« Alex on dirait une fille ! » combien de fois ai-je entendu cette réflexion quand j’étais enfant… A l’école primaire puis au collège. Je me battais avec l’énergie du désespoir pour qu’on me reconnaisse en temps que garçon. Heureusement j’étais adroit aux jeux de ballon et mes camarades se disputaient pour m’avoir dans leur équipe. Là je me sentais parfaitement reconnu.
Malgré tout j’ai pris conscience assez tôt de ma féminité.
Mes parents étaient très amis avec deux autres familles et nous nous retrouvions chaque année au mois de juillet à Biscarosse dans les Landes. Enfin c’était surtout des amis de mon père. Les trois hommes avaient combattu ensemble pendant la 2e guerre mondiale et avaient connu les mêmes souffrances dans les camps de prisonniers en Allemagne. Ils étaient liés par une amitié fraternelle sans limite. Ils s’étaient mariés après la guerre et par chance leurs épouses respectives s’entendaient très bien.
Ils louaient en commun une grande maison landaise à quelques minutes de la plage.
Ces retrouvailles nous les enfants les attendions avec impatience. Moi j’étais fils unique, alors retrouver les jumeaux Anne et Yann et le petit Jean-Yves pendant un mois c’était un grand moment.
Anne et Yann avaient seize ans, Jean-Yves en avait neuf et moi quinze. Anne commandait, décidait des jeux et organisait nos journées. Cela faisait déjà cinq ans que nous passions nos vacances ensemble. Nous n’avions aucune pudeur les uns vis à vis des autres. Nous nous lavions nus au jet d’eau dans le jardin en revenant de la plage. Les adultes nous laissaient totalement libres. La seule interdiction c’était d’aller se baigner seuls « l’océan est trop dangereux » répétaient ils.
L’après-midi, après le repas, la sieste était de rigueur. Nous avions aménagé une petite cabane à deux pièces derrière un tas de bois à l’abri du soleil. Et c’est là que tout à commencé…
« Alex tu seras la femme de Yann et Jean-Yves tu seras mon fils ...». Ainsi en avait décidé Anne…
En bonne « épouse » j’ai nettoyé « notre » pièce des quelques aiguilles de pin qui s’y étaient infiltré. Je me suis allongé et Yann m’a fait mettre sur le côté, je lui tournais le dos. Il s’est allongé tout contre moi et a passé son bras gauche autour de ma taille. Au contact de son corps il s’est passé quelque chose d’étrange… Très vite il s’est mis à me caresser la poitrine, j’avais déjà des tétons assez développés et je me suis mis à gémir doucement. Il m’embrassait dans le cou. Il s’est collé contre mes fesses et j’ai senti son sexe dur sous le tissu de son slip de bain. Il l’a baissé avant de baisser le mien et il a guidé sa verge bien dure entre mes fesses. Inconsciemment j’ai reculé mes fesses vers lui comme si je les lui offrais. Il l’a frottée entre mes fesses et j’ai senti son sperme jaillir et s’écouler sur moi. Il a poussé un petit grognement, m’a serré plus fort contre lui et nous nous sommes endormis.
Au réveil bien sûr j’avais les fesses pleines de foutre et mon maillot était taché. Yann a appelé sa sœur pour qu’elle aille me chercher un autre slip de bain en cachette. Anne n’a posé aucune question et a rempli à bien sa mission. J’ai pu changer de maillot sans que les adultes s’en aperçoivent.
Yann n’a pas fait preuve d’autant d’empressement tous les jours mais nous avons joué à « papa-maman » plusieurs fois par semaine. Par précaution on quittait nos slips de bain. Peu à peu nos jeux ont évolué. Il me faisait mettre sur le dos jambes écartées venait sur moi et frottait son sexe contre le mien sans jamais me pénétrer. Quand il avait joui il m’embrassait sur la bouche. Nous étions maladroits mais la langue a vite fait partie de nos baisers.
Un soir Anne décida d’organiser un concours de déguisements. Elle habilla chacun d’entre nous à sa guise. Son frère fut affublé d’une toge à la romaine faite avec un drap, Jean-Yves mit des collants et fut coiffé d’un chapeau style Robin des bois en papier et armé d’un arc sans flèche. Anne lui dessina des moustaches pour parfaire la tenue.
Pour moi elle prit une de ses robes à volants avec des dentelles. Je protestais mais elle ne me laissa pas le choix. La robe m’allait parfaitement… Elle emprunta du rouge à lèvres à sa mère et malgré mes protestations marqua légèrement mes lèvres de rouge. Elle me coiffa aussi… si bien que lorsque je me suis regardé dans un miroir j’ai vu une fille…
Quand nous avons défilé devant les parents, Jean-Yves est passé en premier. Il était très fier dans son costume de mini Robin. Les parents l’ont beaucoup applaudi. Yann a pris une pose impériale dès son entrée en scène, il a été très applaudi aussi.
Anne - la sournoise - ne participait pas au défilé « je l’organise, je ne peux pas tout faire ! ». Elle me prit par la main et m’emmena devant les parents… Pas d’éclats de rire dont ils étaient coutumiers. Tous étaient bouche bée… La mère de Jean-Yves s’exclama « alors ça ! Incroyable ». Ma mère prononça alors les paroles qui allaient me marquer à vie « Eh bien nous qui voulions une fille ! » et tout le monde éclata de rire, sauf moi. On félicita Anne pour son défilé pendant qu’on allait se changer.
J’avais besoin d’aide pour déboutonner la robe et je sollicitais Yann. Il n’a trouvé qu’une chose à dire « tu es belle... » en me caressant les cheveux. Je menaçai de déchirer la robe si on ne m’aidait pas. Finalement Anne a pris ma menace au sérieux et l’a déboutonnée.
Cette nuit-là j’ai très mal dormi. Une seule phrase tournait dans ma tête « Eh bien nous qui voulions une fille... ».
Le lendemain après-midi avant la sieste Anne me dit « je t’avertis mon frère est amoureux de toi.. »
J’allais m’allonger dans la cabane et avant l’arrivée de Yann je décidai de me mettre nu. Quand il est arrivé il a d’abord été surpris puis il a quitté son slip et il est venu se coller contre moi, sa verge déjà bien dure. Il m’a pris dans ses bras et m’a dit « je t’aime Alex » et on s’est endormi.
Quelque chose m’attirait vers Yann. Ses dernières paroles « je t’aime Alex ! », la sensation de son sexe dur contre mes fesses, son corps contre le mien, ses baisers aussi même s’ils n’avaient pas été nombreux… Yann dépassait sa sœur d’une tête, il avait les cheveux bouclés…et je le trouvais très beau…
Les parents de Jean-Yves avaient dû écourter leur séjour en raison du décès subit de sa grand-mère paternelle. Nous aimions bien Jean-Yves malgré notre différence d’âge. Il était toujours souriant, gentil et partant pour toutes les activités proposées par Anne, sauf les longues promenades. Il n’aimait pas trop marcher...
Après son départ, nous faisions de longues balades à pied sur la plage tous les trois. Un jour Yann nous dit « Si on retournait au vieux blockhaus où on allait jou ...
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