Il était pile 18 h quand je l'ai rejoint sur ce chemin de halage envahi de ronces, au crépuscule orangé qui peignait les berges de la Marne en teintes de feu. Pas de chambre d'hôtel cosy ce soir, juste ce spot discret, chargé de mystère, où les péniches rouillées murmuraient des secrets au fil de l'eau. Romain m'a fait un signe de la main depuis son pick-up cabossé, son sourire carnassier illuminant son visage buriné de 42 ans, et j'ai suivi son bolide poussiéreux jusqu'à l'embarcadère délabré où il bricole ses vieux bateaux de pêche, un hangar en tôle ondulée qui pue l'huile de moteur et le bois pourri.
À peine la porte grinçante refermée derrière nous, l'air s'est alourdi d'une tension électrique, comme avant l'orage. On s'est approchés sans un mot, nos souffles se mêlant déjà. Son odeur musquée – sueur salée, tabac froid et un fond de sel fluvial – m'a envahi, ses yeux verts me dévorant comme un prédateur affamé. Son corps massif, 1 m 85 de muscles forgés par des années de labeur manuel, s'est collé au mien, et j'ai senti sa queue raide, épaisse comme un manche de pioche, pulser contre mon bas-ventre à travers nos jeans tendus.
Mon cœur a cogné comme un marteau, la bite déjà dure qui tendait mon boxer, pré-cum suintant contre le tissu. Nos mains ont pris le relais, avides. J'ai glissé les miennes sous sa chemise kaki délavée, caressant son torse poilu, chaud et moite, les poils drus qui s'enroulaient autour de mes doigts comme des invitations au vice.
Il m'a plaqué contre un établi couvert de graisse, m'embrassant partout – cou, oreilles, gorge – sa barbe naissante râpant ma peau jusqu'à l'os. J'ai gémi, cambré, quand il a défait ma ceinture d'un geste sec, mais c'est lui qui m'a poussé vers l'échelle rouillée qui grimpait au faux-plafond, un grenier encombré de toiles d'araignée et de pièces détachées rouillées. J'ai monté, l'excitation me nouant les tripes comme un ado en rut pour sa première fois. Là-haut, sous les poutres noircies, l'atmosphère était un cocon clandestin, l'air chargé d'humidité fluviale et de notre désir brut. Romain m'a rejoint en deux enjambées, m'a écrasé contre lui, son torse bombé contre mon dos, et m'a roulé une pelle vorace, langue épaisse qui fouillait ma bouche, suçant ma salive avec une faim de loup. Ses mains calleuses ont plongé sous ma chemise, pincé mes tétons durcis jusqu'à ce que je m'arc-boute, puis ont glissé à ma taille, baissant mon pantalon et mon boxer d'un seul mouvement fluide. Mon cul nu s'est offert à l'air frais, anneau plissé qui palpitait déjà d'anticipation. Sans un mot, il s'est agenouillé derrière moi, écartant mes fesses poilues de ses pouces, et sa bouche a fondu sur mon trou – chaude, humide, avide comme une ventouse. Putain, sa langue experte qui lapait ma raie, tourbillonnait autour de mon anneau serré, forçant l'entrée pour plonger dedans, suçant mes parois sensibles avec des bruits obscènes de succion. J'ai gémi fort, les yeux fermés, une main dans ses cheveux châtains ébouriffés, l'autre pompant ma queue raide qui gouttait sur le plancher poussiéreux. Quand il a relevé la tête, lèvres luisantes de ma mouille, son sourire gourmand m'a transpercé – un éclat de luxure pure qui m'a fait frissonner jusqu'aux couilles.
"Assieds-toi là, Theo", qu'il a grogné, désignant un vieux siège de bateau éjectable, en cuir craquelé et taché de sel. J'ai obéi, encore haletant, la queue dressée comme un mât, veines gonflées et gland violacé luisant. Son sexe jaillissait déjà de son jean ouvert : 20 cm d'épaisseur bestiale, circoncis, veiné comme une carte fluviale, pré-cum perlant au bout. Il l'a approché de ma bouche, et je l'ai englouti lentement, lèvres étirées autour de son calibre, langue qui léchait le frein salé, aspirant jusqu'à ce que son pubis poilu me chatouille le nez.
Il a gémi, rauque, ses doigts crispés sur les accoudoirs rouillés, hanches qui poussaient pour enfoncer plus profond, cognant ma gorge en gorge profonde humide. Puis il s'est penché, me reprenant en bouche à son tour – une succion vorace, lèvres serrées autour de ma base, langue qui massait mon gland pendant que ses doigts fouillaient mon cul, deux phalanges qui étiraient mon entrée lubrifiée par sa salive. Je n'ai pas tenu : l'orgasme m'a foudroyé, sperme giclant en jets chauds et épais direct dans sa gorge, pendant que je le fixais, nos regards verrouillés dans une intimité brute. Il a tout avalé, une goutte ne s'échappant pas, et on s'est embrassés – goût de mon jus sur sa langue, mélange salé et intime qui nous a fait gémir tous les deux. J'étais encore secoué, les cuisses tremblantes, mais je lui ai murmuré d'une voix rauque : "À toi, Romain. Laisse-moi te vider." Je l'ai fait basculer sur le siège, un genou à terre sur le plancher grinçant, et j'ai repris sa queue en bouche – plus profond cette fois, gorge qui s'ouvrait pour l'avaler entier, bulles de salive coulant sur ses couilles pe ...
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