Entre La Rochelle et Rochefort se trouve une petite plage, la plage du Marouillet, oú, dans la journée les homos se retrouvaient, s’exhibaient, se faisaient sucer et se baisaient.

Le soir, la population changeait. Et, sur le parking attenant, les couples exhib venaient se faire mater, les mecs seuls venant apprécier leurs charmes et leurs ébats.

J’ai donc fait habiller N. de sa robe aux seins nus et à la chaîne, lui ai mis son collier et ses menottes, puis une perruque et un bandeau noir sur les yeux.

Aucune culotte bien sûr : la chatte libre. Des bas noirs et des chaussures à talons.

Nous avons utilisé une voiture banale, peu identifiable, et nous sommes allés nous stationner sur le parking du Marouillet, distant de quelques kilomètres de notre maison.

Bien sur, il faisait nuit et la plupart des vacanciers étaient déjà repartis ; quant aux locaux, passés neuf heures du soir, rares étaient ceux qui sortaient dans la campagne.

N. était inquiète : les yeux bandés, les poignets attachés dans le dos derrière le siège du passager, ses gros seins bien offerts à la vue de tous, sa chatte découverte, elle ne connaissait pas l’endroit oú nous allions et en ignorait même l’existence. La peur la faisait frémir mais elle s’en remettait à moi. Excitation du pouvoir !

Les bouts de ses mamelles pointaient. Etait-ce le froid, l’inquiétude, le plaisir, l’envie ? Les aréoles bien brunes faisaient ressortir les tétons. Les seins lourds et ronds étaient de véritables provocations. J’avais du mal à me concentrer sur ma conduite.

Nous y sommes finalement arrivés et j’ai arrêté la voiture dans un coin du parking. Plusieurs voitures, une demi-douzaine probablement, étaient garées tous feux éteints.

J’ai éteint les phares puis allumé la lumière intérieure de la voiture. Des mecs se sont approchés. Ils ont regardé au travers des vitres. Puis ont commencé à se toucher en matant les grosses mamelles, bien en avant puisque les poignets de N. étaient toujours attachés derrière le siège. Je lui ai fait écarter les cuisses pour qu’ils aperçoivent sa chatte bien lisse et qu’ils voient qu’elle ne portait pas de culotte : complètement disponible. Elle ne pouvait rien voir avec son bandeau mais elle devinait ce qui se passait. Les mecs commentaient, s’excitaient, s’approchaient. Certains sortaient leurs queues et se branlaient en la regardant. J’étais au comble de l’excitation.

La voiture était complètement fermée. Elle ne craignait donc rien. Mais elle ne le savait pas. Elle entendait les commentaires, que je vous laisse imaginer ; je m’excitais les tétines en entendant ce qu’ils disaient et en les voyant s ...

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