Quand la voiture s'arrêta enfin, je n'avais aucun sens de l'endroit où nous nous trouvions. Une rue déserte entre des immeubles obscurs...pas une âme dans la rue, et les deux hommes qui m'entouraient me firent descendre du véhicule et me poussèrent dans le hall d'un immeuble où ils me prirent chacun par un bras pour m'emmener à petits pas rapides (à cause de mes talons aiguille) dans un couloir dont ils allumèrent la minuterie, puis celui qui semblait les diriger sortit une clé de sa poche et ouvrit une porte et ils me poussèrent à l'intérieur. La lumière clignota avavnt de s'allumer, et je découvris une longue salle à moitié vide, d'un côté des tapis roulés, et au milieu une longue table vers laquelle ils me traînèrent...
Ils m'adossèrent à la table et le plus âgé s'approcha de moi en me disant "tu es dans notre ancienne salle de prière, maintenant que la mosquée est ouverte, nous n'y venons plus... Sauf pour règler certaines affaires. Et ce soir nous allons t'apprendre à être une vraie putain musulmane, puisque tu portes la tenue de nos femmes, et pour que tu sois respectueuse des règles et que tu apprennes à respecter l'autorité des hommes! Tu vas apprendre à respecter nos traditions !"
Sur ces mots, il souleva soudain mon hijab, et retroussa mon voile, dévoilant mon visage maquillé aux trois hommes; puis il souleva le bas de ma burka et me la faissant passer par-dessus ma tête, me l'ôta, pour me laisser seulement vêtue de mes dessous noirs face à eux. "Une vraie tenue de pute !" dit-il en me poussant vers le plateau de la table, me forçant à m'y allonger sur le dos, puis, avec des cordelettes, ils entreprirent de m'immobiliser chevilles et poignets écartelés et solidement attachés aux quatre pieds de la table ! Je ne pouvais plus bouger un membre et j'avais la tête tirée en arrière, ma nuque reposant sur le plateau de cette table, mes jambes pendant vers le sol, ce qui dégageait ainsi mon bas-ventre du plateau de bois. Le musulman âgé s'approcha alors de moi, et il me dit:
"le premier acte d'une bonne musulmane, c'est de rester voilée devant les hommes qu'elle rencontre", et il rabattit de nouveau mon voile noir sur mon visage... Et il continua "le second acte, c'est d'accepter en silence et en totale soumission tout ce qu'un homme t'offrira, et d'en apprécier la qualité avant de le remercier", et il mis aussitôt sa main sur mon string, qu'il m'arracha d'un coup sec; découvrant mon sexe emprisonné dans ma cage de chasteté, il s'énerva soudain "Qu'est-ce que c'est que çà ? Où est la clé de ce cadenas ?" Je répondis d'une petite voix apeurée "Je ne l'ai pas, c'est mon Maître qui a la clé; c'est lui seul qui a le droit de m'en libérer chaque soir" Il hésista un instant, puis lança "Ce n'est pas grave, au contraire, cela t'emppêchera de jouir, si jamais tu trouvais nos attentions trop bonnes pour toi..." et me soulevant les fesses qui pendaient au bord de la table, il se glissa entre mes cuisses écartelées, et soulevant sa djellabah, en sortit soudain un sexe dressé qu'il appliqua contre mes fesses... Il s'aperçut alors que son sexe éprouvait quelques difficultés à pénétrer au coeur de mon intimité, et se penchant, il découvrit soudain le Rosebud fiché au fond de mon petit trou. Il s'énerva et abattit sa main violemment sur mes cuisses "Salope, tu te fais jouir toute seule en attendant les clients !? Tu vas voir ce que tu vas recevoir..." et glissant deux doigts dans ma fente il en extirpa mon Rosebud, qu'il remplaça illico par son sexe noueux et impatient, plongeant au creux de mes fesses, fouiallant mes entrailles, il s'enfonça si brutalement qu'il m'arracha un cri de douleur. Il me fit taire d'une violente gifle, et s'adressant à ses deux compagnons, leur intima l'ordre "Faites taire cette putain !". Ce qu'ils firent aussitôt en soulevant mon voile et en me logeant dans la bouche un sexe parfumé et épais, que je reçus comme une ofrande... C'était le moustachu qui me l'avait enfoncé entre mes lèvres, et qui, se penchant vers mon visage, me murmura doucement "Suces-moi bien mon belle, et je te protègerai si tu es gentille avec moi"; Je me mis donc à lui procurer une superbe fellation, y mettant tout mon savoir-faire et mon talent de pute suceuse, alternant coups de langue sur son méat, jeu de lèvres autour de son glang congestionné, et salive lubrifiante autour de sa hampe... Il se mit très vite à haleter, tandis que le plus vieux continuait de me pilloner, commençant à m'arracher des petits soupirs de plaisir, qui irradiaient mes reins et me faisaient me tortiller sur la table... Le troisième homme lui, frottait son sexe sur mon cou en se caressant et en m ...
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur