Déjà l’automne est là avec pour moi, un flot d’inconvénients :
le froid, le manque de feuillage pour assurer une discrétion suffisante au bois de Bordeaux.
Heureusement j’ai quelques contacts. Justement l’un d’eux m’envoie un message.
« Es tu disponible petite salope j’ai envie de me vider les couilles ? »
Message explicite qui me fait bien sur plaisir ; je connais ce rebeu, costaud, la quarantaine, et surtout je sais qu’il aime dominer et comme moi j’aime ça … !
Après plusieurs échanges bien chauds, rendez-vous est pris dans un chemin discret près d’un pont (vers Cubzac les ponts) pour 13h pile.
J’arrive un peu avant sur les lieux et, surprise il est déjà là.
Étonné (ce n’est pas dans ses habitudes), mais vu la température, je ne cherche pas à comprendre et je monte directement dans son espace.
Il a du me voir arriver et a déjà sorti sa belle bite épaisse de son jogging.
Jambes bien écartées, je n’ai plus qu’à obéir à ses ordres et, docile, je m‘assois contre lui.
Me désignant sa belle bite il lance juste 2 mots :
« SUCE SALOPE !!! »
Il s'empare alors de ma main droite et la pose brutalement sur sa bite brûlante de désir et déjà bien bandée. Difficile de résister et en bon soumis j’obéis.
Après quelques aller-retour, j’amène sa queue vers ma bouche et commence à la sucer avec délice. Pas très longue mais large avec un beau gland circoncis, j’apprécie particulièrement la douce émanation qui s'en dégage. Je lui caresse les boules tout en avalant sa bite au plus profond de ma gorge au point que mes lèvres touchent les poils de son pubis.
Bien sur, mon rebeu n’arrête pas de m’insulter alors que je suis penché sur son engin et, que petit à petit, je le fais disparaître dans ma grande bouche gourmande.
« salope…espèce d’enculé... juste bon à vider des couilles... tu vas voir tu vas en avoir ! »
Plus il crie, plus j’accélère mon pompage.
« doucement vieille pute ! »
Mais trop excité et dans l’espoir de prendre une bonne dose de sperme je ne m'arrête pas de le pomper.
Bien au contraire j'accentue la pression et bien sûr il jouit au fond de ma gorge.
Il jute abondamment ; un sperme bien épais et sucré j’adore, j’avale tout !
En récompense, je reçois immédiatement une sacrée claque sur la fesse.
J’adore être insulté et avoir la fessée cela m’excite énormément, mais là, la claque est vraiment brutale. Comment a t il pu frapper aussi fort ?
Les larmes aux yeux, je relève la tête et là, surprise, un homme se tient debout contre la porte à demi ouverte pantalon sur les pieds, bite énorme en main, il se branle.
Mon dominant me dit :
« Il a une bonne bite, tu vas t’en occuper et lui vider les couilles vieille pute ! »
Aussitôt il ouvre sa portière à l’inconnu qui a fait le tour de la voiture et lui laisse la place.
Alors que celui ci vient s’asseoir à coté de moi, mon dominant, lui, prend place devant afin de bien mater la scène qui ne va pas manquer de suivre .
« Alors tu es une bonne salope d’après mon pote, tu vas t’occuper de ma grosse bite et vite ... Allez ! »
Après un regard furtif vers mon dominant, docile, j’obéis, je commence à pomper cette grosse bite.
Peu de temps, un signe du sucé et mon maître sort de la voiture et vient se mettre à coté de moi.
« Mon pote va te préparer pendant que tu me suces comme tu sais si bien le faire. » lance mon sucé ironique.
Alors que je suis penché sur cet énorme bâton, mon dominant tire sur mon pantalon de sport et je me retrouve rapidement les fesses à l’air.
Pas beaucoup de choix. Je tends mes fesses et recommence à sucer la bite qui se dresse devant moi.
Mon cul s’ouvre alors lentement sous la pression d’un doigt s’enfonçant et tournant pour me préparer, ...

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