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chauffeur routier

Publié par : aurige le 09/08/2020

Chauffeur routier


A 20 ans, j’ai fini ma formation de conducteur routier avec tous mes permis poids lourds. Je n’ai pas eu de mal à trouver du boulot. Au début, j’étais en double avec un chauffeur expérimenté sur un camion simple pour des tournées locales, puis des tournées nationales. Voyant que je me débrouillais bien, il m’a mis en double sur une semi-remorque pour connaître les itinéraires des clients à livrer.

J’ai appris à connaître mon tuteur, un bel homme de 35 ans, père de famille, agréable à regarder surtout lorsqu’il conduisait en short et marcel, laissant apparaître son torse bronzé poilu et musclé.

J’étais stressé et excité lorsqu’il m’a dit que la prochaine tournée se ferait sur deux jours, que nous devrions dormir dans la cabine. La journée terminée, nous nous sommes stationnés sur un centre routier réservé aux routiers avec restaurant, douches. Après que j’eusse garé le camion, nous avons pris la direction des douches. C’était des douches ouvertes où l’on pouvait voir ceux qui s’y douchaient. Il y avait des gros, des costauds, des quadras, et plus. Je voulais me montrer à la hauteur. Je me suis mis à poils. J’avais l’impression que tous les regards se posaient sur ma jeunesse. Mon collègue s’est mis dans une douche en face de moi. J’ai pu voir son anatomie avec son beau sexe calotté et ses boules pendantes, le tout entouré de poils, ce qui n’était pas pour me déplaire. Bien qu’essayant de me contrôler, je sentais mon sexe grossir ce que ne manqua pas de remarquer mon collègue.

Tout en allant manger au restaurant, il me dit que pour faire un peu plus d’argent, c’était mieux de manger dans la cabine. En rejoignant le camion pour dormir, il me dit que je ne m’en fasse pas, que c’est un monde d’homme qui certains aiment regarder les jeunes se doucher. Avant de monter dans la cabine nous sommes allés uriner. Nous étions proches si bien que nous pouvions voir nos sexes à la main. Je remarquais qu’il me matait.

Une fois dans la cabine, il a tiré les rideaux, déplié la couchette pour faire un lit à deux places. Il m’a dit que je serai mieux au fond plutôt que sur le bord. Je me suis allongé en short, pendant qu’il se foutait à poil à côté de moi disant qu’il dormait toujours ainsi. Le lit était tellement étroit que nos corps se touchaient. Une fois la veilleuse éteinte, je l’ai laissé faire lorsque j’ai senti sa main se poser sur mon ventre et glisser doucement dans l’élastique de mon caleçon. Comme je n’ai pas réagi, il a continué jusqu’à caresser ma queue encore molle, atteindre mes boules flasques.

Lorsqu’il s’est tourné vers moi, j’ai senti son sexe dur sur ma cuisse. Dans mon caleçon, mon sexe commençait à grossir. Il s’est un peu relevé pour ôter le morceau de tissus. Il s’est allongé sur moi. Nos sexes collés l’un à l’autre. Bien qu’ayant eu quelques aventures à l’internat, c’est la première fois qu’un adulte s’occupait de moi.

Il a commencé par m’embrasser dans le cou, puis sucé mes tétons. J’étais déjà aux anges par le plaisir qu’il me donnait. Il a continué lentement sa descente vers mon nombril, mon ventre pour arriver jusqu’à mon sexe qui s’était décalotté par la force de mon érection.

J’ai frissonné lorsque sa langue s’est posée sur mon gland puis raidi lorsque j’ai senti la chaleur et l’humidité de sa bouche. Il me suçait comme jamais je ne l’avais été. J’ai couiné lorsqu’il a écarté mes jambes pour me lécher les boules. La rugosité de sa barbe de trois jours sur mes cuisses m’électrisait. J’étais incapable de faire quoi que ce soit tellement j’étais dans le plaisir. Il est revenu sur mon sexe encore plus dur pour l’emboucher tandis que sa main malaxait mes boules, s’insinuant par moment entre mes fesses. Lorsque je lui ai dit que j’allais jouir, il a enfoncé ma bite jusqu’à sa gorge. J’ai lâché une grande quantité de sperme qu’il a avalé, puis a nettoyé avec sa langue les coulures. Mon corps détendu, je suis resté un instant immobile avant de m’excuser de ne pas lui avoir rendu la politesse. Il m’a répondu qu’il avait pris beaucoup de plaisir à me donner du plaisir, qu’il fallait qu’il aille se soulager dehors. On est descendu de la cabine à poils entre deux camions. J’ai pissé tout en le regardant masturber son énorme sexe et cracher plusieurs jets de sperme.

Nous sommes remontés sur notre couchette. Je me suis endormi immédiatement. Comme je n’ai pas l’habitude de dormir dans ces conditions, je fus réveillé par les bruits extérieurs. Je regardais mon collègue encore endormi avec une superbe érection. Je n’ai pu m’empêcher de saisir son membre et commencer à le sucer. Ila remué, j’ai continué lorsque j’ai senti sa main sur ma tête. Je l’avais réveillé. Je l’ai entendu faire « hummmm » quel beau réveil ! continue ! Je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il crache dans ma bouche son jus du matin.

Nous avons repris la route plus complice encore. Le soir nous étions chacun de retour chez nous, moi chez mes parents, lui avec sa femme. Je me demandais si elle le suçait et avalait.

J’avais encore une semaine à faire avec lui avant d’avoir mon propre véhicule et être autonome. Pour clore la dernière nuit ensemble, il avait réservé une chambre à l’hôtel du centre routier. C’est cette nuit-là avec plus de confort qu’il m’a défloré. Il m’a fait allonger sur le dos, relevé les jambes, écarté les lobes fessiers. Avec sa langue il m’a lubrifié l’anus, puis étalé du gel pour y faire pénétrer un puis deux doigts qu’il faisait tourner pour détendre l’entrée. Ce traitement me mettait déjà dans un état second. Après ce massage, j’ai senti son gland se présenter à l’entrée de ma rondelle puis y pénétrer doucement. La douleur était supportable jusqu’à ce qu’il me pénètre entièrement. Là, j’ai poussé un petit cri. Il est resté un moment immobile afin que je m’habitue, puis a repris ses mouvements de va et vient. Le plaisir avait laissé place à la douleur. Je sentais dans mes entrailles coulisser son membre, ses boules venaient taper lorsqu’il s’enfonçait au maximum. Il s’est redressé, son corps s’est raidi. J’ai senti un flot de sperme me remplir. Encore en moi, il s’est allongé sur moi pour m’embrasser. Je sentais la douceur de ses poils sur mon torse. La pression étant retombé, il s’est retiré le sexe gluant de son sperme qu’il a frotté sur le mien. Mon sexe enduit, il le saisit pour me masturber jusqu’à ce que jaillisse ma semence sur mon visage et mon torse.

Le vendredi soir, j’étais dans mon lit en repensant à cette formation « complète » et que dès lundi je serai seul au volant d’un camion et les rencontres possibles lors des repos sur les parkings.

……………..

Ça fait 5 ans que je suis dans cette entreprise et pour fêter cela mon patron m’a octroyé un véhicule dernier modèle avec tous les aménagements pour mes pauses, surtout si je devais rester bloqué tout un weekend, ce qui arrivait souvent puisque j’étais un chauffeur célibataire et que ça ne me dérangeait pas, bien au contraire.

J’étais fier au volant de ce bijou de technologie. Ce jour-là il pleuvait sur cette route rectiligne. La nuit commençait à tomber lorsqu’au loin, je vois une silhouette faisant du stop.

En me rapprochant, je distingue une silhouette en jupe, des cheveux qui dépassent d’un chapeau. Bien que je ne prenne jamais de filles, comme la nuit arrive et qu’il pleut, j’arrête mon camion un peu plus loin sur un emplacement. Dans mon rétroviseur, je vois la personne arriver en courant. En ouvrant la porte, je vois un jeune gars, roux comme un écureuil. Avec un accent il me demande si je vais à Calais. Je réponds que je dois passer la nuit sur un centre routier, que je serai à Calais qu’en fin de matinée. Il me répond que cela lui va très bien puisque le ferry ne part qu’en fin d’après-midi.

Il monte dans mon camion.

Comme il est trempé, je lui dis de se changer. Je ne voulais pas qu’il mouille le siège tout neuf. Il me dit que ses vêtements sont mouillés, alors je lui passe un short et un tee-shirt.
Il passe vers la couchette et commence à enlever son chapeau, son tee-shirt qu’il accroche à la paterne, puis se penche vers son sac à dos. Je vois qu’il est un vrai écossais puisqu’il n’a rien sous son kilt. Il prend une serviette et enlève son kilt. J’ai à côté de moi un superbe mec à poil avec un magnifique cul poilu. En discutant, il me raconte qu’ ...

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Mots-clés : Pur fantasme, Gay