Martine, Léon le voisin et ses cerises !

C’est le W-E, je suis parti marcher en forêt, espérant trouver un joggeur assez sympathique à sucer.
Ma femme Martine est restée à la maison à profiter du soleil, il fait beau.
Elle est allongée sur le transat dans sa petite jupe évasée qu’elle a relevé bien au dessus de ses genoux? pour profiter du soleil.
À la maison, en général, elle ne met pas de soutien gorge pour être plus à l’aise, et son chemisier blanc transparent la rend encore plus belle !
Elle déguste une bière Blond bien fraîche, tranquillement.
Les yeux fermés, elle se revoit dans ses pensées la soirée d’hier soir, alors qu’en position de « 69 », elle me suçait avec gourmandise.
Moi, je l’ai bien fait jouir avec ma langue. Des frisons parcourent son corps, elle ne peut s’empêcher de glisser sa main sous sa culotte et de frictionner son abricot humide.
Hum, que c’est bon, elle a encore envie, elle est bien mouillée !
Elle passe deux doigts dans son vagin et les porte à sa bouche pour les lécher.
En vieillissant, elle devient de plus en plus cochonne, dommage que je sois moins performant !
Elle reprend une gorgée de sa bière et ferme ses yeux pour retrouver ses pensées cochonnes.
Sortie de ses songes, elle entend des bruits de pas dans le gravier.

Déjà François ? Il devait faire ses 15 km de marche, et là, il est parti que depuis 45 minutes?
Elle voit arriver Léon, le voisin du fond de l’allée. La soixantaine, taille moyenne, il est un peu rond, mais toujours propre sur lui.
Vêtu d’un short large kaki, et d’une chemise à carreaux ouverte sur son torse poilu. Il tient une coupole de cerises bien rouges.
C’est lui qui surveille notre maison lorsque nous sommes en vacances, forcément il a le code d’accès du portillon.
« Ah, tu es là Martine, je ne savais pas, sinon je serais passé plus tard !
J'apporte des cerises, j’ en ai plein !
Si tu en veux encore, tu peux venir les cueillir, je te tiendrai l’escabeau. Moi seul, j’ai peur de tomber ! «
« C’est gentil ! C’est pas grave, tu as eu raison de passer ! Tu veux une bière ? "
" Oh oui, j’ai la gorge sèche, et là, te voir aussi belle, ça me fait des choses ! «
« Oh, gros coquin, je vais chercher ta bière ! «
Martine se lève, sans le vouloir, elle écarte les jambes pour quitter le transat. Elle n’oublie pas de regarder l’entrejambe de Léon, qui visiblement a une bonne érection.
Léon est heureux, il a put voir le haut des jambes de sa voisine. Il a déjà eu l’occasion de la frotter quelques fois en chahutant avec elle quant François est absent.
Elle se laisse caresser facilement les fesses, mais il n’a jamais oser aller plus loin !
Martine a pris deux bières, la sienne était vide.
Elle en a profité pour retirer sa culotte, elle veut s’amuser avec Léon !
« Tiens mon Léon « dit elle en lui donnant sa bière. Puis, elle s’étend sur son transat les jambes pliées et relevées. Léon est assis en face d’elle sur un fauteuil en rotin. Il a une vue sur le cul nu de Martine avec ses fesses rebondies.
Du coup, il avale une longue gorgée de bière
Martine en joue, elle ouvre et ferme ses jambes, doucement tout en parlant. Le sexe à Léon a gonflé.
Il se penche un peu pour mieux voir s’appuyant sur ses coudes.
Il veut détourner son regard, le remonte et tombe sur sa poitrine à peine cachée par ce chemisier transparent.
Il admire ses auréoles bien rosées ou se dressent en plein milieu ses pointes larges comme un petit doigt !
Martine le regarde en souriant, elle sait qu’il est à point !
« Tu n’as pas chaud ? Si tu veux, tu peux enlever ta chemise, je la mettrais à sécher ! «
« Oui, je veux bien, et François, il va bientôt rentrer ? «
« Oh non, il en a encore pour 1H 30 !
Bé moi, je vais prendre une petite douche, j’ai chaud ! Si cela te tentes ? «.
« Pourquoi pas, y’ a de la place pour deux ? «
« Oui, suis moi ! «
Léon s’enfile le reste de sa bière, et suit Martine.
Arrivée au fond du couloir, Martine se déshabille sans attendre.
Léon fait de même, il tombe sa chemise, son short et son caleçon.
Martine regarde le sexe dressé de Léon.
« Vas y, passes devant, je pourrai te passer du savon liquide sur ton corps si tu veux, et tu me feras de même ? «
La douche Italienne est grande, ( 2,00 x 1, 00 M )
Martine règle le mitigeur et commence à arroser le corps de Léon. Après l’avoir bien mouillé, elle l’enduit de savon liquide tout en le massant légèrement.
Elle a fait son dos, ses épaules et descend à son postérieur. Elle enduit sa main de savon et la passe entre ses cuisses. Léon est appuyé au carrelage du mur, il bande comme un jeune premier, il croit rêver !
La main glisse dans sa raie culière, s’arrêtant pour frictionner son anus.
« Allez, tournes toi, je fais le côté face ! «
Léon se tourne présentant son ventre à Martine. Elle masse son ventre avec le gel, puis sa poitrine. Elle le regarde dans les yeux en souriant.
Le sexe de Léon tape sur les cuisses de Martine. Elle regarde Léon en lui disant :
« Ne t’ inquiètes pas, je vais m’occuper aussi de lui aussi ! «
Elle prend une bonne giclée de savon, et commence à faire glisser sa main sur le membre. Elle le décalotte et le branle un peu .
Puis, elle malaxe ses grosses couilles qui sont bien pleines !
Léon est aux anges, sa respiration augment, il penche sa tête en direction de la bouche de Martine, on ne sait jamais, elle ...

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