À l'époque, je demeurais près de Nîmes, où je fis la connaissance d'un trav prénommées Julia, bref, il me proposa de nous rendre à Marseille, car il y connaissait un bar un peu spécial.
Je n'étais pas hormonée comme maintenant, mais je me faisais des injections de chlorure de sodium ! ce qui me donnait une poitrine correcte qui tenait à peu près six heures.
Me préparant pour cette sortie du samedi soir, de la façon suivante (escarpins, bas noir, minijupe, petit haut d'écolleter profond).
Départ prévu pour dix-neuf heures, ponctuel, nous prenons la route, pour nous retrouver deux heures plus tard dans une petite ruelle où se trouvait le bar en question.
C'est assez sombre, il n'est pas très grand, un comptoir sur la gauche, des tables et banquettes sur la droite.
En face, une grande tenture rouge masque une pièce plus vaste où se trouvent des coins dits câlins, une croix de saint André, un siège percé en cuir suspendu par des chaines.
Le patron nous ayant salué, Julia règle le droit d'entrée ! et nous, nous installons au bar, la première consommation étant gratuite, nous sirotons tranquillement notre breuvage.
Plusieurs clients s'approchent, certains se collent un peu, il faut dire que l'on fait plus pute que "bourgeoise".
Assise sur un tabouret de bar, jambes croisées laissant apparaitre le haut de mes bas, le plus proche de moi pose négligemment une main sur mon genou.
Me laissant faire, il s'enhardit à monter plus haut en accentuant ses caresses, puis me chuchote à l'oreille, je te fais visiter ? j'acquiesce.
Il me prend par la main et m'entraine derrière la tenture, sans autres façons, il me colle la main aux fesses, et aussi me prenant par la taille, il me roule une pelle tout en dégageant mes seins.
Me poussant à reculons vers un coin "câlin" ou trône un matelas.
Il m'y allonge, glisse ses mains sous ma jup ...

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