Ma voisine Monique.
Nous sommes au cours du mois de Juin 2011. Il fait beau, je suis en congés, Martine elle est au travail.
Je suis en short et teeshirt et je fait des propretés dans le jardin. C’est agréable de profiter de la belle saison.
Ma voisine d’en face Monique vient de sortir de sa maison, elle est dans son jardin également.
Âgée de la soixantaine, elle a perdue son mari il y a déjà cinq ans. C’est une femme d’un mètre soixante dix assez costaud, mais ses formes sont réparties également et agréablement. Je fantasme toujours sur sa poitrine imposante.
Elle est vêtue comme les anciens d’une blouse bleue fleurie qui lui arrive au dessus des genoux.
Je lui fais signe de la main.
« Bonjour Monique, tu vas bien ? «
« Oui ça va et toi François, c’est la forme ? «
« Oui, nickel par ce beau temps ! «
» Si tu as le temps, j’aimerai te voir, j’ai quelques chose à te demander ! «
« Bien Monique, je viens dans cinq minutes. «
"Je prends le temps de ranger mes outils de jardinage, passe par la salle de bain pour me rafraîchir et me passer un coup de gant de toilette sur mes attributs, je me parfume, et je file chez la voisine, cela tombe bien c’est l’heure de l’apéro !
Je rentre dans son jardin, elle est derrière un massif de fleurs.
« A te voilà, suis moi, on va prendre l’apéro ! «
Par transparence due au soleil, je peux apercevoir ses formes. Elle monte les quelques marches pour accéder à son porche, cela me laisse le temps d’apercevoir le haut de ses cuisses, mais pas plus . Nous pénétrons dans le couloir, elle me dit :
« Installes toi dans le salon, je me lave les mains. «
Je prends place dans le salon, face à son fauteuil, comme cela j’aurai vue sur ses jambes.
La voilà qui revient, elle me demande : « Tu veux quoi en apéro ? «
" Oh, si tu as du Pastis, allons y pour un Pastis ! «
« D’accord, je t’accompagne, mais avec un Porto ! «
Monique ouvre son bar, elle sert les doses et va ensuite mettre des glaçons. Puis pose les verres sur la table et revient avec des biscuits apéritifs.
Elle se pose comme prévu dans son fauteuil, et comme je l’imaginais, sans le vouloir me donne un accès visuel à son entrejambe. Bien enfoncée dans son siège, sa blouse à remonté et découvre le haut de ses jambes.
« Prends ton verre François et trinquons ! «
« Oui, merci Monique, et à ta santé. «
« Je voulais te demander si dans tes connaissances tu pouvais m’indiquer un garçon sérieux pour refaire le papier peints de ma chambre, elle en a bien besoin ! «
« Écoutes, suivant le chantier, je peux le faire moyennant un petit billet. Il faut que je vois et évalues la pièce et le travail ! «
« Super, je préfère te payer toi qu’un inconnu, buvons notre apéro tranquillement, et on voit après ! «
Nous trinquons et dégustons notre apéritif. Je jette un coups d’ œil vers son entrejambe. Elle a les jambes écartées, et j’ai l’impression qu’elle n’a pas de culotte. Pas étonnant, il fait chaud. Vu la situation, mon sexe gonfle. Sa blouse compresse sa poitrine et malgré son âge, Monique est désirable !
Mon verre fini, elle s’empresse de me resservir une deuxième dose. Elle se justifie en me disant :
« Tu as le temps de récupérer, Martine avec son nouveau poste ne rentre plus de bonne heure! A la notre ! «
« Oui, cela est vrai, avec ses nouvelles responsabilités elle bosse dur ! «
Nous finissons tranquillement notre apéro, puis Monique se lève en me disant :
« Suis moi, je vais te montrer ma chambre pour que tu évalues le chantier. «
Elle me précède pour monter le douzaine de marche qui mène au premier étage. Presque le nez entre ses cuisses, je profite de la vue ! Comme j’avais cru le voir, Monique n’ a pas de culotte. Devant moi, en gros plan, son gros cul, qui roule en escaladant les marches. Ses grosses lèvres sont entre-baillées, laissant visible les petites bien fripées. Son anus domine majestueusement cette vallée peu fréquentées, mais qui ne demande qu’à s’humidifier !
Elle tient la rampe par sécurité, ce qui lui permet un déhanchement cadencé.
Je suis tout émoustillé par ce spectacle, et ma queue déforme mon short.
Sur le palier d’accès aux chambres, ma voisine se retourne et me toise.
« ça va François, on arrive à ma chambre ! «
La disposition est la même que chez moi, je ne suis pas perdu. Pendant que Monique me parle, je l’imagine le cul en l’air en train de se faire prendre par feu son mari.
Tout en parlant, je n’avais pas remarqué qu’elle me tenait le bras. Ce contact me ramène à la conversation et au futur chantier.
« Pas de problème pour moi, je décolle d’abord et je recolle, il te reste à acheter ton papier, je pousserai la commode et déplacerais le lit. «
« Oui, en attendant je peux dormir dans la chambre d’à côté, tu peux commencer quant ? «
« Dès demain matin, si tu es disponible ? «
« C’est bon pour moi, allez, allons reprendre un petit verre François ! «
Le verre servi, je vois que Monique est chaude, elle est venue s’asseoir à mes côtés sur le canapé. Sa blouse s’est relevée un peu plus.
« Oh mais François, je vois que tu as les jambes rasées et bronzées, elles sont belles ! «
« Oui, c’est pour le sport, le footing et le vélo, et j’aime bien ! «
Machinalement, elle me caresse mes cuisses lentement, tout en me parlant sa main arrive au bord de mon short et insidieusement touche délicatement mon sexe bandé.
« Et elles sont douces, comme une femme !»
« Merci Monique de ce compliment , Martine aime aussi ! «
« Pour le travail, je peux te dédommager à la journée si tu es d’accord, tu ne seras pas perdant !»
« D’accord, c’est juste pour me faire un billet pour mes distractions !»
« Et avec Martine, ça va bien ? Sa nouvelle situation ne te dérange pas, je la trouve de plus en plus coquette ! «
Je m’empresse de finir mon verre et me lève.
« Bon Monique, je dois y aller, je vais préparer mes affaires pour demain, je serai là à 9 H 00.
Monique s’empresse de se lever, et m’embrasse délicatement aux coins de mes lèvres, visiblement elle a chaud au cul grand mère, cela n’est pas pour me déplaire !
Le lendemain, un Mercredi arrive vite, j’ai mis un vieux short ample ( sans slip ) et un Marcel bien échancré. Je rassemble mes outils ( escabeau, table à tapisser, sceau, etc... °
Monique m’accueille, elle est maquillée, a une petite jupe courte à fleurs et un polo imprimé, elle m’embrasse trois fois, elle sent bon !
« Tu fais comme chez toi, je reste en bas et dans le jardin si tu as besoin de moi.
Je monte à l’étage, ma première tache est de déplacer la commode. Zut elle est lourde, je vais vider les tiroirs, cela ira mieux. Dans celui du haut, des sous vêtements, hum culottes en dentelles transparentes, string, culottes ouvertes, elle ne s’embête pas Momo !
Je continue l’exploration, bustiers, soutien gorge que de la qualité. Et puis des bas et des portes jarretelles, ça me met la gaule ! Je retire le tiroir et le dépose sur le lit.
Dans celui du milieu, surprise, des revues pornos, un gode blanc et un gode marron et un gros tube entamé de vaseline ! Oui vraiment, cela devait être une bonne la voisine !
Je pose également le tiroir sur le lit. Dans le dernier tiroir des cassettes vidéos VHS avec des étiquettes marquées au stylo ( A la maison, vacances en Bretagne, le beauf , etc... )
Je pousse la commode dans le couloir et remet les tiroirs, je suis tout émoustillé par cette découverte, mon sexe dépasse du short !
Je pousse le lit au fond de la chambre, le recouvre d’une housse plastique;. Je débranche les lampes de chevets et les déplace dans le couloir ainsi que les tables de chevet.
Voilà, la pièce est prête pour commencer le décollage. Je bosse sans regarder l’heure.
En fin de matinée, Monique monte me voir :
...
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