Fraîchement débarquée à la fac, je kiffe ma nouvelle vie. L’insouciance, les potes, les soirées sans fin… c’est le pied total. Parmi la horde de mecs que je croise, y’en a un qui sort du lot : Théo. Pas le genre BG de magazine, mais un blond aux yeux bleus avec un charme qui te colle des frissons. Toujours en survêt, son cul bombé à faire baver, fan de foot comme personne. On clique direct grâce à nos délires communs : mangas, jeux vidéo, tout y passe. Après quelques mois à se tourner autour, je décide de le raccompagner chez lui un soir après les cours. En matant sa baraque, je pige qu’on crèche à deux rues l’un de l’autre. Il me lance, l’air de rien : "Viens jouer au foot avec mes potes ce week-end." Moi, nul en foot ? Pas grave, je signe direct.

Samedi, je débarque sur le terrain, un peu intimidée mais chaude pour m’éclater. Théo est là, en short moulant, avec ses potes, tous des mecs bien gaulés. La journée est ouf, on court, on rigole, on se chamaille. Mais je capte vite que Théo kiffe balancer des "chatbites", claquant le cul de ses potes pour les faire marrer. Ça me fait sourire, ça va, c’est leur délire. En fin de journée, je raccompagne Théo et Antoine, un de ses potes. Antoine, c’est un autre level : brun, yeux marrons qui transpercent, corps sec et musclé, un visage à tomber. Sur le chemin, il balance : "Venez chez moi demain, on se fait une session jeux vidéo." Je jubile, un nouveau pote, une nouvelle aventure.
Dimanche après-midi, je me sape avec mon survêt le plus stylé, histoire de coller au vibe des footeux. J’arrive chez Antoine, le cœur battant. Théo est déjà là, affalé sur le lit d’Antoine, qui fait office de canap’, une manette en main, en train de défoncer un adversaire sur un jeu de combat. L’ambiance est chill, on se marre, on s’installe pour un tournoi. Mais vite, le jeu dérape. Antoine propose de pimenter les choses : le perdant chope un défi. Ça commence soft, genre boire un mélange dégueu de sel et soda ou enchaîner des pompes. Je kiffe, c’est con mais drôle. Puis, les défis glissent vers un terrain glauque. "Embrasse Théo avec la langue pendant dix secondes." OK, je roule une pelle à Théo, sa langue s’enroule autour de la mienne, et je sens un truc bizarre me chatouiller le bas-ventre. Puis : "Pétris la queue du mec à ta gauche à travers son froc." On rigole, mais je sens la bosse d’Antoine sous mes doigts, et putain, ça m’excite.

Tout le monde joue le jeu, l’ambiance devient lourde, moite. Et là, Antoine lâche le défi ultime, celui qu’on chuchote dans les soirées chelous : le "jeu de la biscotte". Sauf qu’on n’a pas de biscotte. À la place, on chope des verres. Les règles sont crades : celui qui éjacule en dernier doit boire le verre rempli du sperme des autres. On se met de dos, chacun dans un coin de la pièce, verre en main, bite à l’air mais cachée. La course au foutre démarre. Moi, j’ai à peine l’habitude de me branler, je galère à bander, le stress me bouffe. J’essaye de penser à des trucs hot, genre Théo en train de se savonner sous la douche, son cul luisant. Mais rien à y faire, je rame. Soudain, Antoine hurle : "J’ai fini !" en levant un verre déjà bien rempli, ...

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