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Belle rencontre dans train permissionnaire FIN

Publié par : pierre49590 le 28/07/2022

Je voulais remercier tous les lecteurs qui apprécient mes souvenirs et me le notifient gentiment. J’y suis très sensible. Merci ! Merci !
D’autres me traitent de menteur ou d’affabulateur. Quel intérêt ai-je à mentir ? Si je veux fantasmer il me suffit de classer mon histoire dans la catégorie « fantasmes » et je pense que j’aurai autant de succès.
Pourquoi faut-il que tout ce qui sort de la trouble zone sordide des sous-bois crados, des pissotières nauséabondes ou des cabines de routiers enfumées, ne soit pas accepté dans toute sa beauté, sa véracité et sa spontanéité ? Pourquoi tout ce qui est délicat, tendre et sensuel, tous ces beaux sentiments si purs qui peuvent se tisser entre deux hommes, ne doivent-ils pas être mis en exergue dans un souvenir personnel ? Pourquoi aimer à voir l’autre se vautrer que dans la boue, l’urine, la vulgarité crue et la promiscuité de bas étage ?
Je le dis et le redis ? Ma force, toute ma vie, est d’avoir osé. Osé tout le temps, de la classe de cinquième jusqu’à ce jour. Seuls ceux qui ont osé ont appris à découvrir tous les arrières-mondes de notre société, tous les non-dits, toutes ces pulsions enserrées par les codes castrants de notre collectivité. Pourquoi faut-il que ce qui est beau soit toujours dénigré ? Soyez honnête, mes détracteurs ! Combien parmi vous ont osé, jusqu’à l’extrémité de leurs désirs, vis à vis de l’autre, l’inconnu qu’on n’ose aborder au cours d’une rencontre?
Je ne mettrais qu’un bémol à mes souvenirs, ce sont les phrases prononcées. Vous imaginez bien qu’il m’est impossible de reproduire in extenso les dialogues exacts. Mais je me suis efforcé toujours d’être le plus fidèle à ma souvenance et je puis vous assurer, que si le mot à mot n’est pas garanti, l’esprit lui est sincèrement respecté...

J'en reviens donc à mon bel Ibrahim...

Il se retourne alors et me présente son magnifique corps en position levrette.
« Eh ! Tu vas mollo, hein ? Tu m’as juré. »
« Mais oui, mon amour, n’aie pas peur ? J’arrête quand tu me le dis. »
J’avoue que de le voir ainsi, offert à moi, dans toute son intimité qui, je le sais, est pour lui la plus précieuse richesse, un immense gage de confiance, d’affection et pourquoi pas d’amour, ose-je espérer, me bouleverse au point de me déconcentrer quelque peu.
Mais ses courbes, toute cette fine musculature sous la belle couleur de sa peau luisante, ses superbes fesses offertes, et la cambrure qu’il prend intentionnellement, ravivent toute mes ardeurs en un clin d’œil. Me voilà vite ragaillardi.
Je commence par lui masser tout doucement le dos, en en profitant pour venir mourir sur ses pectoraux d’athlète grec. Je lui titille les tétons, conscient qu’il aime ça. Ma bite se colle à ses fesses pour l’habituer. Je le devine néanmoins bien tendu. J’attaque alors un léchage en expert de son cul que je découvre enfin de très près. Ma langue essaie d’aller chercher le plus loin possible. Il accepte apparemment. Je passe au doigtage en usant abondamment du savon. J’essaie d’aller profond pour le tester. Un doigt, puis deux. Le troisième passe un peu plus difficilement mais ça y est. Je mets toute la douceur, la tendresse et la délicatesse qu’il m’est possible de lui offrir dans l’état survolté où je me trouve.
Enfin, je présente mon gland abondamment couvert lui aussi de savon. Je le sens se crisper.
« Détends-toi, je te jure que je m’arrête quand tu me le dis. »
J’entame une lente progression, millimètre par millimètre. Véritable torture pour moi qui brûle d’envie de lui enfoncer mon pieu d’un seul coup. Je ressors, j'entre à nouveau un peu plus profond tout en lui massant les fesses, puisque je sais qu’il apprécie. Je continue mes tentatives jusqu’à y être à moitié. C’est un supplice mais je veux vraiment le contenter.
« Le plus gros est passé, mon amour. Ça va ? »
« Oui, ça va. Ça me fait tout drôle de te sentir comme ça. »
« Tu n’as pas mal ? »
« Pas trop, ça va, continue. Je veux que ça te fasse vraiment plaisir. »
Ouf ! Quelle magnifique preuve d’amour ou, à défaut, au moins de grande affection.
Je poursuis toujours très progressivement. Là, maintenant, je le sens totalement détendu. J’ai peur d’aller à fond. Je me sens si serré par ses sphincters.
« T’es sûr ? T’as pas mal ? »
« Non, je t’assure, vas-y à fond. C’est une impression bizarre et pas désagréable. »
Finalement, j’arrive à fond. Il ne se plaint pas. Ouf !
J’ai ni plus ni moins le gland en feu. En feu car complètement pris fermement par ses chairs, en feu car j’ai conscience d’être au plus profond de son intimité et cela décuple mon excitation. Je n’oublie pas mes caresses, mes baisers, mes lèches... J’entame doucement mon va et vient. Je suis réellement tétanisé par la peur de lui faire mal et de tout gâcher.
« Ça va ? »
« Mais oui, j’te dis. Maintenant c’est doux cette sensation de te sentir si au fond de moi. »
« Écoute, je vais te laisser mener le rythme car j’ai trop peur de m’exciter et de m’affoler. C’est un supplice de tantale de t’avoir comme ça au bout de ma queue et d’être obligé d’aller doucement... »
Je bloque alors mon bassin, posant simplement mes mains sur ses fesses en les câlinant, et le laisse mener la cadence. Très lente au départ, elle finit par changer de rythme. Je l’entends souffler et murmurer des « hummmm ! ». Maintenant, il accélère très nettement et tortille son corps comme un serpent en continuant à s’empaler sur moi. Je deviens fou de voir ce corps sublime onduler au bout de ma bite.
Visiblement, maintenant, je vois qu’il aime ça. Il s’active petit à petit et en prononçant des mots arabes inintelligibles. Je suis en Eden ! Je n’en puis plus et j’éjacule finalement sous ses coups de boutoir en gueulant : « Oh Ibrahim ! Ibrahim !!!!!! » Et lui semble gémir de plaisir également. Je le sens alors serrer très fort ses sphincters en me déclarant : « je veux te garder un maximum en moi. » Nous restons ainsi, mon sexe captif, mon torse affalé sur son dos, mes mains caressant son pubis et son sexe et, lui, courbant son dos pour sentir mieux, je pense, ma peau contre lui. J’ai la tête qui tourne. Ce fut long mais si violent à la fin. Quel flash immortalisant à jamais ces images et ces ressentis !
Puis, mon sexe complètement flasque se dégage naturellement de lui et nous nous retrouvons allongés dans la baignoire, qui n’a presque plus d’eau.
On s’y étend l’un contre l’autre, à se « respirer mutuellement » simplement, tendrement l’un et l’autre. Je ne sais combien de minutes nous sommes restés ainsi, collés, presque soudés, mais dans mes souvenirs d’aujourd’hui, cela me semble une éternité.
« « On va dans le pieu ? »
« T’es fou ? »
« Mais pourquoi ? »
« Mais parce que ça va se voir. La salle de bain c’est facile à nettoyer pour moi, mais les draps et les oreillers, comment faire ? Je me ferai pincer tout de suite ! »
« Je le serre très fort contre moi pour mieux en ressentir toute sa chaleur et toute cette vie qui bat en lui et lui murmure sincèrement dans l’oreille :
« Ibrahim, je crois que je t’aime. »
« Dis pas de conneries ! On peut pas s’aimer entre mecs. On est de super amis, c’est tout.
« Je ne sais pas si c’est comme tu me le dis, Ibrahim, mais je te jure sur ce que j’ai de plus cher, que c’est vraiment ce que je ressens pour toi en ces instants, surtout après ce que tu m’as donné. »
« Mais toi aussi t’as accepté de te faire niquer pour moi ! »
« Moi, ce n’est pas pareil. Je savais intuitivement que j’essaierai un jour. Mais toi... Je mesure pleinement les obstacles que tu as surmontés pour me satisfaire ; au plan culturel, religieux, familial... »
Il semble réfléchir un instant...
« Tu crois que je suis une lopette si j’ai aimé ce que tu m’as fait ? »
Je m’esclaffe spontanément.
« Oh Ibrahim! je t’adore !!! Non, une lopette sûrement pas. J’en suis sûr. Tu es simplement un mec qu ...

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