Stéphan tenait ce petit hôtel parisien depuis bientôt dix ans. Les dix chambres avaient été entièrement redécorées quelques mois auparavant et l’hôtel ne désemplissait pas. Ce quarantenaire avait un physique passe-partout. Son visage était quelconque et son allure était celle d’un homme qui avait dû être sportif mais qui ne l’était manifestement plus. Mais il était jovial et accueillant et s’était forgé une réputation de séducteur tout à fait justifiée car les nombre de clientes et d’employées qui avaient succombé à ses charmes ne se comptait plus. Ce jour-là, il recevait une jeune femme d’origine africaine pour un entretien d’embauche à un poste de femme de chambre. L’hôtel ne comportait pas de vrai bureau et c’est dans la pièce qui servait également de cuisine pour le petit déjeuner que l’entretien avait lieu. Il était 19 heures. Toutes les arrivées étaient gérées. Il devait avoir le temps. D’emblée, la jeune postulante lui tapa dans l’œil.
« Putain, quel cul ! » s’était-il dit en la conduisant vers la cuisine. « Et ces nibards ! il y a l’air d’avoir du beau monde ! »
La jeune femme prénommée Fatoumata avait un joli visage à peine sorti de l’adolescence. Son sourire timide laissait apparaitre de jolies dents d’une blancheur extrême qui contrastait avec la couleur très sombre de sa peau et son corps souple et élancé ondulait à chaque pas. Grand amateur de chair fraîche, Stéphan ne pouvait que se lancer un défi : qu’il décide de l’embaucher ou pas, cette Fatoumata devait passer par la case sexe avant de repartir. Assise face à lui, elle portait une jupe courte qui laissait apercevoir très haut les cuisses d’ébène. Dès les premiers échanges, Stéphan comprit qu’elle parlait assez mal le français. Elle l’obligeait souvent à répéter ses questions ou répondait à côté de ce qu’il demandait. Amusé de cette situation et sans aucune retenue, il demanda tout-à-trac :
Tu aimes faire l’amour ?
Elle lui lança un regard interrogateur.
Tu aimes la baise ?
Oui, répondit-elle d’un ton très hésitant qui tenait autant de l’affirmation et de l’interrogation.
Stéphan sourit.
Tu ne m’as pas compris ? demanda-t-il.
Oui, répondit-elle à nouveau.
Moi j’aime beaucoup ça et j’aimerais te baiser tout de suite. J’ai envie de te bouffer la chatte et de te baiser comme une bonne chienne.
Stéphan parlait avec sérieux et pour la jeune étrangère il était évident qu’il présentait le travail à venir dans tous ses détails.
D’accord, dit-elle.
Tu voudrais bien me donner ton cul aussi ?
Oui, affirma-t-elle. Payer combien ?
Ah, ok. T’es une pute en fait, dit-il en souriant.
Il lança un chiffre et pour la première fois, il lut dans le regard de la jeune fille qu’elle avait compris le chiffre. Il avait annoncé une somme très basse et s’attendait à ce qu’elle tente une négociation mais il n’en fut rien.
C’est bien, dit-elle simplement.
Stéphan, heureusement surpris, lui tendit alors la main en signe d’accord. Elle la saisit ignorant que cette poignée de mains était bien plus qu’un contrat de travail. Il ne la lâcha pas et la porta à ses lèves en disant :
Je suis très heureux. Je ne sais pas si tu vas vraiment travailler pour moi mais je sais que tu vas te faire niquer sous peu.
Elle avait entendu le mot « travailler » et supposait qu’il était toujours question du contrat. Aussi ne fût-elle pas surprise lorsqu’il saisit une bouteille de vin blanc et qu’il en servit deux verres. Ils trinquèrent. Stéphan posa la main sur le genou de la jeune fille. Elle la repoussa immédiatement, mais il insista.
Non, please, dit-elle doucement. Pas bien.
Pas bien ? mais si au contraire.
Et sa main remonta légèrement sur la cuisse brune. En même temps, il l’invita à boire une deuxième gorgée de vin.
Au fait, tes papiers sont bien en règle ?
Au mot « papiers », Fatoumata se contracta légèrement mais cela n’échappa pas à Stéphan.
Oui, papiers, tout en règle, affirma-t-elle.
Mais Stéphan savait qu’il avait touché le point sensible.
Ok, dit-il et pour la mettre en confiance, il ne demanda rien de plus. Il l’invita à boire encore. Rassurée, elle ne broncha pas lorsque la main de son nouveau patron remonta jusqu’au haut de sa jambe. Sans quitter son sourire enjôleur, Stéphan parlait, la complimentant sur ses yeux, ses lèvres… comme il se doutait qu’elle comprenait le sens général de ses paroles mais non pas les mots eux-mêmes, il se faisait charmant dans le ton employé mais très cru dans les expressions utilisées, ce qui l’excitait encore plus. Doucement, il prit la main de la jeune femme pour l’attirer vers lui et l’embrassa ; un petit baiser léger, du bout des lèvres, sans conséquence … sauf qu’il en profita pour poser la main de la jeune fille sur sa braguette gonflée. Elle voulut l’enlever mais il l’en empêcha. Il l’embrassa à nouveau. Cette fois, sa langue s’insinua dans la bouche rose. Elle tenta de reculer. Il la retint. Sut-elle alors qu’elle était vaincue ? le désir l’avait-il aussi envahie ? Craignait-elle qu’il devînt violent ? il ne le sut jamais mais elle abandonna soudain toute résistance. Lorsqu’il fit glisser sa main vers l’intérieur de sa cuisse, elle décroisa les jambes, s’offrant tacitement à sa caresse. Sa langue alla à la rencontre de celle de son patron. Les doigts de Stéphan gagnèrent l’entrejambe de sa proie. Avec habileté, il repoussa la culotte pour dégager la chatte. Les lèvres étaient encore collées l’une à l’autre. De son index et de son annulaire, il les écarta, tandis que son majeur venait doucement titiller le clitoris. Elle soupira. Stéphan la fit alors se lever, la déshabilla rapidement pour admirer l’intégralité du corps d’ébène puis la fit s’asseoir sur le bord des éléments de cuisine et s’agenouillant, il plongea sa tête entre les cuisses ouvertes. Le cunnilingus avait toujours été sa gourmandise préférée. Il s’acharna ainsi sur la mignonette que dominait une toute petite touffe de poils ras et crépus. Les chairs roses s’épanouissaient sous sa langue qui montait et descendait le long de la fente maintenant détrempée.
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