Un coup de téléphone après contact sur Internet
- « Tu m’as donné ton numéro, je suis tenté par une rencontre, je n’ai jamais rencontré de travesti, ni d’homme, mais j’ai très envie d’essayer. »
- « Avec plaisir, je serais ravie de t’initier au plaisir masculin. »
- « Je suis disponible demain samedi et toi ? »
- « Moi aussi, on peux se voir chez moi si tu veux. »
- « Je veux bien, tu habite ou ? »
Je lui explique et nous raccrochons.
Le lendemain, comme l’autre jour je me prépare soigneusement. Mon correspondant arrive comme prévu. Il est assez jeune environ 25 ans comme moi, plutôt beau gosse. Il me regarde et j’ai l’impression que je lui plais.
- « Tu es très belle Natacha, si je t’avais vu dans la rue je n’aurais jamais pensé que tu étais un travesti. »
- « Merci, tu es gentil, j’aime plaire. Tu ne m’as pas dit ton prénom. »
- « Oui, c’est vrai, je m’appelle Jean. »
- « Veux-tu boire quelque chose, café, jus de fruit ou autre ? »
- « Je veux bien un café, merci »
- « Assis-toi dans le canapé, j’arrive. »
Il a l’air tout timide, il est touchant. Je me dirige vers la cuisine. Inconsciemment j’ondule des hanches, dès que je suis en femme je prends une démarche différente, sans le vouloir vraiment. Je prépare le café et je rejoins Jean sur le canapé.
- « Voila le café, comment vois-tu les choses ? »
- « Je ne sais pas, tu dois avoir plus l’habitude que moi. »
- « Pas beaucoup tu sais, je n’ai pas commencé depuis longtemps. Mais ça va bien se passer tu vas voir. »
En disant cela je pose ma main sur sa cuisse, il se laisse faire, puis il fait de même sur la mienne.
Je le caresse doucement et lui aussi. Il est très doux et me touche à peine, c’est encore plus troublant. Je commence à être excité. En regardant son pantalon je vois une bosse qui se forme, il va bientôt être prêt lui aussi. Je me penche vers lui et nous nous embrassons. Nos langues se mélangent longuement.
- « Viens, on va aller dans la chambre. »
- « Oui, je te suis »
Sa voix est toute enrouée. Il est vraiment ému.
Dans la chambre je commence à le déshabiller doucement, je commence par la chemise, je lui embrasse les tétons, je les suce longuement, il soupire d’aise. Puis il retire ses chaussures. Je lui enlève son pantalon en caressant ses jambes au passage. Son slip est plein et va bientôt éclater. Je l’enlève bien vite. Son sexe est dressé devant moi, il est magnifique, tendu et tout lisse. Je le mets dans ma bouche, je commence à le sucer un peu et je sens son sperme qui se repend dans ma bouche.
- « Je suis désolé, je ne croyais pas aller si vite. Excuse-moi »
- « Ce n’est pas grave, j’aime beaucoup boire le sperme, et c’est normal, tu es trop excité. »
- « Je pense que ça va revenir dans un moment si tu veux bien attendre. En attendant j’aimerais bien te sucer aussi, je n’ai jamais fais cela et ça me tente. »
- « Avec plaisir, tu peux y aller. »
Il soulève doucement ma jupe, mon string est tendu a mort, il l’écarte et commence doucement à suçoter mon gland, il doit trouver cela bon car il enfourne vite fait ma queue. Il me suce du bas en haut avec ardeur. C’est très agréable.
- « As-tu envie que je te sodomise ? »
Jean arrête de me sucer pour répondre.
- « Tu crois que ça va aller, on ne m’a jamais fait cela. »
- « Ne t’inquiète pas, je vais te préparer pour que tu profite au maximum. »
- « D’accord, je te fais confiance. »
Je l’allonge sur le ventre et je prends du lubrifiant, je commence par entrer un doigt dans le petit trou de Jean. Je le masturbe doucement, il réagit bien, il soupire d’aise.
- « C’est bon ce que tu me fais. »
- « Ce n’est qu’un début, tu vas voir après »
Je continu et j’entre un deuxième doigt. Son anus se dilate bien, il est très réceptif. Je mets un troisième doigt et je continu à dilater sa rondelle.
- « Oui, vas-y, encore, c’est bon »
Hé bien, il aime le bougre.
- « Je vais te prendre maintenant, tu es prêt ? »
- « Oui, vas-y met la moi. »
Je mets mon gland à l’entrée de son cul et je le promène doucement. Il se tortille pour que je le prenne plus vite. Je ne le fais plus attendre et je l’enfile hardiment.
- « Haaaaaa, oui c’est bon. »
Je pompe de plus en plus vite, il râle et crie de plus en plus. Il aime vraiment autant que moi, peut-être même plus. Mes coups de butoir s’accentuent et j’arrive au point de non retour, j’éjacule violemment dans son cul.
Je me relève, il reste un moment sans bouger. Il se redresse et me regarde.
- « Tu avais raison, c’est divin, je comprends pourquoi tu aime cela, je ne vais plus pouvoir m’en passer. »
- « C’est sûr, tu as l’air d’aimer beaucoup ce sport. »
Nous sommes couchés tout les deux et je le caresse distraitement. Il aime, cela se voit.
- « Tu ne t’es jamais travesti ? »
- « Non, je ne crois pas que je serais féminine. »
- « Je suis sure que tu serais très belle, si tu veux je te prête des vêtements. »
- « Pourquoi pas, mais je ne crois pas être très crédible en femme. »
- « Laisse-moi faire et tu verras. »
Nous nous levons et je vais chercher dans l’armoire des sous-vêtements coquins. Il enfile une paire de bas résille puis met un porte-jarretelles, un string et un soutien-gorge. Le soutien-gorge est un peu vide mais je lui mets des petits coussinets et cela va mieux. Ensuite je lui donne une minijupe noire en latex et un corsage très décolleté rouge.
Le résultat est plutôt probant. Il ne manque plus que le maquillage.
- « Viens avec moi dans la salle de bain, je vais te maquiller et après tu auras le plaisir de te voir. »
Il s’assoit et je le maquille soigneusement, les cils, les paupières, un peu de fond de teint et rouge a lèvres, un petit brushing pour le fun et voila.
- « Tu est très belle, regarde-toi. »
Jean se lève et se retourne vers un grand miroir.
- « Je n’en reviens pas, tu es une magicienne, je reconnais que tu avais raison, je suis plutôt bien. »
- « Mieux que cela tu est superbe. Il ne te manque qu’un peu de poitrine. »
- « Oui, mais on ne peut rien y faire. »
- « Si, il existe des trucs : j’ai une pompe qui les fait grossir, les miens étaient comme les tiens il y a peu. Et il y a aussi des produits externes qui les gonflent un peu en provisoire ou des hormones mais c’est plus risqué. »
- « Tu m’en apprends des trucs. Je peux voir ta pompe ? »
- « Si tu veux on peux l’essayer aussi. »
- « OK, je marche. »
Dans la chambre je sors l’appa ...

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