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Mon aide soignante AYA.

Publié par : routiers76 le 09/10/2023

Mon aide soignante AYA

L’an dernier, le beau temps aidant, je me suis remis aux longues ballades de V.T.T.
Comme ma femme Martine travaille encore, et c’est pas avec les nouvelles directives de nos gouvernants que cela va cesser, je peux profiter de la vie et de ses à côtés. Elle fait ce qu’elle veut, elle sait que je l’autorise, dès l’instant qu’elle me raconte ses aventures !

Mercredi après midi, rendez-vous avec les copains de bike, départ à 14 H 00 pour une sortie de 2 à 3 h 00.
Il fait chaud, j’ai mon cycliste qui moule bien mon sexe, nous faisons un circuit au alentours de Belbeuf, avec du dénivelé ! Des montées et descentes raides à 15 à 20 %
Je veux faire le malin pour épater mes copains, et il arrive ce qu’il doit arriver, dans une descente, ma roue avant se dérobe, je ne peux contrôler, et je pars à la faute !
Je dérape et tombe, et heurte le guidon avec ma poitrine. Pour me rattraper, je mets la main, mais je pars et tombe dans les broussailles !
Un certain temps se passe !!! Je reviens à moi dans le VSAB ! Je suis KO, je reprends connaissance dans un bruit de « Pin Pon Pin Pon "!

Je suis dans une coquille, j’ai mal à la poitrine quant je respire, ah merde, j’ai mal au poignet droit !
« Ne Bougez pas ! « m’ordonne le pompier, mais même si je voulais je suis compressé dans un corset gonflable !
Je me laisse porter et soigner, je n’ai pas le choix !
Aux urgences, le diagnostic tombe ! Trois côtes de cassées et le poignet droit aussi !
Le pied quoi ! Je passe quarante huit heures aux urgences ! je vous raconte pas la Martine ! :
« A ton âge, faire le con en vélo ! on est bien maintenant !»
Retour à la maison, Martine contacte l’assurance et arrive à avoir une aide à domicile, elle ne peut pas prendre de congés, et moi, je suis comme handicapé !
Du coup, pour m’éviter des douleurs et de monter les étages , elle déplie le canapé qui est convertible, et me dit :
« Voilà, pour les prochaines semaines ce sera ta chambre, je ne voudrais pas te faire mal dans le lit en me tournant !
Je lui réponds aussi vite :
« Oui, t’as raison, comme j’ai le droit de te toucher une fois par mois, tu pourras venir me sucer dans quinze jours ! «
« Oh, tu exagères ! «

Le Lundi arrive, Martine attend 9H 00, l’arrivée de l’aide soignante. Une femme âgée de vingt cinq ans environ se présente.
De ma place, je ne vois pas, mais j’entends ma femme lui expliquer sur un ton ferme les directives. La jeune personne se présente à moi :
« Bonjour Monsieur, je me prénomme AYA, je suis là à votre service, n’hésitez pas à me demander ce que vous désirez ! «
Je l’écoute tout en la déshabillant de haut en bas !
Vêtue d’une jupe courte noire, elle à de petites bottines marron. Son chemisier blanc écrase de gros seins portées par un soutien- gorge noir. Mulâtre, elle a les cheveux courts et frisés.
Je lui souris en la remerciant.
Martine nous dit qu’elle part à son travail et indique à Aya de téléphoner si il y avait un problème !
Je sens comme un soulagement au départ de mon épouse !
AYA, vient vers moi et me demande :
« Vous avez besoin de quelque chose Monsieur ? «
Ecoutes AYA, on va se côtoyer pour au moins deux mois, tu peux m’appeler François et me tutoyer, ça ne me dérange pas ! «
« Ok François, je vais me changer dans la pièce à côté ! "

Elle revient un peu plus tard vêtue d’une blouse bleue courte déboutonnée au dessus du genoux.
« Tu veux un café François ? «
« Oui, avec plaisir AYA ! «
Elle revient un peu plus tard avec un plateau et deux tasses, elle s’assied face à moi et me sert ma tasse. Elle tourne mon sucre, je ne fais que regarder ses cuisses son entrejambe pour le peu que sa blouse me laisse voir.
Tout en discutant, j’admire ses yeux bleus, elle est vraiment belle, malgré un très léger embonpoint.
Elle débarrasse les tasses et me demande :
« As tu été aux toilettes ce matin ? «
« Non, j’ai juste envie d’uriner ! «
Elle se lève et va chercher le pistolet à uriner. Me voyant chercher à bouger, elle élève la voix aussitôt et me dit :
« Non, tu ne bouges pas, je suis là pour t’aider ! «
Je suis en tee-shirt sur le lit, mon corps est juste couvert par un drap.
AYA soulève celui-ci en me regardant ! :
" Ne bouges pas, je m’occupe de tout ! "
Elle attrape mon sexe tendu et l’introduit dans la canule. Elle me fixe dans les yeux et me dit :

" Allez, pisse !"
Elle voit bien que j’ai du mal, elle se penche, me donnant accès visuel à sa poitrine, sa blouse entrouverte me laisse entrevoir ses globes ! Mon sexe se tend, et j’urine !
« hé bé voilà, t’as fait un beau pipi ! «
Elle retire le pistolet, mon sexe est toujours droit, elle essuie la dernière goutte en me disant !
« Bon, va falloir allez se laver, on va à la douche, je vais t’aider ! «
Je me tourne tranquillement, je prends appui sur ses épaules, j’en profite pour lui toucher sa poitrine, elle ne dit rien. Hanche contre hanche, nous arrivons à la salle de bain. Heureusement que nous avons une douche italienne !
Devant la glace, elle me déshabille .
" Hum, il est encore bien foutu le Papy ! "

Nu comme un ver devant elle, mon sexe n’est pas au garde à vous !
Elle rentre mon poignet plâtre dans un sac poubelle. Elle me guide dans la douche.
« Ah zut, tu ne peux pas ouvrir le robinet ! «
Du coup, elle se déshabille, et rentre nue dans la douche.
Là, mon sexe se dresse, elle me tient aux hanches.
Elle règle l’eau avec le mitigeur, et nous nous douchons !
J’observe son pubis totalement rasé, ses lèvres apparentes laissent s’échapper sa languette.
Ça y est, elle m’arrose, l’eau est tiède et bonne, comme elle !
Elle me savonne la poitrine, puis le ventre. Elle passe aux fesses et nettoie avec du savon liquide ma raie culière. Ma respiration s’accélère, elle le perçoit et du coup me masse les fesses. Un de ses doigts caresse mon anus. Bien lubrifié par le savon, il s’enfonce facilement dans mon anus.
Elle me fait du bien cela ne m’est pas arrivé depuis longtemps. Ma tête se penche sur sa poitrine, je gobe son sein droit, flattant son téton avec ma langue .
Son autre main a attrapé mon sexe et glisse dessus, elle le branle ! Je m‘agrippe du mieux que je peux à elle.
« Oh oui, c’est trop bon continues ma belle ! Oh, je n’en peux plus ! «
« Attends, ne pars pas encore, je veux boire ton nectar ! «
Elle se met à genoux et engobe ma bite ! Hum que c’est bon d ...

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