Mon père était allongé, le maillot déformé par une demi-molle. Je restais assis à côté, un oeil sur son entrejambe et un autre sur le couple dont la femme était en train de sucer son mari. Elle s'appliquait à le pomper à fond, fesant des vas et viens sur son pieu en le branlant fermement.
Mon père gardait les yeux fermés, prétextant dormir.
Thierry regardait également le couple, tout en se caressant l'entrejambe, tranquillement. Sa bite prenait du volume à vue d'oeil. Il adorait la situation. Son maillot était tendu, prêt à exploser. Je m'allongeai lentement, sur le ventre, pour éviter de montrer mon début d'érection, tout en me serrant un maximum de mon père. Je pouvais sentir la chaleur de son corps. Ma main effleura sa peau, au niveau de son bassin. Il ne bougea pas. Je laissais glisser mes doigts le long de sa cuisse, sur le côté, au dessus de son maillot et m'arrêta à ce niveau.
Je pouvais sentir le regard appuyé de mon oncle qui ne loupait rien de la scène. Je levait la tête vers lui et découvrait qu'il avait baissé son slip et prit sa bite en main. Il se branlait doucement, l'air coquin, en jouant avec son gland qu'il pincait avec ses doigts d'une main tout en se caressant les couilles dune autre.
Excité et encouragé par l'attitude de mon oncle, je fis remonter mes doigts sur le maillot déformé de mon père pour atteindre la bosse à l'avant. Je posa mes doigts lentement pour apprécier le contenu. Je pouvais sentir ce morceau de chair enfler au contact de ma main. Il remplissait toute ma main et le gland dépassait et semblait vouloir se libérer du tissu.
Je fesais une légère pression en empoignant ce pieu et commençait à branler cette bite paternelle très doucement.
Toujours aucune réaction de mon père.
Je sentis une main glisser sous mon slip et se frayer un chemin entre mes fesses. C'était mon oncle qui venait s'amuser avec ma rondelle. Il descendit lentement mon slip en prenant soin de ne pas faire de bruit. La situation mexcitait terriblement, la peur de nous faire surprendre, l'interdit...
Rapidement, la main fut rapidement remplacée par une sensation humide et douce: mon oncle s'était allongé en sens inverse et avait plongé sa tête entre mes jambes pour y enfoncé sa langue. Une intense chaleur m'envahit et fit durcir ma queue à son maximum. La scène était hallucinante : jetais allongé nu sur la plage, ma main Brabant mon père pendant que mon oncle le bouffait le cul.
Je ne pouvais plus faire marche arrière. Quite à subir les foudres de mon père il fallait que je tente le tout pour tout.
À force de branler mon père, sa bite prit une taille considérable et commençait a tendre le maillot. Il ne pouvait plus prétendre dormir ce n'était plus crédible. Il entrouvrit les yeux et me fixa en souriant, l'air vicieux. Sans un mot, jentrepris de diriger ma tête vers son bassin et je deposais ma tête sur son bas ventre. Je ferais lentement le cordon de son maillot pour défendre le tissu et me permettre de le baisser. Je retirais cm par cm son maillot qui ne mettait aucune résistance. Sa bite apparaissait comme un trophée, droite, dure et bien veinee.
Elle devait facilement faire 20cm, de même largeur que celle de mon oncle. Elle se libera du tissu et vient claquer sur son bas ventre. Je n'avais qu'à tendre la langue pour venir toucher son gland. Ce que je fis sans attendre, veillant à enfoncer son gland entre mes lèvres impatientes. Mon oncle se redressa pour me regarder sucer mon père et tout en se penchant près de moi, en profita pour glisser sa bite bien dure dans ma raie. Il n'eut pas bcp à forcer pour trouver le passage et venir s'enfoncer lentement dans mon fondement humide. Son coup de rein pro ...
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