François en m’habillant en fille et me parlant au féminin a provoqué un conflit dans mon cerveau. Après cet après-midi ou il m'a dépucelée et fécondée, j'ai compris pourquoi j'avais le ventre en feu et l'envie d'être pénétrée.
Notre relation a duré 3 années pendant les mois de l'été. J'ai mis à profit ces mois où je ne le voyais pas pour découvrir le travestissement et comment escamoter le paquet que j’avais entre les jambes et qui me gênait.
Plus je regardais les catalogues de la redoute, plus j'avais envie de ressembler à ces mannequins féminins.
En l’absence de ma mère et de ma sœur, j'empruntais leurs sous-vêtements déjà portés, les robes et jupes de ma mère et je passais des heures, vêtue en fille. Je bandais dur quand j’étais ainsi et cela me gênait. J'ai pris l’habitude de remonter mes testicules et de plier ma bite raide entre mes cuisses. Ce fut douloureux pendant quelques temps. Je m'asseyais à califourchon sur le bord de la baignoire pour bien l’écraser entre mes jambes et avec une gaine culotte de ma mère, la maintenir bien en arrière.
Le feu dans mon ventre était alors intense. Je me frottais sur le rebord en me caressant les tétons. A chaque mouvement je sentais mon gland frotter sur mon petit trou et j'avais envie d'être pénétrée. J'ai joui souvent comme ça. Il me fallait nettoyer les culottes et les sécher au sèche-cheveux.
J'ai commencé à m’enfoncer divers objets de plus en plus gros dans l'anus. Plus je le dilatais plus j'étais au ciel. Je constatais alors que je ne bandais pas dans ces moments-là et ça me rendais heureuse.
C'est à cette période que j'ai eu ma rencontre avec un autre homme et je vais vous la raconter.
Un samedi après-midi j’avais pris des sous-vêtements et une jupe de ma mère pour aller m'habiller dans une vielle maison abandonnée en lisière de bois ou j'avais trouvé le moyen d'y entrer.
Une fois à l'intérieur je m'habillais bien vite. J'étais toujours en état intense d'excitation. Il y avait un lit avec des boules de 6cm aux 4 coins. Mon plaisir était de m'assoir dessus et de me pénétrer avec. Je mouillais bien ma chatte avant et c'était un plaisir de sentir cette boule forcer mon anneau.
C'est dans cette position que je fus surprise par un homme qui était entré sans bruit. Mon cœur a bondit, j’ai eu la peur de ma vie. J'étais empalée sur le pied de lit, en soutif la culotte aux chevilles et devant moi, un type d'une cinquantaine d'années, en tenue de chasse, qui me toisait.
Je n'osais plus bouger. Ma queue pendait lamentablement. Je tremblais et transpirais de peur. Le type sans un mot s'est approché de moi, m'a soulevé le menton. Un chien que je n’avais pas encore remarqué est venu me renifler la bite. Il l’a repoussé et a dit : « je me doutais bien qu'il y avait quelqu'un qui venait ici. Je ne m’attendais pas à ça. Une tafiole en plus ». Sa main toujours sous mon menton son pouce me caressait les lèvres. Il passa l’autre main sur mes cheveux. J'étais toujours assise la boule de lit dans mes profondeurs et cela commençait à me gêner. Je décidais de me relever et de m’assoi ...

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