De Kemper (Quimper), je me retrouve à la gare de Kemperle (Quimperlé) où un homme marié vient pour me prendre (à double sens…).
Il n’est pas là et ne répond pas au téléphone.
Etape foutue, me dis-je et je consulte le net sur mon portable pour trouver un bon plan en me disant que ce n’est pas gagné dans une aussi petite commune finistérienne. Là, je sens une main sur mon épaule et un charmant petit jeune m’indique qu’il a vu ma recherche sur mon écran après que ma détresse apparente l’eut interpelé.
Il arrive de Naoned (Nantes) et il doit s’occuper de la maison d’un oncle pendant le week-end car ce dernier est parti en vacances et préfère que sa maison ne reste pas vide. Ce charmant jeune homme s’appelle Ewan. Ses cheveux sont châtains, bouclés. Il a les yeux verts lumineux et une petite bouche toute souriante. Il est assez fluet, il a des doigts de pianistes (longs et fins, ce qui me fait directement penser au fait qu’il a une queue de même calibre).
Nous discutons tranquillement et il m’invite à prendre le taxi avec lui afin de nous rendre dans la maison de son oncle. Nous nous asseyons à l’arrière du véhicule et il pose sa main sur ma cuisse en me disant qu’il me trouve très charmant. A ce compliment, je le regarde tendrement, lui souris et me penche vers sa bouche pour l’embrasser suavement. Il me prend dans ses bras et nous nous embrassons goulûment sans nous soucier du chauffeur.
Arrivés sur place, je paye le chauffeur de taxi et nous entrons dans la maison. C’est luxueux et nous nous gamellons ardemment. Ses mains se promènent timidement sur mon corps tandis que j’entreprends son entrejambe et j’ignore si c’est notre galoche qui lui raidit la bite ou ma caresse mais son chibre est bel et bien tendu. Je défais sa braguette et fais tomber son pantalon aux chevilles avant d’en faire autant avec sa culotte (une brésilienne rose en dentelle).
Je me baisse et je prends ce joli chibre en bouche : il est tel que je l’imaginais. Il est si long que je peine à l’avaler dans toute sa longueur. Après plusieurs tentatives, je parviens enfin à lui faire traverser mes amygdales sans haut-le-cœur et je vois dans le regard d’Ewan qu’il apprécie le traitement. Ma main vient en même temps lui caresser le dessous des bourses avant que mon pouce ne vienne lui chatouiller l’anus. Je sens bien que cette dernière délicatesse lui plaît beaucoup et j’insiste au point de rentrer une première phalange dans son tréfonds.
Ewan se défait de ses chaussures et m’invite à le suivre sur la pelouse qui jouxte la piscine. Il me déshabille avec beaucoup de sensualité et présente sa bouche face à mon chibre qui commence sérieusement à se dresser avec ardeur. Après quelques baisers délicats, il ouvre la bouche en y faisant entrer mon gland encore recouvert de mon prépuce. De ses lèvres qu’il resserre, il me décalotte et sa langue tournicote autour de mon gland et de ma tige. Sa langue descend même sous mes couilles pour les recouvrir de bave tout en les soulevant ; la sensation est très agréable. Il remonte sa langue jusqu’à mon gland et engloutit soudainement mon pieu jusqu’aux couilles d’un trait. Quelle agréable sensation !
Il continue ses va ...

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