Il y avait des chaînes et des poulies suspendues au plafond et des anneaux en acier ancrés aux murs et au sol tout autour. Je suis entrée dans la pièce derrière M. John, quand il s'est arrêté et m'a indiqué de me tenir au milieu du grand espace vide.
Les doubles portes ont glissé et ont été verrouillées. La pièce était éclairée par des lucarnes et quelques fenêtres autour des murs et quelques grandes lumières centrales.
"Dans le coin là-bas se trouve votre cellule." Il a pointé du doigt une grande cellule de style cow-boy, en acier, avec porte et serrure. À l'intérieur se trouvait un lit de camp pliant de l'armée avec une couverture et un oreiller rugueux.
"Maintenant, vas-y et enferme-toi à l'intérieur, puis accroche la clé au mur sous la fenêtre... fais ton lit, puis mets-toi au garde-à-vous, dos au mur, et que Fay est ta maison."
"Chaque fois que je te dis MAISON, c'est là que tu vas et c'est ce que tu fais. Est-ce parfaitement clair ?"
J'ai confirmé et je suis allée dans ma cellule et j'ai suivi ses instructions à la lettre.
"Viens ici Fay."
Je fis le processus inverse et retournai aux côtés de Mister John, je trouvai même cela assez excitant car mon érection avait commencé et je le regardai dans les yeux et risquai un sourire.

"Va chercher ma canne sur le mur."

La canne était une canne en bambou de 1,5 m de long avec une poignée en cuir et une dragonne qui s'appuyait contre le montant de la porte. Je m'approchai pour la ramasser et l'inspecter pendant que je la rapportais à Mister John.

"Fay, je dois être clair avec toi. Je t'expliquerai une fois et une seule. Tu m'appartiens. Tu m'obéiras instantanément. Tu réagiras instantanément et avec urgence à tout ordre. Tu me montreras tout le respect et l'humilité possibles. Tu comprends ?"
"Oui, je comprends Mister John."
"Sinon, tu seras puni selon ma justice. Tu comprends ça ?"
"Oui, Mister John, je comprends ça." Mon esprit tremblait à l'idée de la mesure dans laquelle mes mots pourraient être interprétés. Mon corps tremblait à la perspective d'une punition imminente.
« Maintenant, penche-toi devant moi, saisis tes chevilles et garde tes jambes droites, ta tête reste baissée, écarte tes jambes d'environ 50 cm, un peu plus. »
Le cordon pendait toujours de mes couilles alors que John commençait à marcher autour de moi en traînant sa canne derrière lui. Sa main glissa facilement sur mes joues jusqu'à mes couilles et travailla rapidement pour détacher le cordon. Sa main continua le long de mon dos, et il s'accroupit pour me caresser la tête et me caresser la tête.
« Un garçon si gentil et mignon et pourtant tu sais que tu dois être puni. On t'a dit de te déshabiller chez toi, et tu as hésité, il n'y a aucun sentiment d'urgence dans ton obéissance, et tu manques de respect pour moi et ne montres aucune humilité. Ce sont tous des péchés capitaux pour quelqu'un dans ta situation. Tu ne dois pas me regarder directement dans les yeux et tu garderas la tête baissée à tout moment. »
« Cette canne avec laquelle je vais te fouetter est à moi et tu devras t'en occuper au péril de ta vie. Chaque fois que j'aurai besoin de te punir, tu l'auras prête et tu prendras instantanément cette position devant moi, prête à accepter ta punition. CANNE est ton mot de passe pour cela. Tu comprends ? »
J'ai confirmé ma compréhension.
« Bien, maintenant essayons à nouveau. »
« CHEZ MOI ...

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