Ma pauvre Louise !

Mon fils est en stage professionnel sur Rouen pour deux mois. Bien sûr, comme sa femme Louise est sans emploi, ils nous ont demandé de passer cette période à la maison, car nous avons des chambres de libres.
Nous sommes au mois de Mai, il fait beau. Martine est déjà partie à son bureau et mon fils à son stage.
Il est 9 Heures, j’ai déjeuné et normalement Louise devait le faire avec moi, nous devions aller marcher à 9H30, mais là, elle n’est toujours pas levée ?
J’ose aller vers la chambre, j’ entrouvre la porte et j’entends comme des pleurs. Je me permets de pousser celle-ci et de rentrer dans la chambre.
Là, surpris, je vois Louise blottie contre l’oreiller qui sanglote. Le drap est au niveau de ses pieds, et ses jambes et son fessier sont apparents, sa nuisette bien relevé, laisse une vue imprenable sur son derrière dans lequel un string sépare ses belles fesses.
Je m’approche timidement, passe une main dans ses cheveux blonds prolongeant ma caresse au niveau de son cou.
« Pourquoi pleures tu ma belle , «

Reniflant, Louise relève la tête, et me regarde avec ses yeux en larmes.
« Ah, c’est toi François, c’est gentil de vouloir me consoler ! C’est ton fils, il ne s’occupe plus de moi, il n’y en a que pour son boulot, et le W-E c’est la course à pieds !
Nous ne faisons plus l’amour, mon corps est en manque de caresses et d’amour ! «
« Oh, tu dois te tromper, c’est vrai qu’il est occupé, mais quant on a une femme belle comme toi, il faut la combler ! «
« J’aurai préféré qu’il ai une maîtresse, j’en suit réduit à me caresser ! «
À la fin de sa phrase, elle se colle contre moi, sa poitrine s’écrasant contre ma main.
C’est plus fort que moi, je me mets à bander, sentant son corps de braise réchauffer le mien,.
Ma main gauche va à la rencontre de ses fesses, je les caresse doucement, remontant de bas en haut.
Mais l’envie est plus forte que ma volonté et je laisse aller les doigts glisser dans sa raie sur la ficelle humide de son string.
Suite à mes caresses, elle se frotte littéralement contre moi et cherche ma bouche.
Sa langue force mes lèvres et investie ma bouche. Je ne peux que me laisser faire!
Il est vrai que moi aussi je suis en manque, car Martine me dit souvent qu’elle est fatiguée et je n’ai le droit qu’ à mon coup hebdomadaire !
Mais là, c’est elle qui se frotte à moi et
m’ offre sa bouche ! Je ne suis qu’un homme.
Sa langue chaude est pénétrée dans ma bouche, je ne peux résister et ma langue va également fouiller sa bouche.
Sa main est déjà passée sous mon jogging et me cherche mes couilles !
Oh non, je ne dois pas , il ne faut pas !
Je sens sa main qui a saisi mon membre. Doucement, elle commence à le branler !
Mon doigt est passé sous la ficelle et effleure son anus fripé. Je le sens qui se contracter avant de se relâcher, me permettant d’enfoncer mon majeur en elle !
Son trou est chaud et réagit bien, j’ai l’impression qu’il respire !
Je lui dévore sa bouche alors qu’elle me branle ! Mon doigt va et vient en elle ! Elle écarte les cuisses comme pour m’inviter !
J’ai envie de lui bouffer son anus, j’ai envie de lui bouffer sa chatte, j’ai envie de la baiser !
Oh, je bande com ...

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