Après une première journée plaisante, et une nuit tendre avec Gisèle, il nous restait ce Mardi à passer ensemble avant que je ne reprenne la route. Je me suis donc levé de bonne heure pour aller courir, laissant ma maîtresse trainer au lit.
Pour changer du bord de mer, j’ emprunte les chemins de campagne. Il fait bon de courir à la fraiche le matin. Je me sens libre.
Au détour d’une allée boisée, j’aperçois une grange. Curieux, je me dirige vers elle, j’entends siffloter à l’intérieur. Je m’approche et me trouve face à face avec un solide gaillard. Un homme de quarante ans, torse nu en pantalon style combinaison. Une fourche à la main, il retourne du foin dans la grange. Il m’interpelle d’une voix grave :
« Vous cherchez quelques chose ? »
Sous le coup de la surprise, je ne sais que répondre, impressionné, je balbutie quelques mots :
« Rien, je me promène ! «
L’homme jette sa fourche au loin, et m’agrippe le bras. Il me tire vers le fond de la grange et me montre des détritus ( emballages et canettes vides ).
« Tu fais parti des jeunes cons qui viennent baiser dans ma grange «
Je ne sais quoi répondre. Instinctivement, je baisse les yeux et mon regard se porte sur le bas ventre de l’agriculteur. Sa braguette entrouverte laisse visible un énorme sexe, je suis subjugué ! Il a capté mon regard et ma gêne, il me lâche le bras et sort son sexe en me disant :
" Elle te plaît, hein, c’est ça que tu cherches ? »
Je ne dis rien, envouté par cette queue !
Il appuie avec ses grosses mains sur mes épaules, et je me retrouve à genou face à son « cobra « .
Je suis comme dans un rêve, ce n’est plus moi. C’est mon envie qui me guide, sans réfléchir je prends son sexe en bouche et commence à le pomper ! Il me caresse les cheveux, mes mains cherchent ses bourses, elles sont dodues.
Ma langue s’enroule autour de son pieux, ce n’est pas la première bite que je suce, je commence à savoir y faire ! J’aurai préféré qu’il me sodomise, mais si j’arrête là, le gaillard ne sera pas d’accord !
« Vas y, sac à foutre ! suces moi bien ! «
Sous ses injures qui m’excitent, j’ accélère le rythme. Sa bite énorme me remplit la bouche. Je le sens venir, après quelques saccades, il décharge son sperme dans ma gorge ! Je déglutis et avale son liquide !
Après un dernier râle, il se retourne et descend mon jogging, il avale mon sexe et me suce, certainement en récompense. Mes mains caressent sa tête, ses cheveux. Il m’aspire et pompe comme un roi, hum, je ne vais pas tenir longtemps à ce régime ! Mais là, il s’arrête, sa bite a repris du volume. Il s’essuie la bouche et me dit :
« Retournes toi petite salope ! «
Sans résistance, j’obéis et me cambre, j’ai compris, il va exaucer mon envie ! Il crache dans sa main et enduis sa bite avec son crachat.
Il commence par enfoncer son pouce dans mon anus !
Mon trou à l’habitude, depuis mon enfance, j’y introduis tous ceux qui ressemble à un bite !
Je me trémousse et geins comme une femelle, il à l’air d’apprécier ! Du coup, il m’astique le cul ! Mais il me fait du bien ce con !
Il retire son pouce, se penche et y introduit sa langue, hummmm, elle est bonne !
Elle fouille mon intérieur, s’enfonce au maximum, quel plaisir !
Mais cela est de courte durée, après bien avoir humidifié mon anus, il y présente son sexe
Il y pénètre son gland, hum, je le sens bien, il avance en moi, millimètre par millimètre, je l’aide au mieux en cadençant son avancé, je jouis et bande en même temps !
Et soudain, quelqu’un rentre dans la grange !
« Hé bé mes salops, on prends du bon temps sans Papy ! «
Un homme âgé de la soixantaine s’approche, il sort sa bite et me la présente sous le nez.
Elle sent l’urine, mais il force ma bouche et je n’ai pas le temps de refuser. Elle est petite, mais bien raide !
Je le suce, avec la double sensation d’être pris et d’avaler ! Comme c’est bon !
Le sodomite s’excite et me pénètre à fond, rapidement je sens les convulsions de sa bite, il est au taquet et déverse son sperme en moi, c’est bon est chaud, je redouble la succion de la bite embouchée et je le sens se crisper, ça y est, il décharge son jus, j’avale tout et lui lèche jusqu’à la dernière goutte !
Une fois nos esprits revenus, le plus jeune dit :
« hé bé papa, ça te change de la chèvre ! »
Le gaillard me demande :
« T’es pas du coin toi ? «
« Non, je suis de passage avec ma belle mère pour 2 jours. «
« Ah bon, vous faites quoi ce soir, vous pourriez venir manger à la ferme si papa veut bien ? «
" Pas de problème mon fils, si la dame est aussi salope que lui, on va s’amuser ! »
Mes nouveaux amis m’expliquent la route de la ferme, la soirée promet d’être chaude. Je rentre cassé par cette pause, j’ai hâte de prendre ma douche !
Gisèle est bien sûr levée, elle a préparée le café et un petit déjeuner.
Je la regarde, elle est belle dans son déshabillé transparent, mais j’ai les couilles vides, il faut que je récupère pour ce soir.
Elle me prend la bouche, cela me change de la bite du vieux !
Nous prenons tranquillement le petit déjeuner, et nous nous lavons.
Je lui fais part que nous sommes invités pour le diner chez des braves paysans que j’ai rencontré. Elle me regarde étonnée et me dit :
« Ok, cela nous feras une sortie. «
Nouvelle ballade à pieds sur le port et ensuite dans le petit centre ville, nous nous posons pour y boire un verre. Après un déjeuner à la location, nous restons à la maison pour une bonne sieste, quelques caresses, mais rien de plus, la soirée va être longue, il faut garder des cartouches !
L’après midi se déroule rapidement. Je suis mort d’impatience, sachant ce qui va se passer !
J’ai laissé le choix à Gisèle de choisir sa tenue. Elle a optée pour une robe noire courte évasée avec des collants ouverts noirs avec ses bottes cuir noir. Un beau maquillage avec un rouge à lèvres foncé mat.
Chose rare, elle a ses lunettes yeux de chat. Elle est à son habitude super belle !
Nous quittons notre maison à 18 H 30, le temps de passer au fleuriste du village. La ferme n’est pas loin, nous arrivons juste pour 19 H 00
Je gars la voiture devant la petite ferme. Une lumière éclaire la cour.
Nous descendons du véhicule, je toque à la porte.
Une femme âgée de la cinquantaine nous accueille chaleureusement et nous invite à rentrer.
Gisèle qui n’a pas voulu venir les mains vides offre le bouquet de fleurs.
Je suis vraiment surpris, je m’attendais à être reçu par des paysans mal habillés, et nous nous retrouvons avec personnes bien fringués dans un intérieur propre.
Visiblement, c’est la mère qui dirige. Elle se tourne vers son mari en lui disant :
« Ne reste pas planté là, fais asseoir tes invités ! «
Celui-ci, moins virulent que cet après-midi nous désigne le salon et nous invite à nous asseoir.
Je laisse Gisèle s’avancer en première. Elle se pose en relevant sa robe et croise ses jambes.
Sa robe s’est bien relevée et on peut admirer le haut de ses cuisses.
La mère reprend la parole et harangue son fils :
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