Week-End avec Patricia chez Mamie.
Cette histoire se déroule au cours du mois de Juillet 1976. Ma meilleure amie et moi avions décidés de passez quelques jours chez ma Grand Mère maternelle, celle-ci étant fatiguée et déprimée depuis le décès de son époux.
Sa demeure est distante de quarante kilomètres environ du domicile de mes parents.
Patricia âgée de 19 ans venait d’avoir son permis de conduire, moi mes 18 ans, fêtés depuis peu, je me sentais enfin libre et fière d’être avec elle dans sa Renault 4 L.
Elle était juste ma meilleure amie, et nous nous entendions très bien.
Nous étions vêtus de short et chemisette vu la canicule.
Mamie était âgée de cinquante huit ans à l’époque. Depuis le décès de son mari, elle se laisse aller, et ne prête pas attention à sa présentation.
Sur place vers 18 H 30, nous sommes rentrés avec nos sacs dans la petite maison. Après une accolade, nous nous sommes installés chacun dans nos chambres.
Après avoir installé nos affaires, nous sommes descendus donner un coup de main à préparer le repas. Il faisait chaud et lourd, la météo prévoyait de l’orage.
Une assiette de légumes frais en entrée et des oeufs jambon ont été suffisant vu la chaleur.
Mamie fatiguée, nous a autorisée à regarder la télévision. Heureusement, nous avions prévu des cassettes vidéo, car le programme du vendredi n’est pas terrible.
Une fois le film regardé, et après avoir zappé les chaînes, nous sommes montés pour nous notre toilette. Ma copine commence la sienne avant moi pour ne pas que je la vois. Elle m’appelle à la fin de sa toilette, elle est en train de se laver les dents vêtue d’une chemise de nuit qui lui arrive au dessus des genoux.
Je me place derrière elle et enlève mon short. En me baissant, je peux voir qu’elle a enlevé sa culotte. Je n’avais jamais vu son cul nu . Mon sexe se tend sous mon caleçon.
Je me colle contre le meuble évier et me lave les dents. Elle coiffe à la brosse ses longs cheveux. Je ne m’étais jamais attardé sur le physique de Patricia, elle est bien gaulée, avec une poitrine 95 B et des seins bien ronds.
Il faut que je pense à autre chose. Patricia se tourne vers moi en me disant :
« Bon, je vais me coucher, bonne nuit ! « Elle se penche et m’embrasse tendrement. Je lui réponds :
« Oui, merci, toi aussi dors bien ! « et lui embrasse sa joue, elle sent bon !
Il est minuit passé, je suis couché sur les draps, la fenêtre ouverte et les volets fermés.
Je revois le cul lisse à Patricia, il est bien bronzé. Machinalement, je caresse mon pénis. Il est sorti par l’ouverture de mon caleçon, je mouille mon gland pour que cela glisse mieux.
Les yeux fermés, j’entends gronder l’orage, je m’en fou, je suis bien. De ma main gauche, je dirige mon majeur vers mon anus, j’aime bien l’introduire, cela augmente mon érection.
Alors que j’ai mon doigt enfoncé dans mon anneau, et que je me masturbe avec l’autre main, le ciel est déchiré par les éclairs, l’orage est là.
Le tonnerre gronde,, les éclairs zèbrent le ciel. J’arrête momentanément mes plaisirs solitaires et me place sous les draps.
La porte de ma chambre s’ouvre, et dans la pénombre j’aperçois une silhouette se diriger ver le lit. C’est Patricia qui vient se réfugier dans ma chambre.
« Est-ce que je peux passer la nuit avec toi, j’ai peur toute seule ! »
Sans attendre ma réponse, elle pénètre sous les draps et vient se coller contre moi.
J’en profite pour la serrer dans mes bras et la rassurer.
« Bien sur que tu peux, n’ai pas peur je suis là ! «
Je lui caresse le dos, ses épaules et passe ma main dans ses cheveux, elle sanglote.
Sans le vouloir, mon autre main et au contact de sa poitrine. Je suis aux anges !
Elle est lovée dans mes bras contre mon corps.
Le tonnerre gronde !
Je sens sa main contre mon sexe, elle a prise ma bite et la tient. Je tourne mon visage vers le sien, et lui caresse ses lèvres avec ma langue. Elle cesse de sangloter. Sa langue sort et vient au contact de la mienne. Elle est douce, chaude et baveuse. Mon érection augmente. Maintenant sa main caresse mon pénis.
Sa langue s’enfonce dans ma bouche et tourbillonne comme l’orage.
J’empoigne sa poitrine et lui pelote ses seins !
Elle ronronne comme une chatte, son ventre ondule et se frotte contre moi.
Je ne suis plus avec mon amie mais avec une bonne salope comme on en rêve tous !
Je lui enlève sa chemise de nuit, et lui lèche les seins.
Elle descend mon caleçon, et reprend ma bite .
Elle me branle doucement. Puis, elle prend mon sexe en bouche ; Quelle sensation merveilleuse d’avoir ...
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