Après un concert de folie au Groupama Stadium, près de Lyon, l’adrénaline me courait encore dans les veines. La foule hurlait, les basses résonnaient dans ma poitrine, et moi, la cinquantaine bien tassée, je me sentais vivant comme jamais. J’avais prévu de rentrer direct à l’hôtel, un Kyriad pas trop loin, réservé vite fait sur un site pour son côté pratique : propre, simple, pas de chichi. Mais ce soir-là, tout a dérapé dans le meilleur sens du terme.

En sortant du stade, je traîne un peu dans le coin, histoire de laisser la cohue se disperser. Et là, je les vois : deux mecs, la trentaine, des corps sculptés sous leurs tees moulants, des regards qui accrochent. L’un, brun, tatoué sur les avant-bras, une mâchoire carrée et des yeux perçants ; l’autre, châtain clair, un sourire en coin et une démarche assurée. Ils discutent, rigolent, une bière à la main, pas loin des stands de bouffe. Je sais pas ce qui me prend – l’euphorie du concert, peut-être – mais je m’approche, un peu maladroit, et je lance un truc banal : « Vous avez kiffé le show ? » Ils me dévisagent, amusés, et le brun répond direct : « Ouais, et toi ? T’as l’air d’avoir encore la pêche pour un after, non ? » Le ton est joueur, presque provocant. Je capte le sous-entendu, et mon cœur s’emballe.
On discute cinq minutes, l’alchimie monte vite. Le châtain propose de bouger : « On allait rentrer, mais si t’as un plan, on te suit. » Moi, sans réfléchir, je lâche : « J’ai une chambre au Kyriad, pas loin. Ça vous dit de prolonger la soirée ? » Ils échangent un regard, un sourire complice, et le brun hoche la tête : « Allons-y, mec. »
Arrivés à l’hôtel vers minuit, je prends les clés à la réception – un jeune gars blasé qui mate son téléphone, rien à voir avec le Tom de ton histoire. On monte direct dans ma chambre, un truc basique avec un lit king size, une lampe faiblarde et une odeur de propre un peu chimique. À peine la porte fermée, le brun – appelons-le Léo – me plaque contre le mur, sa bouche sur la mienne, sa langue qui fouille sans attendre. Il embrasse comme un sauvage, et je sens déjà mon pantalon tirer. Le châtain – disons Max – rigole en matant la scène, puis s’approche, glisse une main sous mon tee-shirt et commence à me caresser le torse, ses doigts frôlant mes tétons.

Pas de bla-bla inutile. Léo baisse mon froc d’un coup sec, et je me retrouve à poil devant ces deux mâles parfaits. Max s’agenouille direct, gobe ma queue déjà raide et me suce comme un pro, pendant que Léo me roule une pelle et me pelote les fesses. Je suis dépassé, mais je kiffe trop pour réfléchir. Je tends la main vers le paquet de Léo, bien gonflé sous son jean. Il m’aide à ouvrir, et là, surprise : pas de boxer, juste une teub épaisse, déjà dure, qui jaillit. Je me mets à genoux à mon tour, alternant entre la queue de Léo et celle de Max, qui a suivi le mouvement. Deux beaux calibres, 18-19 cm chacun, un régal à pomper. Ils me laissent faire un moment, gémissant doucement, avant que Léo me relève et me p ...

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