après avoir enlevé son doigt et me gifle le derrière !
...

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