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Croque-monsieur & saucisses en plastique

Publié par : boylens le 20/12/2024
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Je déambulais dans les couloirs sombres et labyrinthique me demandant ce que j'étais venu faire ici. Malgré que nous étions au sous-sol l'air était lourd et pesant. Il y avait pas mal de monde aujourd'hui ceci expliquant cela.
Un travestis s'occupait d'un quidam devant un film gay, à genoux entre ses jambes. Un type chauve sort sa queue et se masturbe en me lançant un sourire pervers. Je me défile, croise des inconnus qui ne font que regarder les écrans de télévision disposés un peu partout. Que cherchent-ils? La même chose que moi sans doute; le frisson de l'excitation.
   Je me réfugie dans une cabine pour faire le point. C'est un glory-hole, elle est percée à de nombreux endroits au niveau de la taille. Il ne faut pas attendre longtemps avant qu'une verge dressée apparaisse comme par enchantement. Me voilà pris au piège comme un rat. Je me mets à genoux et je commence à sucer. Cette queue tendue est magnifiquement délicieuse. Le mec derrière la parois à l'air de prendre son pied. Une autre queue surgit d'un autre trou sur ma gauche et j'entends une voix rauque qui m'encourage:
« _Vas-y, petite chienne ! »
Je commence à branler la deuxième bite pour lui faire plaisir, tout en continuant à pomper la hampe érigé devant moi. Lorsque l'inconnu qui a sa queue dans ma bouche me demande si il peut me rejoindre à l'intérieur. J'accepte bien volontiers. Tout en me déshabillant, je déverrouille la cabine dès qu'il a fait le tour. C'est vraiment un beau mec; crâne rasé, un corps imberbe athlétique et une queue à se damner. Je recommence là où j'en étais. C'est à dire à genoux en train de le pomper goulûment.
« _Waouh, tu es mignon et quelle bouche ! Et tu sais y faire. C'est trop bon!
_Tu peux me sodomiser si tu veux. Lançais-je à tout hasard.
_Désolé mon beau, mais je ne prends pas. Mais j'ai trop envie de jouir dans ta bouche. Je peux? »
J’acquiesce d'un hochement de tête. D'une main, il incline ma binette en arrière pendant qu'il se finit avec son autre main. J'ouvre grand la bouche pour en recevoir un maximum. L'autre gars derrière la parois, continu à nous mater à travers le trou où il avait passé sa bite.
« _Vas-y, arrose cette chienne ! »
La première giclée de sperme atterri sur mon visage, la deuxième fut propulsé sur mon torse. Me pourléchant les babines, je puisais les dernières gouttes sortant de son gland turgescent tel un mort de soif en plein désert. Une fois les couilles complètement vidées, le séduisant mec à la peau glabre se rhabilla et je fis de même. Nous nous souhaitons une bonne fin de journée en nous extirpant de la cabine des plaisirs buccaux incognitos.
Je passais la tête basse devant les badauds, honteux qu'on puisse m'avoir repéré et remontais les escaliers jusqu'au rez-de-chaussée. J'avais besoin d'une pause, mon cœur battait la chamade. Je n'avais même pas pris le temps de m'essuyer la bouche. De quoi avais je l'air?
Essayant de me calmer et de faire baissé mon rythme cardiaque, je chinais au rayon des DVD gay, où sur la jacket de jeunes garçons graciles d'une beauté à coupé le souffle semblaient s'interroger sur ce qu'ils pouvaient bien faire avec cet énorme pénis tendu devant eux. Sentant une présence derrière moi, je remis maladroitement le boîtier du DVD sur le présentoir en faisant tombé d'autres de leurs supports.
Un couple d'hommes me scrutait avec amusement et semble t-il, intérêt. Ne sachant plus où me mettre, je ramassais les boîtiers vides pour les remettre en place avec un sourire confus.
« _Salut, ça te dirait de venir chez nous? » Lança sans préambule celui qui portait la barbe. Ils devaient tout les deux approcher de la soixantaine. Le barbu était poivre et sel et semblait plutôt virile, quand à celui qui semblait être son compagnon; il était plutôt distingué avec une sacoche en cuir marron en bandoulière sur son épaule.
« _Nous serons plus à l'aise qu'ici. » Renchérit-il.
Son ami attendait ma décision en me dévorant du regard. Son désir à mon égard, m'aida à surmonter mon indécision et j'acceptais leur invitation.
Après m'avoir donner leur adresse, je quittais ce lieu de débauche pour regagner ma voiture. Qu'allais-je faire? Était-il prudent de me rendre seul chez des inconnus, même si ils semblaient inoffensifs? On voyait tellement de chose aux informations que rien n'était exclu. Qu'est-ce qu'on devait ressentir lorsqu'on était séquestré, retenu contre son gré, violé et violenté. Cela devait être une expérience traumatisante pour la vie. Alors allais-je prendre ce risque ? La raison me disait de me défiler et de rentrer sagement chez moi, mais la petite voix du désir était trop convaincante pour être ignorée. Je tournais les clefs et pris la direction de l'adresse qu'on m'avait donnée.
Arrivé à destination, le type "à la sacoche" guettait devant sa porte. Espérant sans doute, que je ne lui pose pas un lapin. Il sembla rassuré lorsqu'il me vit sortir de mon véhicule et me diriger vers sa maison.
« _Salut, content que tu sois venu. Tu n'as pas eu de mal à trouver?
_Non ça va. Et avec Google on trouve tout ce qu'on veut maintenant.
_Quoi ?
_Non, rien c'est un truc de jeune.
Christian (les noms ont été modifiés) afficha un air ahuri.
_Tu ne vois pas qu'il te fait marché. Lança Jacques. Allez entre mon beau, on a quelque chose pour toi. »
Après mettre déchaussé, je les accompagnais directement sans préambule à l'étage pour une visite guidée de leur chambre. On était déjà dans le vif du sujet. Jacques me caressait l'entrejambe pendant que Christian me pelotait les fesses. Et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, nous nous retrouvions nus tout les trois. J'embrassais l'un et masturbais l'autre en même temps, puis j’échangeais. Assis sur le matelas, je gouttais à leurs queues respectant du mieux possible la parité de mes échanges buccaux. (Même si j'avais une préférence pour Jacques ; son allure de professeur autoritaire me rendais tout chose et son sexe même si il n'était pas très gros était tout de même plus vigoureux que celui de son ami).
« _Doucement, tu vas déjà me faire jouir si tu continues comme ça." Annonça Jacques en se dégageant avec célérité.
Tel un jeune veau affamé tétant sa nourrice, j'essayais de reprendre ce pis en bouche dont j'étais injustement privé, manquant de me vautrer par terre.
"_Tu es un gourmand, dis-moi ! Railla Christian en jetant un regard complice à son amant.
_Ça, tu peux le dire ! Rajouta Le barbu avant de revenir vers moi.
_Pratiques-tu la sodomie ? » S'enquit-il, comme-ci il parlait d'un quelconque passe-temps.
Je répondis par l'affirmative ne sachant pas où tout ceci allait finir, mais j'avais tout de même ma petite idée.
Jacques me laissa m'occuper de Christian et alla chercher un coffret disposé sur une étagère. Il l'ouvrit et en sorti un petit gode noir, un tube de gel lubrifiant et une fiole de Poppers.
« _Tu penses que ça peut entrer? Me demanda t-il en me présentant l'objet renflé long d'une dizaine de centimètres.
_Oui, je pense que ça devrait aller. » Dis-je timidement. Si seulement il savait ce que je mettais déjà pris dans le cul, il ne me poserait pas la question!
Allongé sur le ventre, jambes écartées, mains cramponnées au bord du matelas, j'étais prêt à recevoir ce présent plutôt original. Jacques me prépara consciencieusement enduisant mon entrée d'une huile visqueuse et parfumée, inhala les vapeurs euphorisantes du Poppers et fit passé le flacon à Christian qui en sniffa dans chaque narine avant de me le mettre sous le nez pour m'en faire profiter. Les effluves des vapeurs me mirent dans un état d'allégresse et d'excitation immédiate ! Dans l'euphorie de l'instant, je n'attendais plus qu'une chose :Être l'objet sexuel de ses messieurs. C'est alors que le petit sextoy enduit de gel s'insinua sans difficulté dans mes entrailles. Jacques s'amusait beaucoup avec, le faisant entrer et sortir, tournant à l'intérieur, accélérant puis ralentissant l'intromission.
J'étais à sa merci, nu, écartelé, sodomisé dans un état de semi-ébriété, dans une chambre qui n'était pas la mienne en présence de deux mâtures que je ne connaissais pas, qui profitaient à loisir de mon corps sans aucune retenue. Pour asseoir leurs dominations, ils m'infligèrent une déshonorante fessée. Leurs mains claquaient sans retenue sur mes rondeurs empourprées. J'étais puni tel un petit chenapan par mes deux papas mécontents de mon attitude inconvenante.
Jacques m'encula et me fessa encore pendant de délicieuses minutes avant de me demander si je voulais bien tester quelque chose de plus gros. Et bien évidemment, j'acceptais. Je n'attendais que ça!
Il alla chercher le coffret des merveilles et en extirpa un gode vibrant très réaliste, de couleur noir lui aussi, mais beaucoup plus gros et long d'une quinzaine de centimètres, peut-être même un peu plus. Nouveau shoot de Poppers pour me détendre les muqueuses et quitter un peu plus le monde réel pour le pays de l'extase absolu.
Toujours dans la même position d'abandon, je sentis le phallus en caoutchouc entrer en moi, avec plus de difficulté que le précédent, certes. Mais le passage se fit rapidement, le pénis en plastique fût avalé entièrement par mon rectum décidément très gourmand. En reprenant ma fessée, Jacques continuais à me bourrer le cul en modifiant régulièremen ...

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