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celui qui draguait les agriculteurs

Publié par : aurige le 11/03/2021

Celui qui draguait les agriculteurs



Il faisait très chaud ce dimanche après-midi de juin. Pour travailler dans le jardin côté chemin agricole, je mettais mis en slip de bain.

Je bêchais le potager en tournant le dos à l’entrée de mon jardin, lorsque j’entends une voiture s’arrêter. Je me retourne et reconnais cette voiture rouge que j’avais déjà vue un soir alors qu’il faisait nuit.

J’avais terminé ma semaine de travail, comme moniteur d’auto-école. Je me préparais à passer un weekend tranquille, lorsque le téléphone sonne. Une voix masculine me demande si il pouvait passer me voir pour avoir des renseignements sur le permis de conduire pour son frère. Je lui réponds que je ne pouvais pas vue l’heure à laquelle il me le demandait. Il insiste, je refuse et je raccroche.

J’étais couché dans ma chambre sous les toits de ma fermette isolée dans la campagne à lire un bon roman, lorsque j’entends mon chien aboyer. Je me lève, pour regarder par le velux. Je vois une voiture rouge se stationner à l’entrée du chemin. Je n’étais pas très rassuré. Il sort de sa voiture pour pisser, puis repart.

Pendant plusieurs soirs, quelqu’un me téléphonait en restant muet. Je me doutais que c’était le même mec, sans pouvoir l’identifier. J’entends le bruit d’une voiture. Je me lève pour regarder par la fenêtre. Le mec est de retour. Il arrête le moteur, descend de sa voiture. Malgré la lune, je ne distinguer son visage. S’assoit sur le capot de sa voiture, commence à baisser son short à mi-cuisses pour se branler. Je distingue sa bite pas très grande et surtout des poils noirs. Après avoir juté sur l’herbe, il se rhabille et repart.

Je dois dire que son spectacle ne m’a pas laissé indifférent, qu’il m’a même fait bander. Je me recouche et m’endort.

Il m’a appelé un soir. Je lui ai demandé si c’était lui qui s’était branlé devant chez moi. Il a raccroché.


Appuyé sur ma bêche, je vois arriver vers moi un gars très jeune, un peu enrobé, une chemise trop serrée, comme son jean, les cheveux noirs, un visage très commun. Il me tend la main en me dévisageant de haut en bas, surtout le bas et dit :

- « Bonjour, c’est moi qui vous ai téléphoné l’autre jour pour des renseignements »

Je ne suis pas très content d’être dérangé un jour de congé, mais comme je suis de bonne humeur et que j’ai chaud, j’en profite pour faire une pause et lui proposer de boire un coup.

Nous sommes assis l’un en face de l’autre sur des tabourets faits de rondins de bois. Il me demande des banalités sur le permis de conduire, puis rapidement me raconte qu’en fait il cherche les hommes seuls qui habitent dans les fermes aux alentours. Il me raconte ses rencontres plus ou moins fructueuses comme :

- ce vieux qui l’a expulsé un fusil lorsqu’il lui a proposé de le sucer, celui plus jeune qui ne buvait pas d’eau et sentait l’alcool, qui devait être en manque et a accepté de se faire sucer, qui n’arrivait pas à bander fort, mais qui a quand même craché son jus. Un autre attendait vraiment que ça, il bandait dur et jutait fort. Je l’ai revu plusieurs fois. Un jour, il m’a ficelé en travers de sa table, bien écarté les jambes et sans ménagement m’a enculé. J’ai hurlé comme jamais. Il m’a dit :

- « Tu peux hurler comme un goret, ici personne ne t’entendra. »

Il m’a enfoncé sa grosse bite à fond, m’a défoncé comme une brute jusqu’à ce qui m’inonde de son sperme. Je pensais qu’il devait le faire avec ses vaches. Je suis resté tranquille plusieurs jours tellement j’avais mal au cul. Pourtant j’y suis retourné. Il m’a dit qu’il n’avait pas le temps mais que je revienne dans deux jours.

J’arrive dans la cour de la ferme. Je remarque une voiture stationnée. Je frappe à la porte. Il vient m’ouvrir. Je remarque un autre homme.

- « je te présente un ami. Je lui ai dit que tu venais. Il veut aussi en profiter. »
-
J’étais tressé car le gars était bâti comme un rugbyman et avec ce que j’avais dégusté la dernière fois. Les mecs me saisissent et me foutent enti ...

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Mots-clés : En partie vraie, Gay